« Joseph-Laurent Malaine » : différence entre les versions
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En 1792, on sait qu'il travaille déjà depuis longtemps pour la manufacture de papier peint Arthur et Grenard
<ref group="n">Rue Louis-le-Grand, à l'angle du boulevard des Italiens</ref>), à Paris, et pour une manufacture {{citation|d’indienne de [[république de Mulhouse|Mulhouse]] en Suisse (Mulhouse est alors un territoire indépendant lié à la Suisse)}}<ref>{{Lien
Début 1793, installé à Mulhouse, il poursuit sa coopération avec la manufacture de papiers peints Nicolas Dollfus et Cie (commencée en 1790 - il a auparavant été le professeur de Nicolas Dollfus), dessinant des modèles de papiers peints pour l'entreprise alsacienne à laquelle il restera fidèle après son retour à Paris"<ref>Véronique de Bruignac-La Hougue p. 102</ref>, et travaille comme peintre en fleurs pour les manufactures de toiles et papiers peints de Mulhouse, Thann et Rixheim<ref group="n">''La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts'' (Volume 22) p. 1041. Cette source mentionne la fabrication de toiles, et ne mentionne pas la manufacture de Rixheim</ref>. De retour à Paris en mars 1797 (selon Jacqué ; 1796, selon le Prado), "il continua à peindre des tableaux estimés, dont plusieurs ont été attribués à Van Spaendonck" (Grand Dictionnaire), tout en continuant sa collaboration avec les entreprises de Mulhouse, puis de Rixheim. Il serait ensuite (selon le Prado) nommé professeur à l'Académie de Lyon*, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort à Paris le 5 mai 1809 - toutefois, Bernard Jacqué n'a trouvé aucune trace de cette nomination, et n'y voit qu'une légende. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise, division 57<ref>https://www.museodelprado.es/coleccion/artista/malaine-joseph-laurent/6ec00de8-6f88-4186-8976-fe60c4ca1de9</ref>.
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