« Michel Vâlsan » : différence entre les versions
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En 1950, il se sépare de Schuon car il a une autre vision de l'orthodoxie traditionnelle que celui-ci. Du fait de son indépendance, il assume dès lors la fonction de maître spirituel au sein de la [[Tariqa]] [[Chadhiliyya|Shâdhiliyya]] [[Ahmad al-Alawi|'Alawiyya]], bien que son enseignement reste centré sur ceux d'[[Ibn Arabi|Ibn 'Arabî]] et de [[René Guénon]].
En sa qualité de traducteur d'Ibn Arabî, il est un contributeur régulier des ''[[Études Traditionnelles]]'', revue fondée sur l'œuvre de René Guénon, dont il est, selon Najm ad-Dîn Bammate, « le représentant le plus direct »<ref>Intervention de [[Najm
René Guénon étant installé au Caire depuis 1930, il confie son mandat éditorial à Michel Vâlsan en 1945 pour la gestion de ses écrits en France.
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