« Xavier Forneret » : différence entre les versions

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Dès lors, le groupe fait connaître de nombreux extraits de l'œuvre de Forneret : des maximes de ''[[Sans titre, par un homme noir blanc de visage|Sans titre]]'' et d'''[[Encore un an de Sans titre, par un homme noir blanc de visage|Encore un an de Sans titre]]'' dans le numéro suivant de la ''Révolution surréaliste''<ref>''La Révolution surréaliste'', {{numéro|11}}, {{date|15|mars|1928}}, {{p.|19 et 23}} {{lire en ligne|url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5845163f/f23.item}}.</ref>{{,}}<ref name=BB794>{{harvsp|Bernadette Blandin, II|2013|p=794}}</ref>, ''[[Le Diamant de l'herbe]]'' du recueil ''[[Pièce de pièces, Temps perdu|Temps perdu]]'' accompagné d'extraits de l'article de [[Charles Monselet|Monselet]] dans un numéro de la revue ''[[Minotaure (revue)|Minotaure]]'' en 1937<ref>''[[Minotaure (revue)|Minotaure]]'', {{numéro|10}}, {{date|||1937}} {{lire en ligne|url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k15259774/f13.item}}.</ref> puis, l'année suivante, le conte ''Un Rêve, C'est'', également extrait de ''Temps perdu'', dans un recueil de textes intitulé ''Trajectoire du rêve''<ref name=EK106/>.
 
En [[1932 en littérature|1932]], dans la continuité de l'énumération du ''[[Manifeste du surréalisme]]'' publié par [[André Breton]] en [[1924 en littérature|1924]]<ref>En effet, « {{cita|Breton donne une nouvelle liste de ceux qui sont surréalistes en « quelque chose », en précisant qu’elle complète sans l’annuler la liste de 1924 »}}. Dans son article « {{article|lang=en|titre=Surrealism yesterday, to-day, to-morrow|périodique=This »Quarter|titre denuméro=Surrealist Number|mois=septembre|année=1932}}, parmi les 26 nouveaux noms ajoutés, Breton écrit : « {{cita|Forneret in the maxim »}}. Voir {{Ouvrage|prénom1=André|nom1=Breton|titre=Œuvres complètes|tome=I|éditeur=Gallimard|collection=Bibliothèque de la Pléiade|date=1988|isbn=2-07-011138-5|chapitre=ManifiestoManifeste du surréalisme|passage=329}}, note 3 p. 1356-1357.</ref>, la revue ''{{lang|en|This Quarter}}'' qualifie Forneret de {{Citation|surréaliste dans la [[Maxime (langue)|maxime]]<ref>''This Quarter'', « Surrealist Number », {{date||septembre|1932}}</ref>}}<ref>{{harvsp|Francis Dumont|1949|p=134}}</ref>. Xavier Forneret prend place dans l'''[[Anthologie de l'humour noir]]'' ([[1939 en littérature|1939]]) où Breton défend l'auteur des accusations de naïveté proférées à son encontre : {{citation|Observons qu'on tenterait en vain de desservir l'auteur de ''[[Sans titre, par un homme noir blanc de visage|Sans titre]]'' en alléguant qu'il était plus ou moins inconscient ou irresponsable des échos qu'il éveille à la lecture impartiale et attentive, lui qui a placé son livre sous l'invocation de cette phrase de [[Paracelse]]<ref>{{harvsp|André Breton|1979|p=120}}</ref>}} : {{Citation bloc|Souvent il n'y a rien dessus, tout est dessous. Cherchez<ref>{{harvsp|''Écrits complets'', II|2013|p=11}}</ref>.}}
 
[[Benjamin Péret]] inclut ''Et la lune donnait et la rosée tombait'' dans son ''Anthologie de l'amour sublime'' ([[1956 en littérature|1956]]), ajoutant que {{Citation|la passion n'a jamais atteint chez aucun poète romantique le [[wikt:paroxysme|paroxysme]] qu'elle connaît avec Xavier Forneret<ref name=BP281>{{harvsp|Benjamin Péret|1956|p=281}}</ref>}}. À la question posée par Breton pour l'« ''énigme'' Forneret », Péret considère que l'{{Citation|on peut répondre qu'il en a été ainsi parce qu'il n'appartenait pas à son époque mais à un temps qui vient à peine de commencer, celui des voix de plus en plus tonnantes à mesure que s'écoulent les années<ref name=BP281/>}}.
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