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Le {{date|26 juillet 1901}}, l'absence de lieu dans le quartier permettant {{citation|de rendre un profond témoignage de sympathie et d'admiration à ces braves qui payèrent de leur vie leur attachement à la République vraiment sociale}} est rappelée à l'occasion d'un article sur les Buttes Chaumont et les carrières d'Amérique qui interpelle les élus Charles Bos et [[Arthur Rozier]] signé A. Dumontier<ref group="N">« Dumontier » sera présenté comme membre du conseil d'administration de la ''Société de l'Hôpital-dispensaire du {{19e}}'' lors de l'inauguration de ses nouveaux locaux du 9 rue David d'Angers par ''Le Rappel'' du {{date|21 janvier 1902}} https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7549289z</ref> et publié par ''Le Rappel'' du jour<ref>{{Lien web |titre=Le Rappel|url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7548926j |site=Gallica |date=1901-07-26 |consulté le=2023-12-08}}.</ref>.
 
{{Ancre|19 janvier 1902}}Le dimanche {{date|19 janvier 1902}}, {{Citation|inauguration de l'hôpital-dispensaire et du gymnase médical fondés par les comités radicaux-socialistes des quartiers d'Amérique et de la Villette}} dans ses nouveaux locaux du 9, rue David d'Angers Paris {{19e}}<ref group="N">[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7549289z ''Le Rappel'' du 21 janvier 1902] rend compte, comme de nombreux journaux alors, de « l'inauguration de l'hôpital-dispensaire et du gymnase médical fondés par les comités radicaux-socialistes des quartiers d'Amérique et de [[La Villette (Seine)|la Villette]] » par [[Marie-Louise Loubet]], épouse du [[Président de la République française|président de la République]], le [[Louis André (général)|général André]], [[Ministère des Armées|ministre de la Guerre]] ; [[Jean-Marie de Lanessan]], [[Ministère de la Marine (France)|ministre de la Marine]]. L'événement réunit {{citation|une foule considérable}} ainsi que {{citation|[[Mathurin Moreau|Moreau]], officier de la Légion d'honneur, maire du {{XIXe}} ; Garcin, Mosnier, Vivent, adjoints ; [[Charles Bos]], [[Clovis Hugues]], députés ; Rozier, Brard, Paris, conseillers municipaux ; Legry, président du dispensaire, et les membres du conseil d'administration ; Bocquin, Dumontier{{etc.}}, le docteur Millien ; ...}}.</ref>.<BR/> Le changement de lieu de cet établissement précédemment installé 2, [[Place Rhin-et-Danube|place Danube]], correspond aussi un changement d'objet : consacré initialement aux enfants il devient ''pour adultes''. Par ailleurs, ''[[L'Intransigeant]]'' rapporte que cette inauguration était initialement prévue le {{date|22 décembre 1901}} et rappelle l'engagement toujours non-tenu de Charles Bos d'installer dans ce quartier une plaque commémorative<ref>{{article|périodique=[[L'Intransigeant]]|date=20 janvier 1902|titre=L'Impératrice au {{XIXe}}|numéro=7859|pages=1|url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k782572m/f1.item.zoom}}.</ref>.
 
[[Fichier:L Aurore le 5 septembre 1903 Souvenir.jpg|alt=L'article en première page de l'édition du samedi 5 septembre 1903 du journal L'Aurore.|vignette|''L'Aurore'', le {{date|5 septembre 1903}}.]]
 
Le changement de lieu de cet établissement précédemment installé 2, [[Place Rhin-et-Danube|place Danube]], correspond aussi un changement d'objet : consacré initialement aux enfants il devient ''pour adultes''. Par ailleurs, ''[[L'Intransigeant]]'' rapporte que cette inauguration était initialement prévue le {{date|22 décembre 1901}} et rappelle l'engagement toujours non-tenu de Charles Bos d'installer dans ce quartier une plaque commémorative<ref>{{article|périodique=[[L'Intransigeant]]|date=20 janvier 1902|titre=L'Impératrice au {{XIXe}}|numéro=7859|pages=1|url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k782572m/f1.item.zoom}}.</ref>.
 
Le {{date|5 septembre 1903}}, ''L'Aurore'' publie la brève « Souvenir »<ref name="ftn110" /> présentée en introduction de cet article, qui annonçait l'existence de cette plaque sur un mur de Paris.<BR/>