« Pau » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m →Culte catholique : pas de liens externes dans le corps des articles |
+ Balise : Révoqué |
||
Ligne 655 :
Fichier:Pau Soldats français de 1914-1918.jpg|alt=Photographie en noir et blanc de personnages montant des chevaux.|Des soldats français de la guerre 14-18 à Pau.
</gallery>
La conclusion des [[accords de Munich]] fin septembre 1938 suscite un soulagement et une joie profonde : contrairement aux usages, le conseil municipal attribue le nom du président du Conseil en exercice et encore en vie à une rue, [[Édouard Daladier|Daladier]], qui l’année suivante organise la chasse aux noms de rues évoquant le [[communisme]]<ref>Richard Vassakos, « [https://www.persee.fr/doc/onoma_0755-7752_2019_num_61_1_1915 Une revanche symbolique dans le Royaume du maréchal. La toponymie urbaine sous Vichy : premiers bilans d’une recherche] », ''Nouvelle revue d’onomastique'', 2019, {{n°}}61, {{p.}}243.</ref>.
Pendant la [[Seconde Guerre mondiale]], l'occupation allemande se traduit par l'installation de la [[Gestapo]] au sein de la villa Saint-Albert (aujourd'hui détruite) à partir de {{date-|décembre 1942}} et par l'utilisation de la [[caserne Bernadotte]] comme prison<ref group="Note">Utilisée à la fois par les SS et la Gestapo, elle était dotée de quatre cellules individuelles et d'une grande cellule collective, la prison pouvait accueillir jusqu'à une cinquantaine de prisonniers en même temps.</ref> jusqu'au {{date-|10 août 1944}}. Le maréchal [[Philippe Pétain|Pétain]] choisit la ville pour adresser un discours aux « paysans » le {{date-|21 avril 1941}}<ref name="BG 97" group="B">{{Harvsp|Bidot-Germa|2011|p=97|id=BG}}.</ref>. La résistance est active à Pau et dans son agglomération, l'entrepôt des résistants est situé rue Solférino<ref group="RP">
| |||