« Enfer (islam) » : différence entre les versions

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La description était sourcée par la source secondaire, pas les références coraniques ajoutées à posteriori
il y'avait des truc non correct que j'ai juste suprimer.J'accepte le fait de publier des connaissance et des pages qui peuvent étre modifier par n'importe qui, mais aussi on doit pas négligé la vérité.Donc écrire que "Le nombre 19, est qu'une question de rimes" veut nous expliquer que le coran a était écrit par des humain et que c'est du mansange, or nous les musulmans savent que dieu a écrit le coran et que cette histoire de 19 anges éxiste.Il faut publié correctement pour les négligant.
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Le Coran insiste, dans la description de l'enfer, sur le feu et sur son caractère destructeur. Les damnés en sont entourés et brûlés. Le Coran semble évoquer ce feu comme un châtiment avant tout corporel, de la même manière que les délices du paradis sont de nature physique. De même, le Coran, comme les sources juives, évoque une obscurité. D'autres tourments comme l'eau bouillante dans laquelle sont jetés les damnés ou les vents pestilentiels sont évoqués par le Coran. Une description très précise de ces tourments est donnée par le Coran<ref name=":0" />. Le Coran y décrit aussi un arbre dont les fruits ressemblent à des têtes de Satan<ref name=":0" />{{,}}<ref>Anna Caiozzo, "Une curiosité de l’enfer musulman : la représentation de l’arbre Zaqqûm dans un manuscrit timouride du xve siècle" ''Le Journal de la Renaissance, 4, 2006,'' p. 73-87.</ref>. L'auteur de ce passage pourrait s'être inspiré des palmiers décrits par un texte juif à l'entrée de l'enfer<ref>A.S Boisliveau, "Sourate 37", ''Le Coran des historiens,'' 2019, Paris, p. 1231 et suiv.</ref>.
 
D'après le Coran, l'enfer est clos et n'est ouvert que de sept portes. Un gardien, ''[[Malik#Religion|Malîk]]'', garde l'enfer avec 19 [[Malaikas|anges]]. L'idée que la ''géhenne'' soit gardée par des anges se retrouve dans la littérature talmudique et midrashique, ce qui pourrait être à l'origine de la description coranique<ref name=":0" />. Les chercheurs se sont interrogés sur le nombre 19, qui, pour [[Guillaume Dye|Dye]], pourrait n'avoir été choisi que pour une question de rime<ref>G. Dye, "Sourate 74", ''Le Coran des Historiens,'' 2019, Paris, p. 1889 et suiv.</ref>. Une muraille sépare cet enfer du paradis, avec pour la sourate 7, une catégorie d'hommes qui semble dans un lieu intermédiaire. Diverses interprétations ont été faites de ce passage<ref name=":0" />.
 
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