« François Athanase Charette de La Contrie » : différence entre les versions
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Entre mars et juin, Charette s'impose difficilement comme le commandant des insurgés des régions de [[Machecoul]] et [[Legé]]. Le 30 avril, les différentes armées vendéennes s'unissent pour former l'[[Armée catholique et royale (Vendée)|Armée catholique et royale]], mais dans les faits Charette continue d'agir de manière indépendante.
Affaibli par plusieurs défaites successives à la fin de l'année 1793, Charette parvient à échapper aux [[colonnes infernales]] qui ravagent la Vendée dans les premiers mois de l'année 1794. Les massacres indiscriminés commis par les
En décembre 1794, Charette accepte d'entamer des pourparlers avec les représentants de la [[Convention thermidorienne]] et le 17 février 1795, il conclut la paix et reconnait la République lors des [[traité de La Jaunaye|négociations de La Jaunaye]]. Cependant, il reprend les armes le 24 mai, après être entré en relation avec les princes en exil, les [[Grande-Bretagne|Britanniques]], les [[Armée des émigrés|émigrés]] et les [[chouans]] de [[Bretagne]]. En juillet, Charette est reconnu par [[Louis XVIII]] comme [[généralissime]] de l'[[Armée catholique et royale (Vendée)|Armée catholique et royale]].
La relance des hostilités tourne cependant au désastre. Abandonné par ses hommes, Charette est capturé le 23 mars 1796 dans les bois de [[Logis de la Chabotterie|la Chabotterie]] ([[Saint-Sulpice-le-Verdon]]). Condamné à mort, il est fusillé six jours plus tard à [[Nantes]], sur la [[place Viarme]]. Sa mort marque la fin de la deuxième [[guerre de Vendée]].
Par la pérennité de sa résistance, Charette passe dans la mémoire collective comme
== Biographie ==
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