« François Asselineau » : différence entre les versions
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François Asselineau affirme être le seul à proposer réellement la sortie de l’Union européenne et de la zone euro<ref name="ExtrêmementDivers" />{{,}}<ref name="Inclassables" />. Il avance par ailleurs que [[Marine Le Pen]] copie certaines de ses idées<ref name="Plus" /> et que le Front national, dont il assure être {{citation|l'un des opposants les plus résolus}}<ref name="Arrêt" />, {{citation|ne veut en aucun cas la sortie de l'Europe}}<ref name="Nord" /> car il ne prônerait pas l'activation de l'[[article 50 du traité sur l'Union européenne]] et présente des candidats étrangers, titulaires de la [[Citoyenneté de l'Union européenne|citoyenneté européenne]], aux [[élections européennes de 2014 en France|élections européennes]]<ref>{{Lien web|langue=|format=|auteur1=Béatrice Houchard|titre=Le FN a trouvé moins européen que lui|url=https://www.lopinion.fr/blog/a-front-renverse/fn-a-trouve-moins-europeen-que-lui-10329|série=|site=[[L'Opinion (quotidien français)|L'Opinion]].fr|éditeur=|jour=18|mois=mars|année=2014|isbn=|consulté le=20 septembre 2016|citation=|page=|id=|libellé=}}.</ref>.
François Asselineau accuse également le FN d'être {{citation|un agent du système, car il a pestiféré l'idée d'une sortie de l'Union européenne en l'assimilant à un discours extrémiste, anti-[[Arabes|arabe]] et [[Opposition à l'immigration|anti-immigrés]]}}<ref name="Percée">{{Article |langue= |auteur1=[[Laurent de Boissieu]] |titre=La percée de Marine Le Pen divise les souverainistes |périodique=[[La Croix]] |volume= |numéro= |date=8 avril 2011 |issn= |lire en ligne=http://www.ipolitique.fr/archive/2011/04/08/marine-le-pen-droite-souverainiste.html |consulté le=21 septembre 2016 |pages= |id= }}.</ref>. Il concède lors de sa campagne présidentielle que l'UPR peut se sentir proche {{citation|de quelqu'un comme [[Florian Philippot]] mais il est évident que le fond de sauce du FN a encore tout à voir avec la [[xénophobie]]}}, et affirme que le [[Gouvernement Bernard Cazeneuve|gouvernement en place]] est lui-même d'extrême droite<ref name="Rencontre" />. D'après [[Gaël Brustier]], l'UPR partage {{citation|l’idéologie du rassemblement national}} définie par [[Philippe Burrin]] et exploite, à travers le [[Conseil national de la Résistance]], {{citation|des références historiques qui le distinguent fortement du Front national. Ce dernier, positionné désormais sur le créneau « souverainiste », est obligé d’euphémiser le volet économique de son discours anti-UE qui inquiète parfois un électorat surtout mu par le discours identitaire, autoritaire et anti-immigration traditionnel du parti des Le Pen}}<ref name="RienFantaisiste" />. François Asselineau estime toutefois qu'il conviendrait de {{citation|calmer [les] phénomènes migratoires}}, déclarant : {{citation|Moi, quand je suis en France j'ai envie d'être en France, quand je suis en Espagne, j'ai envie d'être en Espagne}}<ref name="Nostalgique" />.
Le militant d'extrême droite [[Serge Ayoub]] a accueilli en 2010 l'une de ses conférences dans son bar, mais Asselineau affirme qu'il ignorait qui était son hôte<ref name="Arrêt" />{{,}}<ref name="Plus" />{{,}}<ref name="Sudouest" />{{,}}<ref name="StreetPress2013" />.
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