« Guy Fréquelin » : différence entre les versions

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== Biographie ==
Issu d'un milieu rural, il devient en 1964 pilote-moniteur d'engin blindé de reconnaissance (EBR) à [[Trèves (Allemagne)|Trèves]] dans le cadre de son service militaire<ref>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Guy|nom1=Fréquelin|auteur2=Philippe Séclier|responsabilité2=collaboration|préface=Jean Todt|postface=Sébastien Loeb|titre=Pilote de ma vie|lieu=Paris|éditeur=[[Calmann-Lévy]]|année=2009|pages totales=276|passage=27|isbn=978-2-7021-3987-5|oclc=298776666|id=2702139876}}</ref>.
 
'''Guy Frequelin''' réside en [https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Suisse Suisse] après avoir terminer sa carrière dans le [[sport automobile]]<ref>je suis dans la famille</ref>.
Devenu moniteur d'auto-école à Langres<ref>{{lien web|url=http://joomla.classicsportscar-rallyes.fr/rallyes/pilotes/59-guy-frequelin|titre=Guy Fréquelin|site=classicsportscar-rallyes.fr}}</ref>, sa première expérience en compétition automobile a lieu en 1966 au sein de l'écurie [[Haute-Marne]] (devenue l'ASA Langres peu après), lors du rallyes des Six Heures de [[Saint-Cloud]], où il copilote Gabriel Soffieti sur une [[Peugeot 204]]. Début 1967, il dispute une première course de côte sur sa propre [[Sunbeam]] [[Sunbeam_Alpine|Alpine]] à [[Marsannay-le-Bois|Marsannay]]<ref>{{Harvsp|Guy Fréquelin|Philippe Séclier|2009|texte=|p=34|loc=|id=2702139876}}</ref>; en décembre, il pilote sa nouvelle [[Renault 8 Gordini]] à la Ronde du Jura, qu'il remporte au scratch. En 1968, il participe aux sélections de la [[Gordini|Coupe Gordini]], sur le [[circuit Bugatti]]; il y réalise le meilleur temps, mais sa voiture (d'occasion) est déclarée non conforme, le précédent propriétaire ayant monté un arbre à cames modifié: il est alors radié à vie de la coupe (tout comme [[Jean-Claude Andruet]] l'année précédente). Il participe désormais au championnat national des circuits, qu'il termine à la troisième place et premier du groupe 1. En 1969, il pense pouvoir disposer d'une monoplace, mais ses espoirs seront déçus. Il revient aux rallyes et à la course de côte<ref>Mensuel [[Échappement (magazine)|Échappement]] {{n°|74}}, décembre 1974, ''Portrait Guy Fréquelin'', {{p.|49-50}};</ref>. Jusqu'alors moniteur d'[[auto-école]], il devient vendeur automobile pour une concession [[Renault]] en {{date-|février 1970}}<ref>{{Harvsp|Guy Fréquelin|Philippe Séclier|2009|texte=|p=46|loc=|id=2702139876}}</ref>.
 
 
Devenu [[moniteur d'auto-école]] à Langres<ref>{{lien web|url=http://joomla.classicsportscar-rallyes.fr/rallyes/pilotes/59-guy-frequelin|titre=Guy Fréquelin|site=classicsportscar-rallyes.fr}}</ref>, sa première expérience en compétition automobile a lieu en 1966 au sein de l'écurie [[Haute-Marne]] (devenue l'ASA Langres peu après), lors du rallyes des Six Heures de [[Saint-Cloud]], où il copilote [[Gabriel Soffieti]] sur une [[Peugeot 204]]. Début 1967, il dispute une première course de côte sur sa propre [[Sunbeam]] [[Sunbeam_Alpine|Alpine]] à [[Marsannay-le-Bois|Marsannay]]<ref>{{Harvsp|Guy Fréquelin|Philippe Séclier|2009|texte=|p=34|loc=|id=2702139876}}</ref>; en décembre, il pilote sa nouvelle [[Renault 8 Gordini]] à la Ronde du Jura, qu'il remporte au scratch. En 1968, il participe aux sélections de la [[Gordini|Coupe Gordini]], sur le [[circuit Bugatti]]; il y réalise le meilleur temps, mais sa voiture (d'occasion) est déclarée non conforme, le précédent propriétaire ayant monté un arbre à cames modifié: il est alors radié à vie de la coupe (tout comme [[Jean-Claude Andruet]] l'année précédente). Il participe désormais au championnat national des circuits, qu'il termine à la troisième place et premier du groupe 1. En 1969, il pense pouvoir disposer d'une monoplace, mais ses espoirs seront déçus. Il revient aux rallyes et à la course de côte<ref>Mensuel [[Échappement (magazine)|Échappement]] {{n°|74}}, décembre 1974, ''Portrait Guy Fréquelin'', {{p.|49-50}};</ref>. Jusqu'alors moniteur d'[[auto-école]], il devient vendeur automobile pour une concession [[Renault]] en {{date-|février 1970}}<ref>{{Harvsp|Guy Fréquelin|Philippe Séclier|2009|texte=|p=46|loc=|id=2702139876}}</ref>.
 
À partir de 1972, il se consacre exclusivement à la compétition automobile, après deux saisons de succès acquis en montagne. Il devient ainsi Champion de France de la discipline en groupe 7, au volant d'une GRAC MT14B Proto, malgré un sérieux accident en fin d'année. En 1973, il passe à la catégorie monoplace, mais la [[Veglia]] ne se montrant pas compétitive, il ne termine pas sa saison de côte, orientant de nouveau son programme sur le rallye. Il participe en 1973 au ([[Tour de France automobile]] et différents circuits) sur [[Porsche 911]] RSR préparé par [[Louis Meznarie]]. Il revient au groupe 7 en 1974 (Dangel, puis BBM), en parallèle aux rallyes<ref>Mensuel ''[[Échappement (magazine)|Échappement]]'', {{n°|74}}, décembre 1974, ''Portrait Guy Fréquelin'', {{p.|51-52}}</ref>.
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