« François Daulte » : différence entre les versions
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→Spoliation de la succession d'Anne-Marie Rouart : suppression du terme "spoliation de la" qui est connoté et sans fondement par rapport à la réalité Balises : Révoqué Éditeur visuel |
→Succession d'Anne-Marie Rouart : Suppression d'une phrase concernant Guy Wildenstein et non pas françois Daulte Balises : Révoqué Éditeur visuel |
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Après son décès, à l'ouverture d'un coffre lui ayant appartenu à Lausanne, on constate la présence de 24 œuvres, provenant de la succession d'Anne-Marie [[Famille Rouart|Rouart]] disparue en 1993, et réclamées par un de ses héritiers Yves Rouart (avec l'[[Académie des beaux-arts (France)|Académie des beaux-arts]]) aux exécuteurs testamentaires le marchand et personnalité politique [[Guy_Wildenstein#Succession_Anne-Marie_Rouart|Guy Wildenstein]] et Olivier Daulte, fils de François Daulte<ref>[[Vincent Noce]], « Le mystère de la Dame Rouart », dans ''[[Libération (journal)|Liberation]]'', 29 juin 2000 ([https://www.liberation.fr/culture/2000/06/29/le-mystere-de-la-dame-rouart_329053/ en ligne]).</ref>{{,}}<ref>Marine Leclinche, « In Matters of Probate: Trust but Verify », dans ''Center for Art Law'' [website], Brooklyn, NY, May 23, 2017 ([https://itsartlaw.org/2017/05/23/in-matters-of-probate-trust-but-verify/ en ligne]).</ref>.
Il est un temps reproché à l'Académie des beaux-arts son soutien aux exécuteurs testamentaires<ref>David Bensoussan, « L'autre affaire Wildenstein : à la poursuite des Manet disparus », dans ''Challenges'', 20 octobre 2016 ([https://www.challenges.fr/economie/l-autre-affaire-wildenstein-a-la-poursuite-des-manet-disparus_433684
== Notes et références ==
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