« Chaouia (Maroc) » : différence entre les versions
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| nombre fractions = 13
| fractions = Achach ; [[Mdakra]] ; [[Mediouna]] ; [[Mzab (tribu)|Mzab]] ; [[Mzamza]] ; Ouled Ali ; Ouled Bouziri ; [[Oulad Hriz]] ; Ouled Saïd ; Ouled Sidi Ben Daoud ; [[Ouled Ziane]] ; [[Zenata (tribu de la Chaouïa)|Zeneta]] ; [[Ziaïda]]
| langue = [[
| personnages marquants =
| institutions symboles =
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Le Pays de Tamesna, renommé ''Chaouia'' par les [[arabes]], faisait partie du royaume des [[Berghouata]] entre le {{s2-|VIII|XI}} avant d'être conquis par les [[Almoravides]]<ref name="Levy1">S. Lévy, ''Pour une histoire linguistique du Maroc'', dans ''Peuplement et arabisation au Maghreb occidental: dialectologie et histoire'', 1998, {{p.|11-26}} {{ISBN|84-86839-85-8}}</ref>.
À la suite de la défaite des [[Berghouata]], Après la capture de la ville de [[Marrakech]] en 1147 par [[Abd al-Mumin (calife)|Abd al-Mu'min]], celui-ci a encouragé l'installation de tribus arabes [[Bédouins|bédouines]] dans la région et le reste des plaines côtières marocaines, largement dépeuplées et inhabité après la conquête [[Almoravides|almoravide]]. Parmi ces tribus arabes figuraient les [[Hilaliens|Banu Hilal]] les [[Banu Maqil|Banu Ma'qil]] et les [[Banu Sulaym]].
Cette politique d'immigration massive par les [[almohades]] a entraîné une diffusion accrue de la langue [[arabe]] et une montée en importance des éléments arabes dans l'équilibre du pouvoir au [[Maroc]], à tel point que personne ne pouvait gouverner sans leur coopération<ref>{{Ouvrage|langue=en|prénom1=Elizabeth|nom1=Isichei|titre=A History of African Societies to 1870|éditeur=Cambridge University Press|date=1997-04-13|isbn=978-0-521-45599-2|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=3C2tzBSAp3MC&pg=PA190&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false|consulté le=2024-02-12}}</ref>.
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