« Émeutes de 2024 en Nouvelle-Calédonie » : différence entre les versions

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Le [[Front de libération nationale kanak et socialiste]] critique une {{Citation|énième tentative de passage en force}} du gouvernement, affirmant que la [[France]] cherche à {{Citation|constitutionnaliser la [[colonisation]] en [[Kanaky]]}}. Le [[Congrès de la Nouvelle-Calédonie]] à majorité indépendantiste demande le retrait de la réforme tandis que la présidente de l'[[Province_Sud_(Nouvelle-Calédonie)#Institution_et_politique|Assemblée de la province Sud]], [[Sonia Backès]], figure des anti-indépendantistes {{incise|ou Loyalistes}}, accuse le Congrès et le [[gouvernement de la Nouvelle-Calédonie]] d'être illégitimes.
 
Les émeutes s'inscrivent dans un contexte de crise économique et surtout d'inégalités entre les Kanak et le reste de la population. Le niveau de vie médian des Kanak est deux fois plus faible que celui des non-Kanak bien que les mesures misent en place suite à l’Accord de Nouméa ont permis de réduire ses inégalités.
 
Les émeutiers causent d'importants dégâts aux infrastructures et commerces de l'archipel, avec un coût estimé à 1 milliard d'euros. Des affrontements violents avec les forces de l'ordre ainsi qu'entre civils font sept morts et plusieurs centaines de blessés.