« Urushiol » : différence entre les versions
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L’'''
Le Botaniste Anglais Jonathan Stokes 1755/1831 fut le premier à décrire et à nommer l'arbre à laque Rhus verniciflua, puis vint De Candolle qui le nomma Rhus vernicifera, puis .....etc .... Je pourrai le décrire aussi, en Rhus Berthillii si je l'étudie profondément.
== Allergisant ==
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== Etymologie ==
Le nom vient du mot japonais {{japonais|漆, うるし||urushi}} qui désigne la [[Laque japonaise|laque]] (urushi éki 漆液) produite en Asie orientale à partir de
== Histoire scientifique ==
Selon Yoshida (1883), {{Citation|l'urushi est la sécrétion laiteuse de Rhus verniciflua Stockes - obligation de nommer le premier découvreur de cet arbre qui a un minimum de 5 noms latins.}},
<br>L'urushi pur et inaltéré est un fluide épais, grisâtre, à consistance dextrine<ref name=Baer1986/>. ▼
''L'Urushi, communément nommées, n'est pas la sève de l'arbre, c'''est un autre conduit ou tuyau ou poche à déterminer.
<br>Vu au microscope ce suc se révèle être constitué d'une émulsion de minuscules globules<ref name=Baer1986/>. Exposé à l'air humide en couche mince à environ 20°, ce suc s'assombrit et sèche en formant un vernis translucide, solide et brillant. Il contient cependant une petite quantité d'un [[allergène]] huileux volatil qui agit violemment chez certaines personnes<ref name=Baer1986>{{Article |langue=en |prénom1=Harold |nom1=Baer |titre=Chemistry and immunochemistry of poisonous anacardiaceae |périodique=Clinics in Dermatology |volume=4 |numéro=2 |date=1986-04-01 |issn=0738-081X |doi=10.1016/0738-081X(86)90074-X |lire en ligne=https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/0738081X8690074X |consulté le=2022-05-31 |pages=152-159}}.</ref>. ▼
L'Urushi est la laque largement et traditionnellement utilisée pour produire des objets d'art laqués en Chine et au Japon<ref name="Baer1986" />.
▲<br>L'urushi pur et inaltéré est un fluide épais,
▲<br>Vu au microscope ce suc se révèle être constitué d'une émulsion de minuscules globules<ref name="Baer1986" />. Exposé à l'air humide en couche mince à environ 20°, ce suc s'assombrit et sèche en formant un vernis translucide, solide et brillant. Il contient cependant une petite quantité d'un [[allergène]] huileux volatil qui agit violemment chez certaines personnes<ref name="Baer1986">{{Article |langue=en |prénom1=Harold |nom1=Baer |titre=Chemistry and immunochemistry of poisonous anacardiaceae |périodique=Clinics in Dermatology |volume=4 |numéro=2 |date=1986-04-01 |issn=0738-081X |doi=10.1016/0738-081X(86)90074-X |lire en ligne=https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/0738081X8690074X |consulté le=2022-05-31 |pages=152-159}}.</ref>.
L'urushiol en tant que puissant allergène d'origine végétale a été décrit au début des années 1950<ref>{{article | auteur = W. F. Symes et C. R., Dawson | titre = Poison ivy “urushiol.” | périodique = J Am Chem Soc | numéro = 76 | année = 1954 | pages = 2959-2963}}.</ref>.
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