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'''Bernard Benoliel''', né le {{date de naissance|14 mars 1965}} en [[France]], est un [[critique de cinéma]] [[France|français]], directeur de l'action culturelle et éducative à la [[Cinémathèque française]] depuis [[2004]]<ref>Entretien avec Bernard Bénoliel en 2002 : [http://www.objectif-cinema.com/interviews/185.php]</ref>.
 
== Éléments biographiques ==
Bernard Benoliel commence sa carrière de critique de cinéma en janvier 1990, participant à ''[[La Revue du cinéma (1969-1992)|La Revue du cinéma]]'', qui devient ''Le Mensuel du cinéma'' en 1992, jusqu'à ce que la revue cesse de paraître en juin 1994<ref name=Calindex>{{Lien web|langue=français|titre=Bernard Benoliel|url=http://indexpositif.free.fr/auteur.php?op=listart&num=4296|site=Calindex|consulté le=24 octobre 2016}}</ref>. Il entre alors pour la première fois aux ''[[Cahiers du cinéma]]'' dirigés par [[Thierry Jousse]], en mars 1995, mais n'écrit que trois textes pendant l'année dont un sur [[Henri Langlois]]<ref name="CineRessource">{{Lien web|langue=français |titre=Bernard Benoliel|url=http://www.cineressources.net/recherche_t_r.php?type=PNP&pk=43158&rech_type=E&textfield=Bernard+Benoliel&rech_mode=contient&pageF=1&pageP=1|site=Ciné-ressources|consulté le=23 octobre 2016}}</ref>. Il revient à la revue pour en devenir un collaborateur régulier de mars 1997 à novembre 2000, signant dès lors une centaine de textes sur [[Claude Chabrol]], [[Darezhan Omirbaev]], [[Takeshi Kitano]], [[Agnès Varda]], [[Chantal Akerman]], ou [[Frères Dardenne|Jean-Pierre et Luc Dardenne]], comme sur les cinéastes classiques [[Billy Wilder]], [[Michael Powell]], [[Douglas Sirk]], ou [[Nicholas Ray]]. Il publie un premier texte pour ''[[Trafic (revue)|Trafic]]'' en 1999.
 
Courant 1998, le directeur de la [[Cinémathèque française]] [[Dominique Païni]] l'engage pour diriger la diffusion culturelle (le prêt des copies de films) de l'institution, devenue ensuite l'action culturelle et éducative<ref name=Objectif5>{{Lien web|langue=français|auteur=Yves Gaillard|titre=Entretien avec Bernard Benoliel - 5/8|url=http://www.objectif-cinema.com/interviews/185d.php|site=Objectif Cinéma|date=18 décembre 2002|consulté le=23 octobre 2016}}</ref>. Entre 2001 et 2004, il est choisi par [[Janine Bazin]], responsable du [[Festival du film de Belfort - Entrevues]] depuis 1986, pour prendre sa succession à la direction artistique du festival<ref name=Objectif1>{{Lien web|langue=français|auteur=Yves Gaillard|titre=Entretien avec Bernard Benoliel - 1/8|url=http://www.objectif-cinema.com/interviews/185.php|site=Objectif Cinéma|date=18 décembre 2002|consulté le=23 octobre 2016}}</ref>.
 
Parallèlement à ses activités à la Cinémathèque, Bernard Benoliel signe ses premiers ouvrages avec un livre sur ''[[L'Homme de la plaine]]'' (2004), une monographie de [[Clint Eastwood]] (2007), un essai sur [[Bruce Lee]] prenant la forme d'une analyse d'''[[Opération Dragon]]'' (2010)<ref name=Dragon>{{Lien web|langue=français|auteur=[[Jean-Marc Lalanne]]|titre=Bruce Lee, les derniers secrets de la légende au corps d’armure|url=http://www.lesinrocks.com/2010/12/07/cinema/bruce-lee-les-derniers-secrets-de-la-legende-au-corps-darmure-1122576/|site=[[Les Inrockuptibles]]|date=7 décembre 2010|consulté le=23 octobre 2016}}</ref> et un livre sur [[Martin Scorsese]] ''[https://www.yellownow.be/post/____i-221 Taxi Driver]'' (2017). Il continue à publier des textes dans des revues, à ''[[Vertigo (revue)|Vertigo]]'' en 2013, et de façon plus régulière à ''Trafic'' dès 2012<ref name="CineRessource"/>.
 
En 2019, il publie Hitchcock, La Totale, avec Murielle Joudet, Gilles Esposito et [[Jean-François Rauger]]. Il est traduit en anglais, allemand, hollandais, chinois et espagnol.
 
== Filmographie ==
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