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| site web = https://doctrine.fr
}}
'''''Doctrine''''' est une start-up française qui édite une plateforme d'intelligence juridique<ref>{{Lien web |langue=FR |titre=La Cour européenne des droits de l’Homme repense l’accès aux archives de justice |url=https://mesinfos.fr/ile-de-france/la-cour-europeenne-des-droits-de-l-homme-repense-l-acces-aux-archives-de-justice-110518.html |site=mesinfos |date=2022-07-01 |consulté le=2024-08-10}}</ref> qui utilise des informations juridiques pour fournir des services aux professionnels du droit ([[Avocat (métier)|avocats]], [[Juriste d'entreprise|juristes]], etc.) et aux justiciables en utilisant l'[[intelligence artificielle]], notamment [[Intelligence artificielle générative|générative]].
'''''Doctrine''''' est une start-up française qui édite un moteur de recherche juridique.
 
== Historique ==
Doctrine est créécréée en [[juin 2016]]<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Doctrine |url=https://www.maddyness.com/entreprise/doctrine/ |site=Maddyness - Le média pour comprendre l'économie de demain |consulté le=2024-08-10}}</ref> par Nicolas Bustamante (ancien élève de l'[[École normale supérieure de Cachan]]<ref>{{lien web |titre=Annuaire en ligne |url=https://archive.wikiwix.com/cache/20160121000559/http://www.aae.ens-cachan.fr/annu-online.php |site=ens-cachan.fr via [[Wikiwix]] |consulté le=11-10-2023}}.</ref>), River<ref>{{Lien web |langue=en |titre=I’m changing my name |url=https://www.thepurple.blog/post/i-m-changing-my-name |date=2024-03-31 |consulté le=2024-05-05}}</ref> Champeimont (docteure en informatique de l'[[université Pierre-et-Marie-Curie]]<ref>{{Article|prénom1=Raphael|nom1=Champeimont|titre=Combinatoire des mutations génétiques|éditeur=Paris 6|date=2014-12-15|lire en ligne=https://theses.fr/2014PA066636|consulté le=2024-07-15}}</ref>) et Antoine Dusséaux (ancien élève de l'[[École polytechnique (France)|École polytechnique]]<ref>{{Ouvrage|titre=Arrêté du 29 novembre 2012 portant nomination des élèves admis en 2012 à l'Ecole polytechnique|lire en ligne=https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026759599|consulté le=2024-07-15}}</ref>). La société lève deux mois plus tard 2 millions d'euros auprès notamment des fonds de [[Capital risque|capital-risque]] Otium Venture, Kima Ventures et [[TheFamily]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Nicolas Rauline |titre=Doctrine, le « Google » des avocats, affole les compteurs de l'amorçage - Les Echos |url=https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/financer-sa-creation/0211384956829-doctrine-affole-les-compteurs-de-l-amorcage-300933.php |site=business.lesechos.fr |consulté le=2018-07-05}}.</ref>. En 2018, elle compte plus de 50 employés et lève 10 millions d'euros supplémentaires auprès de Otium Venture et de [[Xavier Niel]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Guillaume Bregeras |titre=Doctrine lève 10 millions pour son moteur de recherche juridique - Les Echos |url=https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/financer-sa-creation/0301893746505-doctrine-en-passe-d-imposer-son-moteur-de-recherche-dans-l-univers-juridique-321990.php |site=business.lesechos.fr |consulté le=2018-07-05}}.</ref>.
 
Pour approvisionner son moteur de recherche, ''Doctrine'' noue un partenariat non-exclusif controversé avec [[Infogreffe]], pour mettre à disposition de ses clients la totalité de sa manne documentaire (environ 2 millions de décisions, soit 10 ans d’historique exhaustif des décisions des [[Tribunal de commerce (France)|tribunaux de commerce]])<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Marion Deye |titre=Tribunaux de commerce : l'exorbitant cadeau d'Infogreffe à Doctrine.fr |url=https://www.lalettrea.fr/entreprises_tech-et-telecoms/2018/06/25/tribunaux-de-commerce--l-exorbitant-cadeau-d-infogreffe-a-doctrinefr,108314593-ge0 |site=La Lettre A |date=2018-06-25 |consulté le=2020-12-18}}.</ref>.
 
En décembre 2020, ''Doctrine'' annonce signer la Charte sur la transparence et l'éthique de l'utilisation des données judiciaires du [[Conseil national des barreaux]]<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Nicolas Molfessis|auteur2=François Terré|titre=Introduction générale au droit|lieu=Paris|éditeur=Dalloz|année=2023|pages totales=919|passage=766|isbn=9782247228591}}</ref>.
 
En 2021, la branche française d'[[Avocats sans frontières (ONG)]] signe un partenariat avec ''Doctrine''. La startup s'engage à reverser 1% de son nouveau chiffre d'affaires pour soutenir l'ONG dans trois projets en Afrique francophone (notamment au Mali, Nigeria, Guinée et Côte d’Ivoire)<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Accès au droit : Doctrine reverse 1% de son chiffre d'affaires à Avocats Sans Frontières France |url=https://www.magazine-decideurs.com/news/acces-au-droit-doctrine-reverse-1-de-son-chiffre-d-affaires-a-avocats-sans-frontieres-france |site=magazine-decideurs.com |consulté le=2022-02-10}}.</ref><ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Actualités - Avocats Sans Frontières France |url=https://www.avocatssansfrontieres-france.org/fr/actualites/362/ |site=www.avocatssansfrontieres-france.org |consulté le=2024-08-10}}</ref>.
 
En avril 2023, la société annonce son rachat par la branche européenne du fonds d'investissement {{Lien|trad=Summit Partners}} et par la société d'investissement de la famille Peugeot, [[Peugeot Invest]]<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |auteur=Delphine Iweins |nom= |titre=Rachat de Doctrine par Summit Partners, les américains visent les legaltechs françaises |url=https://www.maddyness.com/2023/04/11/rachat-doctrine-summit-partners/ |site=Maddyness |date=2023-04-11 |consulté le=2024-07-08}}</ref>.
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Le Ministère de la justice obtient en 2019 la rétractation judiciaire de l’arrêt de la Cour d’appel de Paris devant cette même cour<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Doctrine.fr perd une manche contre la Chancellerie et en gagne une contre les éditeurs juridiques |url=https://www.lalettrea.fr/entreprises_tech-et-telecoms/2019/07/04/doctrinefr-perd-une-manche-contre-la-chancellerie-et-en-gagne-une-contre-les-editeurs-juridiques,108364123-art |site=La Lettre A |date=2019-07-04 |consulté le=2022-08-29}}.</ref>.
 
En 2022, Doctrine annonce saisir la [[Cour européenne des droits de l'homme|Cour européenne des droits de l’homme]] pour obtenir la reconnaissance de son droit d'accès<ref>{{Lien web |auteur=Alice Vitard |titre=Doctrine s'en remet à la justice européenne pour nourrir son moteur de recherche juridique |url=https://www.usine-digitale.fr/article/la-legaltech-doctrine-s-en-remet-a-la-justice-europeenne-pour-nourrir-son-moteur-de-recherche-juridique.N2020982 |site=usine-digitale.fr |consulté le=2022-08-29}}.</ref>. La CEDH a considéré la requête recevable le 27 juin 2022, la procédure reste pendante<ref>{{Lien web |titre=HUDOC - European Court of Human Rights |url=https://hudoc.echr.coe.int/fre#%7B%22itemid%22:%5B%22001-218214%22%5D%7D |site=hudoc.echr.coe.int |consulté le=2024-08-10}}</ref>.
 
=== Procédure pour suspicion de concurrence déloyale ===
En 2018, cinq éditeurs juridiques, [[Dalloz]], [[LexisNexis|LexisNexis France]], [[Lamy Liaisons|Wolters Kluwer]] France]], [[Lextenso]] et Lexbase, obtiennent du Tribunal de commerce l'autorisation de réaliserdiligenter une perquisitionmesure privéed'instruction dans les locaux de Doctrine<ref>{{Article|langue=fr|auteur1=Isabelle Chaperon|titre=Règlement de comptes chez les éditeurs juridiques|périodique=Le Monde.fr|date=2018-10-05|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/10/05/reglement-de-comptes-chez-les-editeurs-juridiques_5365405_3234.html|consulté le=2022-08-29}}</ref>. Néanmoins, enEn juillet 2019, le même Tribunal rétracte son ordonnance et ordonne la destruction des données saisies, considérant qu'elles étaient sans rapport avec l'objet du litige<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Guillaume |nom=Bregeras |titre=Doctrine gagne contre les éditeurs juridiques |url=https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/actu/0601526815485-doctrine-gagne-contre-les-editeurs-juridiques-330390.php#Xtor=AD-6000 |site=Les Echos Executives |date=2019-07-04 |consulté le=2022-08-29}}.</ref><ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Tribunal de commerce Paris |titre=T. com. Paris, décision2 confirméejuill. peu2019, après par2018059186-2 |url=https://www.doctrine.fr/d/TCOM/Paris/2019/DE448859646002857 |site=Doctrine |date=2 juillet 2019 |consulté le=10 août 2024}}</ref>. Saisie en référé rétractation, la Cour d'appel a par ailleurs annulé la saisie<ref>{{Article|langue=fr|auteur1=Isabelle Chaperon|titre=L’information juridique en procès|périodique=Le Monde.fr|date=2019-08-05|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/08/05/l-information-juridique-en-proces_5496730_3234.html|consulté le=2022-08-29}}</ref>, puisdécision censuréecassée par la Cour de cassation en 2021<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=ID FACTO |prénom= |nom= |titre=Saisie chez un concurrent : dernières précisions jurisprudentielles |url=https://www.lemag-juridique.com/categories/articles-15504/articles/saisie-chez-un-concurrent-dernieres-precisions-jurisprudentielles-1843.htm |site=LE MAG JURIDIQUE |consulté le=2024-07-24}}</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage|titre=Cour de cassation, civile, Chambre civile 2, 25 mars 2021, 19-23.448, Inédit|date=25 mars 2021|lire en ligne=https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000043351684?isSuggest=true|consulté le=2024-07-24}}</ref>.
 
Les éditeurs juridiques saisissent au fond le tribunal de commerce de Paris en mars 2020, sur le fondement de la concurrence déloyale, du parasitisme et de la publicité trompeuse<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Sahra Saoudi |titre=Comment les éditeurs juridiques veulent faire rentrer Doctrine.fr dans le rang |url=https://www.lalettrea.fr/medias_plateformes/2020/03/02/comment-les-editeurs-juridiques-veulent-faire-rentrer-doctrinefr-dans-le-rang,108396046-ge0 |site=La Lettre A |date=2020-03-02 |consulté le=2022-08-29}}.</ref>.
 
En février 2023, les cinq éditeurs sont déboutés aude fondl'ensemble de leurs demandes fondées sur des reproches de concurrence déloyale et condamnés à à 50000€ de dommages et intérêts pour procédure abusive et à 125000€ de frais de justice<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=AFP |titre=Cinq éditeurs juridiques condamnés pour procédure abusive contre le site Doctrine.fr |url=https://www.lefigaro.fr/conjoncture/cinq-editeurs-juridiques-condamnes-pour-procedure-abusive-contre-le-site-doctrine-fr-20230223 |site=Le Figaro |date=2023-02-23 |consulté le=2023-04-04}}.</ref>, unle tribunal considérant que les cinq éditeurs {{Citation|ont fait peser sur [Doctrine] une pression judiciaire hors de proportion avec les reproches formulés et que leur comportement ne peut s’expliquer que par la volonté d’intimider ce nouvel entrant pour tenter de l’éliminer du marché en obérant sa capacité de développement}}<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Tribunal de commerce de Paris |titre=T. com. Paris, 12e ch., 23 févr. 2023, n° 2020019375 |url=https://www.doctrine.fr/d/TCOM/Paris/2023/KFV0D76BAFF76F9E783205C |site=Doctrine |date=23 février 2023 |consulté le=10 août 2024}}</ref>. Un appel étantest pendant<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Léon Cattan |titre=Affaire Doctrine.fr : cinq éditeurs font appel |url=https://www.livreshebdo.fr/article/affaire-doctrinefr-cinq-editeurs-font-appel |site=Livres Hebdo |consulté le=2024-03-29}}</ref>.
 
=== Accusation de typosquating ===
En 20172018, Doctrine est mise en cause pour des pratiques de « typosquatting », une forme d'[[hameçonnage]] basée sur l'imitation de [[Nom de domaine|noms de domaines]] d'universités et de sociétés (par exemple : Avocatline, l'[[Université Panthéon-Assas|Université Paris 2]], etc.)<ref name=":0">{{Article|langue=fr|auteur1=Isabelle Chaperon|titre=Piratage massif de données au tribunal|périodique=Le Monde.fr|date=2018-06-28|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/06/28/piratage-massif-de-donnees-au-tribunal_5322504_3234.html|consulté le=2020-06-25}}</ref>.
 
Doctrine utilisait ces noms de domaines pour envoyer des emails d'universitaires ou d'avocats fictifs, en vue obtenir des copies de décisions auprès des [[Greffier dans la justice judiciaire française|greffes]] des juridictions (qui avaient refusé à plusieurs reprises de les communiquer à Doctrine). Ces noms de domaine étaient achetés via la société « Legal Nemesis Limited », dont les statuts ont été déposés par l'[[Incubateur d'entreprises|incubateur]] de Doctrine, [[TheFamily]]<ref name=":0" />.
 
Un an après le scandale du « typosquatting », le [[Conseil national des barreaux]]<ref name=":1">{{Lien web |langue=fr |titre=Le CNB et le barreau de Paris ont déposé une plainte pénale contre doctrine.fr |url=https://www.cnb.avocat.fr/fr/actualites/le-cnb-et-le-barreau-de-paris-ont-depose-une-plainte-penale-contre-doctrinefr |site=Conseil national des barreaux |date=2019-09-10 |consulté le=2020-06-25}}.</ref> et le [[Ordre des avocats de Paris|Barreau de Paris]]<ref name=":2">{{Lien web |langue=fr |titre=Le barreau de Paris poursuit en justice la société FORSETI, éditrice du site doctrine.fr |url=http://www.avocatparis.org/le-barreau-de-paris-poursuit-en-justice-la-societe-forseti-editrice-du-site-doctrinefr |site=Ordre des avocats de Paris |date=2018-09-28 |consulté le=2020-06-25}}.</ref> ont déposé plainte contre Doctrine auprès du substitut du procureur de la République de Paris. Les infractions visées dans la plainte sont les suivantes :
 
Doctrine utilisaitest accusée d'avoir utilisé ces noms de domaines pour envoyer des emails d'universitaires ou d'avocats fictifs, en vue obtenir des copies de décisions auprès des [[Greffier dans la justice judiciaire française|greffes]] des juridictions (qui avaient refusé à plusieurs reprises de les communiquer à Doctrine). Ces noms de domaine étaient achetés via la société « Legal Nemesis Limited », dont les statuts ont été déposés par l'[[Incubateur d'entreprises|incubateur]] de Doctrine, [[TheFamily]]<ref name=":0" />.
* usurpation du titre d’avocat ;
* usurpation d’identité ;
* escroquerie ;
* vol simple et accès et maintien frauduleux dans un système informatique ;
* recel et traitement automatisé d'informations nominatives sans déclaration préalable à la Commission nationale de l'informatique et des libertés<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Delphine Iweins et Deborah |nom=Loye |titre=La guerre s'intensifie entre Doctrine et les avocats |url=https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/actu/0601476339638-la-guerre-s-intensifie-entre-doctrine-et-les-avocats-330194.php#Xtor=AD-6000 |site=Les Echos Executives |date=2019-06-27 |consulté le=2020-06-25}}.</ref>.
 
OutreLe l’utilisation[[Conseil denational faussesdes adressesbarreaux]]<ref emailsname=":13">{{Lien àweb des|langue=fr fins|titre=Le deCNB collecteet le barreau de décisionsParis judiciaires,ont déposé une plainte pénale contre doctrine.fr |url=https://www.cnb.avocat.fr/fr/actualites/le-cnb-et-le-barreau-de-paris-ont-depose-une-plainte-penale-contre-doctrinefr [[|site=Conseil national des barreaux]] |date=2019-09-10 |consulté le=2020-06-25}}.</ref> et le [[Ordre des avocats de Paris|Barreau de Paris]]<ref name=":23">{{Lien web |langue=fr |titre=Le barreau de Paris poursuit en justice la société FORSETI, éditrice du site doctrine.fr |url=http://www.avocatparis.org/le-barreau-de-paris-poursuit-en-justice-la-societe-forseti-editrice-du-site-doctrinefr |site=Ordre des avocats de Paris |date=2018-09-28 |consulté le=2020-06-25}}.</ref> ont déposé plainte contre Doctrine pour ces faits auprès du substitut du procureur de la République de Paris, et dénoncent lespar ailleurs des pratiques consistant à proposer un profilage ou scoring de l’activité des confrères, à partir de données souvent incomplètes et non représentatives de la réalité de leur activité professionnelle<ref name=":1" />{{,}}<ref name=":2" />.
 
En janvier 2021, le parquet de Paris aurait requis le renvoi en correctionnelle d'un ancien salarié de Doctrine, qui continue d'affirmer la licéité de la collecte des décisions de justice disponibles sur sa plateforme<ref>{{Lien web |auteur=Alice Vitard |titre=Doctrine réaffirme la légalité de sa collecte des décisions de justice pour alimenter sa technologie |url=https://www.usine-digitale.fr/article/doctrine-reaffirme-la-legalite-de-sa-collecte-des-decisions-de-justice-pour-alimenter-sa-technologie.N1786227 |site=usine-digitale.fr |consulté le=2022-08-29}}.</ref>.
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== Liens externes ==
* {{Site officiel|https://www.doctrine.fr/}}
* [https://doctrine.it/ Doctrine pour l'Italie]
 
== Références ==
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Doctrine_(site_web) ».