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Michel Debré consacre les dernières années de sa vie à l'écriture. Le {{date-|24|mars|1988}}, il est élu au [[Liste des académiciens par fauteuil#Fauteuil 1|premier fauteuil]] de l'[[Académie française]], succédant au prince [[Louis de Broglie]]. Il est reçu le {{date-|19|janvier|1989}} par [[Jean Bernard (médecin)|Jean Bernard]]. Son [[Épée d'académicien|épée]], dessinée par son frère [[Olivier Debré|Olivier]], représente une [[croix de Lorraine]]<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Réponse au discours de réception de Michel Debré {{!}} Académie française|url=http://www.academie-francaise.fr/reponse-au-discours-de-reception-de-michel-debre|site=www.academie-francaise.fr|consulté le=2018-06-07}}</ref>.
[[File:Michel Debré tombe.jpg|thumb|right|Tombe de Michel Debré et de sa famille.]]
Atteint de la [[maladie de Parkinson]], il meurt le {{date-|2|août|1996}} dans sa villa de [[Montlouis-sur-Loire]], en [[Indre-et-Loire]]. Il est enterré au [[Cimetière des Ursulines (Amboise)|cimetière des Ursulines]] d'[[Amboise]], commune dont il a été maire de 1966 à 1989. Un dernier hommage solennel lui est rendu à Amboise le {{date-|5 août}}, au cours d'une cérémonie catholiquereligieuse, en présence du président de la République [[Jacques Chirac]], qui s'est achevée sur le parvis de la collégiale Saint-Denis avec les honneurs militaires et s'est conclue au son du ''[[Le Chant des partisans|Chant des partisans]]''. Le Premier ministre, [[Alain Juppé]], et une quinzaine de membres de [[Gouvernement Alain Juppé (2)|son gouvernement]], les anciens Premiers ministres [[Pierre Messmer]] et [[Édouard Balladur]], de nombreuses personnalités du gaullisme étaient présents.
 
Il est remplacé à l’Académie française par [[François Furet]], mort avant d'avoir pu siéger sous la Coupole, puis par [[René Rémond]] le {{date-|18|juin|1998}}.
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