« Injection (moteur) » : différence entre les versions
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Au régime optimal, l'électronique injecte le carburant nécessaire pour une combustion [[stœchiométrique]]<ref>{{Lien web|url=http://www.rennes.supelec.fr/ren/fi/elec/proj1a/airflow/alimentation_des_moteurs_essence.htm |titre=L’alimentation des moteurs essence. Le dosage du mélange.|site=supelec.fr|consulté le=30 septembre 2016|brisé le = 2023-11-25}}.</ref>.
À pleine charge ou lors des accélérations, l'électronique injecte le carburant pour obtenir in ti tracteur un mélange riche. {{refnec|Pour augmenter la réactivité du moteur certains constructeurs injectent une faible quantité de carburant dans le [[front de flamme]] lors de la descente du piston avec l'inconvénient majeur d'éroder plus rapidement la soupape d'admission}}, alors que d'autres vont utiliser un turbocompresseur avec le surcout que cela engendre lors de la production du véhicule.
{{refnec|L'économie ne se passe que pour un moteur en charge partielle}}. {{pas clair|Dans ces conditions, le carburant est injecté de façon à obtenir un mélange idéalement riche (stœchiométrique) dans un volume où l'utilité est optimale, et se trouve en mélange pauvre dans le reste du cylindre}}. L'obtention de la {{quoi|forme idéale}} est favorisée par une pression intérieure supérieure à la [[pression atmosphérique]], d'où la généralisation de l'utilisation conjointe d'un système de [[Compression (thermodynamique)|compression]] de gaz à l'admission et de l'injection directe<ref>Direct Carburant Injection for Gasoline Engines, {{ISBN|978-0-7680-0536-3}}</ref>. {{refnec|Cette combinaison n'a pas le même succès sur les moteurs à allumage commandé, en raison du besoin de gérer en sus des émissions de NOx}}.
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