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Bamako, du [[bambara]] « bàmakɔ̌ » (qui signifie « [[marigot (géographie)|marigot]] du crocodile »), a été fondée à la fin du {{s-|XVI}} par les [[Niarés|Niaré]] (Niakhaté, d’origine Soninké venus du [[Empire du Ghana|Wagadou]] et du [[Royaume bambara du Kaarta|Kaarta]])<ref>{{Article|prénom1=Claude|nom1=Meillassoux|titre=Histoire et institutions du kafo de Bamako d'après la tradition des Niaré|périodique=Cahiers d'Études africaines|volume=4|numéro=14|pages=186–227|date=1963|doi=10.3406/cea.1963.3718|lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/cea_0008-0055_1963_num_4_14_3718|consulté le=2024-02-20}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Création de Bamako – District de Bamako |url=https://bamako.ml/creation-de-bamako/ |consulté le=2024-02-20}}</ref>. Le crocodile étant le fétiche de Bamako, une jeune fille vierge lui était donnée à manger chaque année<ref>[[Albert Londres]], ''[[Terre d'ébène]]'', chapitre 4 « À Bamako », Albin Michel, 1929, {{p.|31}} {{Lire en ligne |url=http://www.manioc.org/patrimon/GAD12024/}}</ref>.
 
[[Fichier:Fort de Bammakou.jpg|vignette|gauche|Le fort construit en 1883.]]
Les trois crocodiles qui symbolisent Bamako trouvent leur origine à partir des trois marigots qui traversaient Bamako : Lido, Diafarana et Bèlèsôkô. Les marigots se rejoignaient environ à {{unité|500|mètres}} à l'est de l'Hôtel de l'Amitié de Bamako (fruit de la coopération égypto-malienne aux lendemains des indépendances) pour se jeter ensuite dans le Niger.
[[Fichier:Gustave Borgnis-Desbordes Appert BNF Gallica (cropped).jpg|vignette|upright|[[Gustave Borgnis-Desbordes]] en 1886.]]
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