« Le Comte de Monte-Cristo » : différence entre les versions
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=== Personnages secondaires ===
* '''Franz de Quesnel, Baron d'Epinay''', ami d'Albert, c'est le premier à rencontrer le Comte qui l'accueille dans les grottes de Monte-Cristo sous le nom de Sinbad le Marin.
* '''Luigi Vampa''', bandit romain dont le quartier général se trouve dans les [[catacombes]] de [[Basilique Saint-Sébastien-hors-les-Murs|Saint-Sébastien]] ou sous les ruines des [[thermes de Caracalla]]. Très érudit, il lit les ''[[Commentaires sur la Guerre des Gaules|Commentaires]]'' de [[Jules César|César]] et les ''[[Lettres à Lucilius]]'' de [[Sénèque]] dans le texte. Il commande une terrible bande et ne se reconnaît qu'un seul maître, Monte-Cristo, qui a sauvé l'un de ses amis de l'exécution à laquelle il était promis<ref>[[s:Le Comte de Monte-Cristo/Chapitre 35|Chapitre XIV, Volume II]], {{p.|265}}.</ref>et qui un jour que Vampa cherchait à le dépouiller, l'avait arrêté grâce à une force supérieure mais l'avait ensuite libéré contre sa fidélité. La biographie de Vampa est minutieusement détaillée à Franz d'Épinay et Albert de Morcerf par «
* '''Lucien Debray''', secrétaire particulier du [[Ministère de l'Intérieur (France)|ministre de l'Intérieur]]. Il est l'amant de Madame Danglars, qu'il renseigne sur les affaires internationales, ce qui leur permet de boursicoter de concert avec l'argent du banquier dans une « roulette où l'on gagne toujours sans miser jamais ! », comme dit joliment Danglars à sa femme, lorsque la tendance s'inverse fâcheusement par la faute de Monte-Cristo et du [[télégraphe Chappe]]. Il garde donc leurs gains communs et lorsque Danglars entre en disgrâce, il remet sa part à la Baronne en lui conseillant de quitter Paris. Il a un temps réfléchi à épouser Eugénie Danglars pour sa fortune avant de se raviser.
* '''Beauchamp''', jeune mais influent journaliste à ''l'Impartial'', feuille d'opinion plutôt d'opposition à [[Louis-Philippe Ier|Louis-Philippe]]. C'est dans ''L'Impartial'' que sera publié le fameux article « On nous écrit de Janina », suscité par le comte et qui déclenchera le scandale d'Albert de Morcerf, le fils de Fernand. Provoqué par Albert, Beauchamp diligentera une enquête confirmant et aggravant lourdement les premiers soupçons. Par amitié pour le jeune vicomte, il accepterait bien d'étouffer l'affaire mais, passant à la vitesse supérieure, le comte, toujours ''incognito'', a alerté l'ensemble de la presse parisienne. ''L'Impartial'' ne pourra plus reculer, provoquant ainsi le duel avorté entre Albert et le comte, puis le déshonneur et le suicide de Fernand.
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