« Cheikh Sadek El Béjaoui » : différence entre les versions
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Son quartier s'appelle café Zoubir Balises : Révoqué Éditeur visuel Modification par mobile Modification par le web mobile |
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== Biographie ==
Sadek El Béjaoui est issu d'une modeste famille [[Béjaïa|béjaouie]] originaire de la région d'[[Aïn El Hammam|Ain El Hamman]], et qui a résidé au vieux quartier
En 1934, il voyage à [[Tlemcen]] où il fait la rencontre du [[Larbi Bensari|cheikh Larbi Bensari]] et il acquit un répertoire musical [[hawzi]] plus dense<ref name="infos"/>. Il revient à sa ville natale avec la maîtrise de la nouba dans sa structure complète, il crée, après la dissolution de son association culturelle par l'administration coloniale française<ref>{{Article |langue= |auteur1=L Oubira |titre=Le maître de la chanson andalouse ressuscité à Béjaïa |périodique=[[Liberté (Algérie)|Liberté]] |volume= |numéro= |date=14/01/2010 |pages=13 |issn= |e-issn= |lire en ligne= |consulté le=20 octobre 2020 |id= }}.</ref>, un cercle musical dans son café. Après l'indépendance, il réanimera le conservatoire de musique. Sous son impulsion, l'École de Béjaïa s'est imposée au côté de celles d'[[Alger]], [[Tlemcen]] et [[Constantine (Algérie)|Constantine]]<ref name="elwatan">[http://www.djazairess.com/fr/elwatan/83662 Des noubate pour le plus andalou des Bougiotes], El Watan du {{date-|30/12/2007}}</ref>.
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