Bien que les deux ''corpus'' de lois tendent à se rejoindre sur la forme grâce à l'harmonisation internationale opérée par la [[convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques|convention de Berne]]<ref name="Berne">{{lien web|langue=fr|url=http://www.wipo.int/treaties/en/ip/berne/|site=wipo.int|titre=La Convention de Berne (WIPO)|consulté le=12 juin 2013}}.</ref>, ils diffèrent notablement sur le fond<ref>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Françoise|nom1=Benhamou|lien auteur1=Françoise Benhamou|prénom2=Joëlle|nom2=Farchy|titre=Droit d'auteur et copyright|éditeur=La Découverte|lieu=Paris|année=2009|pages totales=128|isbn=978-2-7071-5726-3}}.</ref>. Le copyright relève plus d’une logique économique et accorde un [[droit moral]] restreint, là où le [[droit d'auteur]] assure un droit moral fort en s'appuyant sur [[Droit d'auteur#Fondements philosophiques|le lien entre l'auteur et son œuvre]].
