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=== En politique. Retour au grand reportage et passage à l'édition ===
 
Il se présente aux élections législatives en [[1900]] dans la deuxième circonscription de la [[Seine-Inférieure]] ([[Yvetot]]) en tant que candidat du Parti républicain. Il échouera de peu dans cette tentative, échec dû à une manœuvre du comte [[de Dion]]. quiCelui-ci a fait distribuer dans lescette campagnes,région aux éleveursd'élevage, le livre que Pierre Giffard a publié l'année précédente, ''La Fin du cheval'', en présentant celui-ci comme le programme politique de Giffard. A nouveau candidat aux élections de 1902, il seraest encore battu, au motif de son soutien appuyé à Dreyfus.
 
Jusqu’en [[1903]], il se consacre entièrement au journal ''Le Vélo'', qu’il a co-fondé. Il entre suite au ''Matin''. Ce dernier l’envoie en 1905 en Extrême-Orient où éclate la [[guerre russo-japonaise]]. Il quitte ce quotidien peu après son retour en France.
 
Il collabore ensuite, épisodiquement, à différents journaux comme ''La Dépêche coloniale'' et ''Le Petit Marseillais''. C'est alors qu'il s'accomplit dans le roman populaire qu'il a abordé dès 1904.
 
En juin [[1906]], doyen des reporters français, il reprend du service pour ''Le Figaro'' lors de la réunion de la première Douma (parlement russe). Vers 1910, Henri Desgrange l'appelle à collaborer à ''L'Auto'', fonction plus statique qu'il gardera jusqu'à ses derniers jours.
 
Pierre Giffard est décédé le 21 janvier [[1922]] à [[Maisons-Laffitte]], lieu où il résidait depuis 1883. Pour l'anecdote, c'est dans cette ville qu'il demanda en 1910 à son pâtissier de lui faire un gâteau en forme de roue. Le Paris-Brest était né.
 
== Faits marquants ==
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