« Procréation médicalement assistée » : différence entre les versions

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L’origineA l’origine, les premières techniques de PMA (insémination artificielle) ont été développées pour permettre à des couples infertiles d’avoir des enfants.
Par la suite, ces techniques ont été utilisées dans d’autres cas, y compris pour éviter la transmission de maladies génétiques.
 
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Les grands principes juridiques de l’assistance médicale à la procréation sont les suivants :
 
1/ La mise en œuvre de l’assistance médicale à la procréation est indiquée lorsque le couple se trouve face à une infertilité médicalement constatée ou pour éviter la transmission d’une maladie grave à l’enfant ou à l’un des membres du couple. Elle se pratique dans des établissements autorisés et par des praticiens agréés pour ces activités. Le couple (un homme et une femme) doit être en âge de procréer et marié ou en mesure de justifier d’au moins deux ans de vie commune. En France, il est interdit de faire appel à une « mère porteuse » et d’avoir recours à un double don de gamètes.
L’anonymat, la gratuité et le volontariat sont les grands principes sur lesquels repose le don de gamètes et l’accueil d’embryons.
 
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5/ Comme pour le don de gamètes, lors d’un accueil d’embyons, le couple receveur donne son consentement au juge, qui a aussi une mission de contrôle des conditions d’accueil que le couple est susceptible d’offrir à l’enfant à naître sur le plan familial, éducatif et psychologique. L’accueil d’embryons est subordonné à une autorisation du juge donnée pour trois ans au couple receveur.
 
 
 
== Notes et références ==