« Roue médecine » : différence entre les versions

Il existe plusieurs variantes de la roue de médecine. Une femme anishnabe ([[Ojibwés|ojibwa]]), qui habitehabitant la réserve Sagamok First Nation, fait la description de la roue de médecine. Le cercle de vie est séparé en quatre parties égales qui représentent chacune une direction différente. etUne quicouleur est associéassociée à unechacune couleurde ces parties. Au centre de ce cercle, il y a la Terre aussi appelée le tout ou le grand Mystère. EnChaque plusdirection desest couleurs, chaque directions sontégalement associéesassociée à un aspect de l’humain ainsi qu’à une saison. Le nord, le quartier supérieur, représente l’[[esprit]], l’hiver et est accompagnéeaccompagné de la couleur blanche. Le quartier de droite, l’est, de couleur jaune, symbolise la raison et le printemps. Le sud, le quartier inférieur, porte la couleur du rouge et représente le corps et l’été. L’ouest, quant à lui, àpossède la couleur du noir et est représenté par le cœur et l’automne. Ces quatre couleurs représentent aussi les quatre races du monde. Les Anishnabes remplacent habituellement la couleur noire par la couleur brune puisque cette couleur représente la terre qui est un, élément que doivent protéger les autochtones <ref>BRAZEAU, Stanley (2009). La roue de médecine dans la spiritualité algonquine http://www.ipir.ulaval.ca/fiche.php?id=245</ref>. Il y a une ficelle blanche qui naît du centre du cercle et qui va jusqu’en haut de celui-ci. Il y a sept coquillages sur cette ficelle qui symbolisent l’éternité, la sagesse et la connaissance, l’amour et la confiance, la vérité et l’honnêteté, l’humilité et la patience, le courage et la bravoure ainsi que le respect, qui sont les leçons de vie des sept grands-pères. De plus, il y a aussi une autre ficelle bleue qui part du centre et représente le ciel et une seconde qui est de couleur verte et évoque la [[mère nature]]. Au centre, une plume y est attachée et incarne le souffle du créateur. Celui-ci est ce qui permetsymbolise l’harmonie entre les individus et les nombreuses choses de la création <ref>Van de Sande, Adje, Michel-André Beauvolsk et Gilles Renault, ''Le travail social : théories et pratiques'', Éditions Gaëtan Morin, 2002, 259 p.</ref>.