« Salima Saa » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Isadelattre (discuter | contributions)
Aucun résumé des modifications
Balise : potentielle contribution rémunérée
Isadelattre (discuter | contributions)
m Age de son enfant + grammaire
Balises : potentielle contribution rémunérée Éditeur visuel
Ligne 30 :
=== Jeunesse et études ===
 
Salima Saa naît en [[1971]] à [[Soissons]] dans une famille d'origine algérienne. Elle est issue d'une famille de cinq enfants de la classe moyenne, dite de la « [[beurgeoisie]] »<ref name="a">[[Anne Fulda]], « Salima Saa, étoile montante de l'UMP », in ''[[Le Figaro]]'', vendredi 6 avril 2012, page 18.</ref>. Son père est l’un des rares [[harki]]s a être devenu officier, en tant que commandant dans l’armée. De ce fait, le foyer le suit au gré de ses différentes affectations. Ainsi, à l'âge de 16 ans, elle passe son baccalauréat scientifique au lycée franco-allemand de [[Berlin]]. Elle voit l'Allemagne coupée en deux et assiste à sa réunification. Gardant à l'esprit la dictature de la [[République démocratique allemande]], elle s'autorisera à dire {{Citation|lycéenne, j'ai vu ce qu'était le communisme}}. Ses parents, quant à eux, s'investissent dans le champ associatif : décoré de la [[Ordre national de la Légion d'honneur|Légion d'honneur]], son père dirige une association de défense des rapatriés ; décorée de la [[médaille du Mérite]], sa mère s'est elle engagée pour les femmes veuves. Elle est mère d'un enfant de septneuf ans<ref>[[Paul Wermus]], « Ils se mettent à table », in ''[[VSD (magazine)|VSD]]'', n°1812, page 16.</ref>.
 
Elle échoue à mener des études de [[médecine]], et se réoriente alors vers un cursus en [[biologie]]. Elle obtient une maîtrise dans cette discipline à l'[[université de Swansea]] ([[Pays de Galles]]), puis décroche un [[Diplôme d'études supérieures spécialisées|DESS]] en environnement et en communication<ref name="a"/> à l'[[université Lille I]]. En 2003, elle obtient une [[maîtrise en administration des affaires]] d'[[Euromed Management]] à Marseille.
Ligne 54 :
Les journalistes ont souvent comparé son ascension à celle de [[Rachida Dati]], les médias nationaux lui consacrant de plus en plus d'articles. Elle répond qu’elle dirige justement un établissement (l’Acsé) qui lutte chaque jour contre les catégorisations des individus<ref name="a"/>. Cette nouvelle notoriété l'a contrainte à fermer son compte [[Twitter]] après plusieurs tweets ayant fait polémique<ref>[http://lelab.europe1.fr/t/salima-saa-ferme-son-compte-twitter-2721 Après plusieurs couacs, Salima Saa ferme son compte Twitter], ''lelab.[[europe1]].fr'', 21 mai 2012.</ref>.
 
Elle fait partie des membres fondateurs de l’Association des amis de Nicolas Sarkozy<ref>« Nous, les amis de Nicolas Sarkozy », in ''[[Le Figaro]]'', samedi 2 / dimanche 3 juin 2012, page 16.</ref>. Elle quitte la présidence de l'Acsé le 4 juillet, dénonçant l’absence de politique urbaine du gouvernement et le fait que la ministre référente, [[Cécile Duflot]], ne l'aiait toujours pas reçue deux mois après sa nomination. Elle compte désormais créer un « club d'expert » au sein de l'UMP, consacré à ce sujet<ref name="FigaroJuillet"/>.
 
À l'occasion du [[congrès de l'Union pour un mouvement populaire de 2012]], elle soutient la candidature de [[Jean-François Copé]]<ref>[http://www.jeanfrancoiscope.fr/wordpress/citations/salima-saa « Salima Saa »], in jeanfrancoiscope.fr, 25 octobre 2012.</ref>.
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Salima_Saa ».