« André Green » : différence entre les versions

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→‎État-limite : typo : quel livre ?
Marloen (discuter | contributions)
C'est trop simple de faire cadeau à WP les résultat desrecherches personnelles... (quel livre) et être traiter comme
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=== État-limite ===
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Tout comme l'hystérie pour Freud, les états limites pour Green ont été le mode d'entrée dans la nosographie psychiatrique, son point de départ. Il s'était inscrit dans ce contexte nosographique afin d'aborder l'activité de la pensée et l'économie libidinale du territoire psychique des états limites, organisation, nommée parfois non-organisation, ayant son propre fonctionnement et des mécanismes de pensée spécifiques, un cours du travail analytique particulier, des symptômes distincts et une psychopathologie du comportement précise, faisant ressortir sa ligne de force la " stabilité de l’instabilité" <ref>Green A., 2011, PUF, p. 24.</ref>{{référence incomplète}}.
 
En cette époque, dans le vaste continent de la psychanalyse deux tendances se dégagent, une qui aborde les états limites selon la théorie anglo-saxonne de la relation d'objet, et une autre qui s'écarte de la théorie classique considérant les états-limites inanalysables. Dans ce débat, Green opta pour reprendre la théorie freudienne et y faire travailler les nouvelles données cliniques des états-limites. Son étude sur l'état limite le conduit à proposer un nouveau cadre de travail différent du cadre classique de la psychanalyse (divan) et plus proche de celui de la psychothérapie (face à face)<ref>{{Lien web|titre=André Green: la pensée clinique - Handy-Psy|url=http://did.asso.fr/les-entretiens/109-andre-green-la-pensee-clinique.html|site=did.asso.fr|consulté le=2017-05-20}}</ref>.
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