« Colonel Amirouche » : différence entre les versions
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La réputation d'Amirouche est telle que les volontaires affluent dans ses groupes armés, dans ses maquis qu'[[Abane Ramdane|Abane]] appellera un jour, au cours d'une réunion de direction du FLN, les « maquis modèles ». En {{date-|juin 1955}}, le chef kabyle se trouve à la tête de {{nobr|800 soldats}} constitués en unités homogènes dont la plus petite est le détachement de onze hommes. Bien armés, tous ces combattants sont aussi bien habillés grâce aux collectes d'argent que les percepteurs d'Amirouche effectuent dans différentes localités de Kabylie, surtout entre le 20 et le 30 de chaque mois, lorsque les travailleurs partis pour la France « l'exil au front », selon la formule de [[Si Muhand U M'hand]], envoient leur [[mandat postal]] au pays natal. Les malades et les blessés sont soignés dans un service de santé qui fonctionne avec la collaboration secrète des médecins d'Alger.
La « [[guerre psychologique]] » est menée par Amirouche avec le même dynamisme que la « guerre des fusils. » Quand les autres zones de la [[Wilaya III historique|Wilaya III]] tirent leurs tracts à {{nobr|150 exemplaires}}, celle d'Amirouche tire les siens à {{nombre|1500|exemplaires}}
Lors du départ de [[Saïd Mohammedi]], le conseil de la Wilaya le désigne comme successeur, fonction qu'il refusera pour appliquer la règle établie par l'ALN qui exige que le poste revienne à l'officier le plus ancien dans le grade, en l'occurrence Saïd Yazouren dit Vrirouche. Ce dernier, envoyé à Tunis, sera maintenu à son poste pour permettre la désignation d'Amirouche au grade de colonel.
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