Syndrome de Bonnier
Le syndrome de Bonnier ou syndrome du noyau Deiters est une lésion bulbaire attribué au noyau de Deiters (1834–1863).
Le syndrome a été décrit en 1903 par Pierre Bonnier (1861–1918) et est caractérisé par du vertige avec dérobement partiel ou total de l’appareil de sustentation. Il résulte un état nauséeux et anxieux. Le nystagmus et des troubles de l’oculomotricité se trouvent également ainsi que des phénomènes auditifs passagers et des manifestations douloureuses dans certains domaines du trijumeau[1],[2].
Références
modifier- Boss, Norbert (Hrsg.): Roche Lexikon Medizin. Hoffmann-La Roche AG und Urban & Schwarzenberg, München, 21987, (ISBN 3-541-13191-8); mots vedette du dictionnaire: „Bonnier Syndrom“ p. 228; „Deiters“ p. 372, voir aussi le texte téléchargeable de l'éd. 52003 du dictionnaire
- Garnier, Marcel : Dictionnaire des Termes techniques de Médecine. Lib. Maloine, Paris, 18e éd. revue 1965; mots vedette du dictionnaire: „Deiters (syndrome du noyau de“) p. 260