Issime

commune italienne
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Issime est une commune italienne de la région Vallée d'Aoste.

Issime
Issime
Le chef-lieu (Duarf) vu du hameau Hubbal
Blason de Issime
Armoiries
Noms
Nom allemand Einsimmen[1],[2]
Nom francoprovençal Eichima
Nom alémanique Éischeme
Administration
Pays Drapeau de l'Italie Italie
Région Drapeau de la région de la Vallée d'Aoste Vallée d'Aoste 
Syndic
Mandat
Enrico Montanari
2022-2027
Code postal 11020
Code ISTAT 007036
Code cadastral E369
Préfixe tel. 0125
Démographie
Gentilé issimois (en français, officiel)
eischemera (Éischemtöitschu)
schummerou (patois gabençois)
issimesi (en italien, non officiel)
Population 426 hab. (31-12-2010[3])
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 00″ nord, 7° 51′ 00″ est
Altitude Min. 960 m
Max. 960 m
Superficie 3 500 ha = 35 km2
Divers
Saint patron Saint Jacques et Saint Sébastien
Localisation
Localisation de Issime
Localisation dans la Vallée d'Aoste.
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Issime
Liens
Site web Site officiel

Géographie

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Issime se trouve dans la moyenne vallée du Lys (ou de Gressoney), une des vallées latérales de la Doire Baltée, qui remonte jusqu'au pied du massif du Mont-Rose.

Le chef-lieu, Duarf, se situe au bord du Lys (en Töitschu, Lyesu).

Le territoire de la commune se divise traditionnellement en trois parties :

  • le Tiers de la plaine, allant du gouffre de Guillemore (en Töitschu, z’Gilljumuart) jusqu'au hameau Zuino (exclu) ;
  • le Tiers dessus, correspondant à l'actuelle commune de Gaby ;
  • le Tiers de la montagne, comprenant les trois vallons de Saint-Grat, de Bourines et de Tourrisson.

La commune de Gaby, appelée historiquement Issime-Saint-Michel (localement Überlann, c'est-à-dire « terre haute », dû à sa position, en amont du chef-lieu) a été constituée en 1952.

Sommets

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Dans le vallon de Bourines (en Töitschu, Burrunun-Gumbu) :

Dans le vallon de Saint-Grat (en Töitschu, Sen-Kroasch-Gumbu) :

  • Pic Vlou (Vluhuare en Töitschu) ;
  • Pic Torché ;
  • Mont Vogel (Vuagal ou Blett, en Töitschu) ;
  • Siahuare (appelé Pic des Allemands ou Tête des lacs par les habitants de Challand-Saint-Victor).

Dans le vallon du Tourrison (en Töitschu, Türrudschun-Gumbu), sur la gauche orographique du Lys :

Localisation de la commune d'Issime à l'intérieur de la Vallée d'Aoste.

Histoire

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Pendant l'époque pré-romaine, Issime fut intéressé par des colonies de bergers et d'agriculteurs liées surtout à l'exploitation minière.

Le toponyme latin est Axima[4].

Au Moyen Âge, Issime devint le chef-lieu de la Maison de Vallaise, qui octroya les franchises au village en 1227 par un statut local qui resta en vigueur jusqu'en 1773.

À partir du XIIIe siècle, le siège du tribunal fut fixé sur la place du Duarf (le chef-lieu), où un juge et deux conseillers administraient la justice. Aussi dans le domaine religieux, Issime joua un rôle de premier plan, en tant que siège unique de paroisse pour la haute vallée du Lys jusqu'en 1660.

Les Walser s'intégrèrent à la population autochtone, de langue et de culture franco-provençale, en créant une nouvelle culture, bien vivante encore de nos jours dans l'architecture, les traditions et la langue. Les meilleurs exemples de cette union sont les maisons walser (Städel) du vallon de Saint-Grat (Sen-Kroasch-Gumbu, en Töitschu) et du vallon de Bourines (Burrunun Gumbu, en Töitschu).

Monuments et lieux d'intérêt

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  • L'église Saint-Jacques (saint patron avec Saint Sébastien) est caractérisée par sa façade décorée à fresque avec des scènes du Jugement dernier, les mystères du Rosaire autour du parvis, ses fonts baptismaux en style roman et surtout son maître-autel en style baroque (le deuxième par dimensions de la Vallée d'Aoste après celui d'Antagnod à Ayas) avec ses 182 statues ;
  • Sur le promontoire en face de l'église paroissiale, la Herrenhaus, ancienne maison forte des Vallaise.

Économie

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Cette commune, avec celles de Gaby, Gressoney-Saint-Jean et Gressoney-La-Trinité, forment la Communauté de montagne Walser - haute vallée du Lys, dont le siège se situe au chef-lieu issimois (appelé Duarf).

Culture

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Les Walsers

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La communauté d'Issime, tout comme celle de Gressoney-La-Trinité et de Gressoney-Saint-Jean, a été fondée par les Walser, qui se déplacèrent à partir du XIIIe siècle, favorisés par le climat relativement doux dans les Alpes à cette époque. Leur mouvement à partir du Valais, intéressa la vallée du Lys et le haut Valsesia, au Piémont, et il fut encouragé sans doute par les seigneurs féodaux locaux, souhaitant peupler des vallées encore inhabitées afin de contrôler les cols alpins. En contrepartie, les Walser obtinrent des droits et libertés.

Les Walser, originaires de l'Oberland bernois, sont germanophones, et constituent donc une exception dans la Vallée d'Aoste francophone. Ils parlent un patois d'origine alémanique, appelé Eischemtöitschu.

La culture walser est représentée aussi par l'architecture typique (voir le lien externe au fond de l'article), caractérisée par les Städel, des maisons complètement en bois, s'appuyant sur des « champignons » en pierre. Sur le territoire d'Issime, elles peuvent être admirées surtout au vallon de Saint-Grat.

Les communes d'Issime, de Gressoney-La-Trinité et de Gressoney-Saint-Jean constituent la Walsergemeinschaft Oberlystal (Communauté walser de la haute vallée du Lys), dont fait partie aussi Gaby, qui a subi l'influence des gens walser, tout en maintenant au cours des siècles un parler francoprovençal. Gaby a toujours fait partie de la paroisse d'Issime, et était appelé autrefois Issime-Saint-Michel ou Überland.

Le Töitschu issimois et l'association Augusta

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Malgré la présence de beaucoup de points en commun avec le Greschòneytitsch parlé dans les deux communes de Gressoney-Saint-Jean et Gressoney-La-Trinité, le Töitschu, dénomination apparentée au mot Deutsch (en allemand, « allemand »), a conservé des traits linguistiques très archaïques au cours des siècles. Cela est dû à l'isolement de cette commune de la Suisse, Issime étant situé entre les deux communes francophones et francoprovençales de Gaby en amont et de Fontainemore en aval.

À Issime siège l'association Augusta, pour l'étude et la défense de la culture walser.

Des exemples de töitschu sont :

  • Vergelzgott (cf. all., Vergelt's Gott, soit Gott vergelte (belohne) es, litt. « que Dieu (vous) récompense ») = merci ;
  • Chrigschman : litt. « l'homme de la guerre » = le soldat ;
  • Heersij : litt. « le petit cœur » (cf. all. Herzchen ou Herzlein) = le/la fiancé(e) ;
  • D’lljibigotschaugjini : litt. « les petits yeux du bon Dieu » = les myosotis.

Un exemple comparatif avec le Notre Père :

Eischemtöitschu Allemand Français

Ündschen Atte das bischt im hümmil,
Das déin noame séji gwihti,
das déin weelt cheemi,
das als séggi wi d’ willischt sua im hümmil wi ouf im heert.
Gib n’ündsch höit ünz bruat van all toaga,
tu n’ündsch varzîn ündsch schuldini wi wir varzîn deenen das n’ündsch séin schuldig,
loa n’ündsch nöit vallen im schwache weg,
wa hüt n’ündsch ous ter ellji büaschi dinhi.
Amen

Vater unser im Himmel,
geheiligt werde dein Name.
Dein Reich komme.
Dein Wille geschehe,
wie im Himmel so auf Erden.
Unser tägliches Brot gib uns heute.
Und vergib uns unsere Schuld,
wie auch wir vergeben unsern Schuldigern.
Und führe uns nicht in Versuchung,
sondern erlöse uns von dem Bösen.
Amen.

Notre Père
Qui es aux cieux,
Que Ton Nom soit sanctifié.
Que Ton Règne vienne,
Que Ta volonté soit faite
Sur la Terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
Comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
Mais délivre-nous du Mal.
Amen.

Des proverbes :

  • Goan tringhien in d’Lljéisu un arwinnen mit dam dust.
Aller boire dans le Lys et rentrer avec la soif (être difficiles à contenter).
  • Varchaufen d’sunnu um chaufen dar moanu.
Vendre le soleil pour acheter la lune (dormir le jour pour faire la fête la nuit).
  • Is het sövvil gschnout, das d'hénji hen muan bikhjen d'steerni.
Il a autant neigé, que les poules picorent les étoiles.

À Issime siège également le Dauernder Rat für die Wahrung der Walser Sprache und Kultur (= Conseil permanent pour la sauvegarde de la langue et de la culture walser) pour la haute vallée du Lys[5].

Le töitschu présente également des emprunts issus des langues voisines, le français et le francoprovençal :

  • mutschur (< fr. mouchoir)
  • tretwar (< fr. trottoir)
  • rido (< fr. rideau)
  • verdscháts (= écureuil) du francoprovençal verdjáts[6].

Texte audio :

Enregistrement d'un texte sur l'encas de minuit, appelé en töitschu ds Kollutziunh, mot apparenté au français « collation »
Autrice: Imelda Ronco, locutrice: Sara Ronco

Z’Éischeme, z’beerg ol im grunn, wénn mu het kheen antwier z’wacht, gschlecht, nachpara ol gséllji ischt gsinh dar brouch z’hannun as kollutziunh, sua auch vür a rüddu (troa hoei, troa mischt im moane, ecc.).
Unz as sibenzg joar hinner, Sen Kroasch beerga, vür d’Winnacht, sén gsinh volli lljöit mita dam via um étzen z’hoei un aschparren das im grunn vür dan gruasse winter. Ievun voaren ingier, tor eini, tor endri hen avittrut d’nachpara un ghannut as kollutziunh wass dschi hen kheen zam hous: wust un dschambunh, gute chiesch, chüjini, bloat néidlu ol batüwa, kaffi, milch, wéin, hunkh um essen mit dam bruat.
Wa wéilu voart, antwier das ischt gcheen a wissu ischt kannhe lotze um etwas gschöjun. Im Ronh, darwil eina der wachtunu, ellji sén gsinh im pielljhe un séntsch nen kannhen troan awek d’chüjini van im hous … um dschi essen mit anner gséllji … auch das ischt gsinh an brouch.
Zam méztku, bsinnimich lannhuscht, hentsch toan z’grobschta allz im selben tag, un dé spoat d’nacht, het mu mussun chorrun da nawe wust un z’buddinh, as poar trüffili ol stekhjini um essen darmit un etwas z’tringhien … wir chinn sén aschuan gsinh z’schloafe un séntsch nüntsch kannhen arwékhjen un troa chorrun z’buddinh. Génh wénn mu het kesse ol trunghe, séjiis in as kollutziunh ol wachen am tuate, z’miternacht hentsch gmachut z’kaffi, ol vür gien da vargeb, woa dschi hen keen elljene an trungh, hentsch nündsch zeihut z’gwintschen vür d’lljaubu sieli; “Gottsch ergans vür d’lljaubu sieli”, un d’chinn: “das war mieje wacksen gsünni, grechi un gwoaltigi”.

Traduction: À Issime, à la montagne comme dans la plaine, lorsque quelqu'un venait en veille, des parents, des voisins ou des amis, on préparait un casse-croûte de minuit, ainsi qu'à l'occasion des corvées (ramener les foins ou le bois au clair de la lune, etc.). Jusqu'à il y a septante ans, le vallon de Saint-Grat était habité jusqu'à la période de l'Avent, les gens y montaient avec leur bétail pour consommer le fourrage et garder celui de la plaine pour l'hiver. Avant de descendre, parfois les uns, parfois les autres invitaient leurs voisins et préparaient le casse-croûte nocturne avec ce qu'ils avaient chez eux: de la charcuterie, de la tomme, des beignets, de la crème fouettée, de la batüwa (crème fouetté avec des œufs, du vin et du sucre), du café, du lait, du vin et du miel à manger avec le pain. Parfois quelqu'un en profitait pour voler quelque chose. Au Ronh, pendant l'une de ces veillées, des gens ont volé tous les beignets pour les manger avec d'autres amis. C'était la coutume. Lors de l'abattage du porc, je me souviens, il y a très longtemps, on faisait tout en une journée, et la nuit il fallait encore goûter les saucisses neuves et les boudins, avec des patates ou des grissini comme accompagnement; nous les enfants, on était déjà couchés et ils nous réveillaient pour goûter les boudins. Chaque fois qu'on nous offrait de la nourriture ou des boissons, lors des veillées normales ou funéraires, à minuit on faisait le café, lorsqu'on se rendait en visite chez le défunt, où on nous offrait une boisson en tant qu'offrande pour les défunts. « Que Dieu le rende aux défunts », et les enfants répondaient : « que nous puissions grandir sains, robustes et honnêtes ».

Événements

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Fêtes, foires

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  • Fête de la Saint-Jacques, le saint patron, la dernière semaine de juillet ;
  • Fête de la Saint-Sébastien, le saint patron d'hiver ;
  • Antalpu, fête correspondant à la Désalpe (ou Désarpa en patois valdôtain), le  ;
  • Fête de la Sainte-Cécile, la patronne des musiciens, d'habitude en novembre, organisée par la fanfare walser locale, la Musikkapelle « La Lira » ;
  • Z'Wacht im Duarf, qui signifie en Töitschu « La veille au chef-lieu », d'habitude au début de février ;
  • La fête de l'Association Augusta, au printemps, avec la présentation de la revue du même nom publiée depuis 1969.

Sur la commune d'Issime s'est déroulée jusqu'en 2008 la marche du Dondeuil.

Le terrain de football communal, dénommé Walser Stadion, se situe au lieu-dit Plane.

Cuisine

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  • La Fessilsûppu - plat unique à base de riz et haricots avec beurre et formage.

Société

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Évolution démographique

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Habitants recensés


Administration

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Le terme "syndic" se traduit dans le patois alémanique local, le Töitschu, par Hoptma.

Les syndics successifs
Période Identité Étiquette Qualité
20 mai 2002 21 mai 2007 Emanuela Vassoney   Syndique
22 mai 2007 11 juin 2017 Christian Linty   Syndique
12 juin 2017 décembre 2018 Aldo Praz Liste civique Syndic
décembre 2018 15 mai 2022 Christian Linty   Syndic
16 mai 2022 En cours Enrico Montanari   Syndic
Les données manquantes sont à compléter.

Les noms des hameaux sont indiqués avec leur nom officiel, en français, et leur nom en Töitschu, entre parenthèses.

Grand Praz (Gran Proa), Crest (Krecht), Chincheré (Tschentschiri), Bioley (Biouley), Seingles (Zéngji), Seingles Dessus (Z’uabra Zéngji), Plane (Pioani), Ribola (Ribulu), Vecchaus (Vetschus), Riccourt (Rickurt), Riccourt Dessus (Z’uabra Rickurt), Rollie (Rolji), Crose (Kruasi), Riva (Réivu), Preit (Preite), Tontinel (Tuntelentsch), Fontaineclaire (Funtrunkieeru), Chef-lieu (Duarf ou Hauptort), Grand Champ (Gran Tschamp), Cugna (Künju), Nicche (Nicke), Zan (San), Ceresole (Di Zinnisili), Praz (Proa), Proasch (Proasch), Champriond (Tschendriun), Stein (Stein), Riccard (Rickard)

Communes limitrophes

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Arnad, Brusson, Challand-Saint-Anselme, Challand-Saint-Victor, Fontainemore, Gaby, Lillianes, Perloz, Sagliano Micca (BI)

Galerie de photos

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Bibliographie

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  • Solange Soudaz, Le chemin de la Vallaise, dans Environnement, Commune de Perloz, 2010

Notes et références

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  1. Die Alpen, juin 2011, p.29
  2. Forme vieillie. Les ouvrages récents en allemand standard indiquent les noms officiels en français - v. Liederbuch von Gressoney und Issime et Peter Zürrer, Sprachkontakt in Walser Dialekten: Gressoney und Issime im Aostatal (Italien).
  3. (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
  4. Vallée d'Aoste autrefois, recueil d'ouvrages de Robert Berton, 1981, Sagep éd., Gênes.
  5. Objet du Conseil n. 2893 du 12 juillet 2007 - Site web du Conseil de la Vallée
  6. Ernest Schüle (1989), Les parlers Walser de la Vallée du Lys et les patois romans des alentours, Enrico Rizzi (ed.), Lingua e comunicazione simbolica nella cultura Walser, Atti del VI Convegno Internazionale di Studi Walser, Anzola d’Ossola, Fondazione Enrico Monti, 243–254.

Voir aussi

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Article connexe

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Liens externes

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