Tahar Belabès est un militant algérien du sud du pays (Ouargla)[1],[2], défenseur des droits de l'homme, ex-leader de la Coordination nationale de défense des droits des chômeurs, et militant anti-gaz de schiste. Souvent persécuté par les autorités locales[3],[4], il a été condamné à un mois de prison ferme en 2013[5] et refoulé en à l'aéroport international d'Alger pour lui interdire sa participation au forum social mondial au Brésil[6].

Notes et références modifier

  1. « Algérie. Dans le Sahara, pétrole, gaz et chômage »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur humanite.f.
  2. Naoual Belakhdar, « “L’éveil du Sud” ou quand la contestation vient de la marge », Politique africaine,‎ , p. 27-48 (lire en ligne)
  3. (en) « Repression on the rise in Algeria as peaceful protesters face imprisonment », sur amnesty.org.nz.
  4. Aziz Khitouche, « Le mouvement des chômeurs dans le sud algérien », Les cahiers de l'orient,‎ , p.53 (lire en ligne)
  5. « Algérie: un militant des droits des chômeurs condamné à un mois de prison ferme », sur rfi.fr.
  6. « Tahar Belabbas interdit de quitter le territoire pour la troisième fois », sur El Watan (consulté le ).