Terrorisme au Japon

Le Japon est l'un des pays les plus sûrs au monde, mais il n'a pas été épargné par des mouvements de violence et de terrorisme qui existent sous trois formes principales : la violence politique exercée par des groupes terroristes d'extrême-gauche ou d'extrême droite, la violence au nom d'un idéal religieux, et la violence criminelle dont est responsable toute une nébuleuse de gangs mafieux.

Exemples d'attentats meurtriers au Japon modifier

Armée rouge japonaise (Armée rouge unifiée) modifier

  •  : Massacre de l'aéroport de Lod. 26 morts, 80 blessés.
  • Avril 1988 : Attentat à la bombe contre un club pour militaires américains (USO) à Naples. 5 morts.
  • Série d'attentats contre des bâtiments appartenant à des grandes compagnies. 5 morts, 20 blessés.

Kakurokyo modifier

  • Novembre 1990 : Bombe dans un dortoir de la police. 1 mort, 6 blessés.

Aum Shinrikyō modifier

Front Armé Anti-Japonais d’Asie du Sud modifier

  •  : bombe contre Mitsubishi, 8 morts, 376 blessés.

Armée révolutionnaire modifier

  • Août 2001 : attentat à la bombe contre le bâtiment de la Société Japonaise pour la Réforme des Manuels d'Histoire ;
  • 2002 : attentat à la bombe, à Yokohama dans un parc près d'une base américaine ;
  • Novembre 2002 : attentat à la bombe à Osaka contre une base des Forces japonaises d'autodéfense.

Divers modifier

  •  : Attentat et assassinat contre l'ex-premier Ministre japonais Shinzō Abe, 1 mort

Les Groupes terroristes au Japon modifier

Groupes terroristes politiques modifier

Groupe terroriste religieux modifier

Groupe terrorisme Anti-Impérialiste modifier

Groupes terroristes criminels modifier

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

  1. APA --, « Agence Presse Associative (APA) », sur apa.online.free.fr (consulté le ).