On m'appelle Alléluia
On m'appelle Alléluia (Testa t'ammazzo, croce... sei morto - Mi chiamano Alleluja) est un western spaghetti italien sorti en 1971, réalisé par Giuliano Carnimeo[1],[2].
Titre original | Testa t'ammazzo, croce... sei morto - Mi chiamano Alleluja |
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Réalisation |
Giuliano Carnimeo sous le pseudo d'Anthony Ascot |
Scénario | Tito Carpi |
Musique | Stelvio Cipriani |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Colosseo Artistica |
Pays de production | Italie |
Genre | Western spaghetti |
Durée | 94 minutes |
Sortie | 1971 |
Série
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Ce film a eu une suite : Alléluia défie l'Ouest (Il West ti va stretto, amico... è arrivato Alleluja), tournée l'année suivante[1],[2].
Synopsis
modifierAu Mexique, pendant le règne de l'empereur Maximilien, le pistolero Alléluia reçoit du général révolutionnaire Ramirez la mission de s'emparer d'un sac de joyaux que l'empereur envoie aux États-Unis en échange d'armes. Alléluia s'attache à cette mission avec la secrète intention de s'emparer des fameux joyeux à son propre profit. Il rencontre cependant beaucoup de concurrents : Krantz, un trafiquant d'armes, un soi-disant prince russe et une religieuse qui est en fait un agent secret des États-Unis. Les circonstances obligent Alléluia à s'allier avec le russe et la religieuse pour faire face à Krantz. Après une violente altercation, le russe et Alléluia se partagent équitablement les joyaux, tandis que la religieuse reçoit une décoration des États-Unis : elle a rempli sa mission, identifier les responsables du trafic d'armes et les arrêter[3].
Fiche technique
modifier- Titre français : On m'appelle Alléluia
- Titre original italien : Testa t'ammazzo, croce... sei morto - Mi chiamano Alleluja
- Genre : Western spaghetti
- Réalisateur : Giuliano Carnimeo(sous le pseudo d'Anthony Ascot)
- Scénario : Tito Carpi
- Production : Dario Sabatello pour Colosseo Artistica
- Photographie : Stelvio Massi
- Montage : Ornella Micheli
- Effets spéciaux : Gino Vagniluca
- Musique : Stelvio Cipriani
- Décors : Giacomo Calò Carducci
- Costumes : Luciano Sagoni
- Maquillage : Cesare Cambi, Giuseppe Capogrosso
- Année de sortie : 1971
- Durée : 94 minutes
- Format d'image : 2.35:1
- Pays : Italie
- Distribution en Italie : Panta Cinematografica
Distribution
modifier- George Hilton : Alléluia
- Charles Southwood : Alessio Vissarionovic Koprotkin, en réalité Alessio Ivanovic
- Agata Flori : la fausse religieuse
- Roberto Camardiel : général Emiliano Ramirez
- Paolo Gozlino : Fortune
- Andrea Bosic : Krantz
- Linda Sini : Gertrude
- Federico Boido (sous le pseudo de Rick Boyd) : Slocum
- Aldo Barberito : prêtre
- Franco Pesce (en) : Ebeneezer, le portier de l'auberge
- Ugo Adinolfi : Pablito
- Fortunato Arena : sherif
- Lino Coletta : Sentenza
- Claudio Ruffini : un homme de Krantz
- Paolo Magalotti : un homme de Krantz
- Gaetano Scala : Jack
- Goffredo Unger (comme Freddie Unger) : Slim
- Rocco Lerro : un pistolero
Références
modifier- (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Testa t'ammazzo, croce... sei morto - Mi chiamano Alleluja » (voir la liste des auteurs).
- (it) Marco Giusti, Dizionario del western all'italiana, Mondadori, (ISBN 88-04-57277-9)
- (it) Paolo Mereghetti, Il Mereghetti - Dizionario dei film, B.C. Dalai Editore, (ISBN 88-6073-626-9)
- « Testa t'ammazzo, croce... sei morto! Mi chiamano Alleluja (1971) », sur archiviodelcinemaitaliano.it (consulté le )
Liens externes
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