Théâtre gallo-romain de Canouville

theatre antique à Canouville

Le théâtre gallo-romain de Canouville est un édifice de spectacles antique disparu situé sur la commune actuelle de Canouville, département de la Seine-Maritime, région Normandie, en France.

Théâtre gallo-romain de Canouville
Plan du théâtre.
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L'édifice antique est connu par des fouilles archéologiques de sauvetage réalisées à la fin des années 1970, préalablement à la construction d'un lotissement. Alors que les archéologues s'attendaient à retrouver des éléments médiévaux comme le rapporte une tradition locale, ils ont dégagé en partie un édifice daté du Haut-Empire romain.

L'édifice a livré quelques éléments sur son histoire, bien que fouillé très incomplètement. Le plan correspond au type des théâtres gallo-romains ruraux que l'on rencontre fréquemment en Gaule romaine, avec peu de spécificités.

Le théâtre a par ailleurs été retrouvé dans une commune qui a déjà livré des éléments antiques dès le XIXe siècle. La durée d'utilisation de l'édifice de spectacles a été très faible, environ un demi-siècle, l'édifice construit vers le milieu du IIe siècle étant détruit dès la fin du IIe ou le début du IIIe siècle. Les vestiges ne semblent plus être visibles au XXIe siècle.

Localisation modifier

Localisation actuelle modifier

La commune de Canouville est située entre Fécamp et Saint-Valery-en-Caux[A 1]. La commune de Cany-Barville se situe à 4 km au sud-est[A 2].

Localisation durant l'Antiquité : partie du territoire des Calètes modifier

Carte avec localisation du territoire des Calètes
Le territoire calète à l’extrême sud-ouest de la Gaule Belgique en 58 avant J.-C.

Les territoires des cités du Haut-Empire respectent les limites antérieures, les Calètes sont rattachés à la Lyonnaise[I 1].

Le site appartient à l'époque romaine à un conciliabulum du peuple des Calètes[B 1]. Les conciliabula comportaient des complexes monumentaux avec théâtres, thermes et sanctuaires[H 1].

Les Calètes (Κάλετοι chez Strabon) sont un peuple de la Gaule belgique qui demeurait dans les actuels pays de Caux, auquel ils donnèrent leur nom, et pays de Bray. Le chef-lieu est Juliobona, « principal port de l'embouchure de la Seine », vaste de 23 ha, dans lequel ont été découverts un théâtre, un aqueduc, des thermes, des habitats et deux nécropoles[G 1]. La Seine est considérée comme un axe majeur par Strabon, en particulier pour les échanges commerciaux entre nord et sud[I 2].

Les Calètes possédaient outre leur chef-lieu au moins cinq autres villes à l'époque gallo-romaine[G 1]. L'oppidum du Calidu à Caudebec-en-Caux est la principale place-forte des Calètes à l'époque proto-historique. Sept autres agglomérations sont soupçonnées au début des années 2020[G 2].

Les cités gallo-romaines sont dues à des déplacements d'anciennes agglomérations[G 3],[G 4]. Les agglomérations liées aux trajets journaliers correspondent peut-être à une réorganisation augustéenne décidée entre 15 et et pour lesquels les travaux débutent vers [G 5]. Les agglomérations se développent au Haut-Empire et les premières constructions monumentales sont des sanctuaires, suivis dans la seconde moitié du Ier siècle par des édifices de spectacles. La construction de thermes complète la parure monumentale au cours du IIe siècle. La fin de ce siècle voit l'extension maximale des cités[G 5]. Au IIIe siècle, des incendies ravagent les cités antiques et la superficie des villes se réduit à l'intérieur d'enceintes érigées à la fin du IIIe siècle et au début du IVe siècle[G 5],[G 6].

La campagne environnante était quant à elle « faiblement occupée »[C 1]. Aucune voie antique n'y est attestée[F 1]. Les voies antiques sont moins documentées au nord de la Seine que pour le reste de l'ancienne Haute-Normandie[I 3]. Seule la route de Fécamp située à 1 km possède une réputation d'ancienneté[A 2].

Histoire modifier

Histoire ancienne du site modifier

Carte des cités et capitales des cités de l'actuelle Normandie au Haut-Empire romain
Cités et capitales des cités de l'actuelle Normandie au haut-Empire romain.

Les fouilles ont livré deux tessons datés de la période de La Tène[A 3].

Canouville est un site de rassemblement de population et nécessite des « moyens d'accès à assez longue distance » ; or, aucune voie n'y a été identifiée[K 1]. Un axe Lillebonne-Fauville-en-Caux-Ourville-en-Caux a été identifié, situé à 8 km de Canouville[K 2]. Le secteur devait être assez occupé et irrigué d'axes de communication pour permettre d'envisager la création d'un théâtre[K 2]. Une route devait relier Pavilly à Doudeville, peut-être prolongé jusqu'à Cany-Barville et Canouville[K 2]. Les informations sont qualifiées de « lacunaires » en 1998[K 3].

Sur les 30 civitates de Gaule Lyonnaise seulement 20 ont possédé un édifice de spectacle[D 1]. Des zones rurales étudiées possèdent un habitat dispersé ou groupé[D 1].

Les fouilles ont permis de retrouver des monnaies datées des règnes de Domitien et d'Hadrien[C 1]. Le site de la commune est occupé du règne de Claude au IVe siècle[F 2], avec « une lacune au IIIe siècle »[A 4]. Une nécropole était située à 300 m du théâtre[A 4] et un habitat s'étendait sur au moins 1 500 m[D 2], sur une orientation nord-sud[F 2].

Le théâtre a été construit sur un sol surélevé par l'ajout de terre[A 1]. Le théâtre en pierres a peut-être succédé à un édifice en bois[B 1] et en terre[A 5]. Les théâtres construits en Gaule Lyonnaise sont adaptés « aux besoins et aux possibilités financières locales des populations »[D 3]. L'édifice a été occupé au maximum une cinquantaine d'années[F 2].

L'édifice a été daté du milieu du IIe siècle et construit en une seule campagne selon Mangard[C 1],[F 2]. La datation est issue de la découverte d'un as de Domitien et d'un tesson de céramique. D'autres céramiques plus anciennes ont été découvertes mais très usées donc perdues dans la seconde moitié du IIe siècle[A 6]. Le fouilleur date la période de construction entre 150 et 180[A 7]. Le site est lié à l'oppidum de Veulettes-sur-Mer, situé à 5 km[A 2], au vicus de Cany-Barville[F 2].

La destruction a été datée de la fin du IIe siècle ou du début du IIIe siècle[B 1] après une « très courte » utilisation[A 7]. Cette destruction est peut-être liée aux troubles consécutifs à la charnière des règnes de Commode et Septime Sévère[C 1]. Deux villæ situées à Colleville sont détruites au même moment[F 2], à 12 km de Canouville. Les théâtres ruraux de Gaule ont été presque tous détruits lors de la Crise du IIIe siècle, la destruction de l'édifice public ne peut être imputée à un accident[A 8].

Le site de la commune a été occupé après la destruction du théâtre[A 4]. L'édifice est par la suite pillé pour que les matériaux soient récupérés[C 2], les fondations de l'enceinte disparaissant et ne perdurant que sous forme de « négatif »[A 9]. L'édifice n'a jamais été reconstruit[B 1]. Le site du monument n'est pas réoccupé[A 9]. Le territoire des Calètes connaît un redécoupage administratif au début du IVe siècle, étant regroupé avec celui des Véliocasses[I 4]. Le territoire a peut-être souffert, outre les problématiques politiques, d'épisodes pluvieux comme cela a pu être constaté sur le site de Bois l'Abbé[I 5].

Un vase mérovingien daté du VIe siècle est retrouvé dans une couche de démolition[F 2]. Deux sépultures mérovingiennes avec mobilier et armes ont été retrouvées sur la commune en 1966[F 3]. La paroisse est peut-être établie dès l'époque des Francs[A 2]. Le site est occupé par des labours au moment des fouilles[A 1], qui ont adouci la pente de l'édifice[A 10].

Redécouverte du site modifier

Carte en couleurs matérialisant l'emplacement d'un édifice ancien sur un plan moderne.
Le théâtre antique reporté sur un plan moderne.

Le territoire calète en particulier le secteur ouest est mal connu par les sources en particulier à l'époque tardive[I 6]. De nombreux vestiges romains ont été découverts sur le site de la commune[E 1] en particulier en 1848[F 1]. Une nécropole a été retrouvée dans les années 1910, dont le matériel a été daté du IIe siècle[F 1].

Le théâtre est redécouvert en janvier 1977[A 1] suite à un projet de lotissement : la population locale attribuait le site à une motte médiévale[C 2],[F 4]. Le site possédait un renflement d'une hauteur de 2,50 m[A 1]. Le site est considéré comme retrouvé par la photographie aérienne en 1977 par Deniaux[H 1].

Face d'une monnaie en or comportant un buste de personnage
Aureus de Domitien conservé à la BnF, image d'illustration.

Des fouilles partielles ont lieu au printemps 1977[C 2], à la tarière puis une dizaine de sondages[F 2]. Le mobilier retrouvé lors de ces fouilles est qualifié de pauvre : des monnaies de Domitien à Hadrien, des tessons de céramique commune ou de Lezoux[F 2]. Les fouilles permettent de dégager 1 600 tessons[A 7]. Un aureus de Domitien est retrouvé en 1981[F 3]. Cette pièce d'or est désormais conservée au musée des antiquités de Rouen[E 1],[F 3] ; des éléments retrouvés dans les fouilles de la nécropole sont conservés au même endroit[F 1].

Description modifier

Configuration générale modifier

L'édifice est « un théâtre rural gallo-romain »[C 2]. L'édifice a été édifié sur un monticule de terre ajoutée[A 1], il appartient au type dit theatrum exaggeratum[A 10]. Les bâtisseurs ont veillé à alterner les couches meubles et les couches fermes lors de l'élaboration du remblai[A 11].

La cavea possède un diamètre de 75 m[D 2] et un mur rectiligne de 60 m[B 1],[C 2], peut-être le mur de scène[F 2]. Les fondations du mur de scène ont été conservées sur 15 m[A 12]. Aucun élément de décor n'a été retrouvé[A 12] si ce n'est une base fragmentaire de colonne trouvée en remploi[A 7]. Les parties supérieures de la cavea se sont effondrées vers l'extérieur[A 10].

L'édifice possédait peut-être une entrée latérale sur son angle nord-est[C 2], une porte large de 4 m[A 12]. Une porte située à l'opposé a sans doute été détruite lors de la construction de la route[A 12]. L'hémicycle était orienté vers le nord[F 2].

Le mur d'enceinte était fait de moellons de tuf de forme rectangulaire ou carrée, mesurait au moins 6 m de haut[C 2] et avait une largeur de 0,90 m[F 2]. Le mur extérieur de l'édifice dépassait de 2 m le sommet de la cavea[A 10]. Deux contreforts inachevés ont été retrouvés lors des fouilles[C 3], dont la longueur était 1,65 m[A 12]. La destruction des contreforts est interprétée comme une repentir lors de la construction[A 12].

L'orchestra, circulaire ou subcirculaire[A 13], mesure 26 m de rayon[C 3]. La cavea possède une pente de 8 degrés[F 2],[A 10]. Les gradins étaient en bois[F 2]. Ces gradins étaient peut-être soutenus par des poutres fichées dans le sol dont des trous ont peut-être été retrouvés lors des fouilles, même si le fouilleur reste très prudent[A 14]. Les gradins ont aussi pu être enfoncés dans les murs radiaux[A 15].

Un mur retrouvé à mi-distance de la cavea n'a pu être identifié comme lié au vomitoire ou comme base d'une charpente pour les gradins[C 4]. Les fondations de pierres sèches, de silex et de mortier étaient larges d'1 m[A 1]. Les murs étaient réalisés en silex et de tuf et larges de 0,90 m[A 16].

Spécificités modifier

Le plan de l'édifice ne présente « aucune caractéristique qui puisse surprendre » et le plan est similaire au plan des « petits théâtres ruraux »[A 7]. L'édifice est « difforme » (notamment le mur extérieur de la cavea) selon Matter et ce caractère est dû à des moyens modiques et aux qualités des bâtisseurs : ces derniers se sont adaptés au contexte local par une réalisation rustique, avec des matériaux de construction locaux et une utilisation importante du bois[J 1].

Selon le fouilleur, le type d'édifice n'a pu servir de façon certaine d'amphithéâtre, en tout cas pour l'édifice de Canouville : l'arène n'est pas creusée et les gradins descendent dans l'« orchestra »[A 7]. L'historiographie a peut-être trop vite classé les édifices ruraux dans la catégorie des « théâtres-amphithéâtres »[A 7].

Aucune brique n'a été utilisée lors de l'édification, ce qui est anormal « pour une construction de la seconde moitié du IIe siècle »[A 7]. L'édifice présente « une extrême rusticité »[A 7].

Interprétation modifier

La Gaule du nord-ouest a livré un grand nombre de théâtres et de thermes[H 2]. Ces édifices typiques de la civilisation romaine devaient contribuer à la romanisation des campagnes gauloises[H 1]. Le théâtre est un des éléments de diffusion de la romanisation[H 3].

Un tel édifice était très coûteux et possédait toutes les caractéristiques d'une « construction ostentatoire », il était lié à des fêtes religieuses[H 4]. Le théâtre de Canouville doit peut-être être interprété comme « un des éléments d'un site sanctuaire de hauteur »[C 1], où se serait situé un temple[F 2]. Il y avait peut-être un temple ou un fanum sur le plateau, ce qui a entraîné le choix de la construction à un endroit où un tel édifice préexistait. Les fana de hauteur ont été étudiés par Léon de Vesly (1844-1920). La proximité de l'église dédiée à Notre-Dame est également un indice d'une telle localisation [A 17].

Il n'y a pas eu de ville à Canouville selon les fouilleurs du théâtre, le site a pu être un « sanctuaire rural », un « embryon urbain » ou uniquement un « ensemble monumental »[A 2]. Le site de Cany, actuelle commune de Cany-Barville, est considéré comme « un petit chef-lieu » à l'époque gallo-romaine, Jacques Le Maho et Jean-Marie Nicolle évoquent « deux sites à vocations différentes et semble-t-il complémentaires », un site commercial dans la vallée et un autre en hauteur[A 2]. Jérôme Spiesser évoque pour sa part « une agglomération gallo-romaine »[G 1]. Le même écarte l'hypothèse d'une agglomération à Cany-Barville, rattachant les vestiges de cette commune à la commune de Canouville[G 7].

Notes et références modifier

  • Le théâtre gallo-romain de Canouville (Seine-Maritime)
  1. a b c d e f et g Le Maho et Nicolle 1979, p. 237.
  2. a b c d e et f Le Maho et Nicolle 1979, p. 246.
  3. Le Maho et Nicolle 1979, p. 242-243.
  4. a b et c Le Maho et Nicolle 1979, p. 245.
  5. Le Maho et Nicolle 1979, p. 240-242.
  6. Le Maho et Nicolle 1979, p. 243-244.
  7. a b c d e f g h et i Le Maho et Nicolle 1979, p. 244.
  8. Le Maho et Nicolle 1979, p. 244-245.
  9. a et b Le Maho et Nicolle 1979, p. 243.
  10. a b c d et e Le Maho et Nicolle 1979, p. 240.
  11. Le Maho et Nicolle 1979, p. 239-240.
  12. a b c d e et f Le Maho et Nicolle 1979, p. 238.
  13. Le Maho et Nicolle 1979, p. 238-239.
  14. Le Maho et Nicolle 1979, p. 239.
  15. Le Maho et Nicolle 1979, p. 242.
  16. Le Maho et Nicolle 1979, p. 237-238.
  17. Le Maho et Nicolle 1979, p. 245-246.
  • Roman théâtres : An architectural study
  1. a b c d et e Sear 2006, p. 228.
  • Circonscription de Haute Normandie
  1. a b c d et e Mangard 1978, p. 307.
  2. a b c d e f et g Mangard 1978, p. 305.
  3. a et b Mangard 1978, p. 306.
  4. Mangard 1978, p. 306-307.
  • Théâtres-amphithéâtres et théâtres ruraux
  1. a et b Matter 1989, p. 46.
  2. a et b Matter 1989, p. 48.
  3. Matter 1989, p. 49.
  • Le patrimoine des communes de Seine-Maritime
  1. a et b Collectif 1997, p. 214.
  • Carte archéologique de la Gaule, 76. La Seine-Maritime
  1. a b c et d Rogeret 1997, p. 159.
  2. a b c d e f g h i j k l m n et o Rogeret 1997, p. 160.
  3. a b et c Rogeret 1997, p. 161.
  4. Rogeret 1997, p. 159-160.
  • Les villes antiques de la basse vallée de la Seine : premier bilan
  1. a b et c Spiesser 2021, p. 9.
  2. Spiesser 2021, p. 10.
  3. Spiesser 2021, p. 9-10.
  4. Spiesser 2021, p. 15.
  5. a b et c Spiesser 2021, p. 16.
  6. Spiesser 2021, p. 24.
  7. Spiesser 2021, p. 11.
  • La Normandie avant les Normands, de la conquête romaine à l'arrivée des Vikings
  1. a b et c Deniaux et al. 2002, p. 109.
  2. Deniaux et al. 2002, p. 108.
  3. Deniaux et al. 2002, p. 110.
  4. Deniaux et al. 2002, p. 110-111.
  • Les agglomérations du nord-est de la Normandie (Eure et Seine-Maritime) durant l'Antiquité tardive
  • Particularités architecturales des édifices de spectacles en Gaule Lyonnaise
  1. Matter 1992, p. 32.
  • Voies romaines : réalité ou fiction ?
  1. Fajon et Lepert 1998, p. 22-24.
  2. a b et c Fajon et Lepert 1998, p. 24.
  3. Fajon et Lepert 1998, p. 30.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages généraux modifier

  • Gilbert Charles-Picard, « Les théâtres ruraux de Gaule », Revue archéologique,‎ , p. 185-192.
  • Elisabeth Deniaux, Claude Lorren, Pierre Bauduin et Thomas Jarry, La Normandie avant les Normands, de la conquête romaine à l'arrivée des Vikings, Rennes, Ouest-France, (ISBN 9782737311178). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Philippe Fajon et Thierry Lepert, « Voies romaines : réalité ou fiction ? », Bulletin de la société libre d'émulation de la Seine Maritime,‎ , p. 17-30. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Jean-Claude Golvin, Le théâtre romain et ses spectacles, Lacapelle-Marival, Archéologie nouvelle, , 153 p. (ISBN 979-10-91458-06-1).
  • Claude Groud-Coudray, La Normandie gallo-romaine, Cully, OREP éditions, , 31 p. (ISBN 978-2-915762-18-1).
  • Michel Matter, « Particularités architecturales des édifices de spectacles en Gaule Lyonnaise », Spectacula 2. Le théâtre antique et ses spectacles. Actes du colloque tenu au Musée archéologique Henri Pradès de Lattes les 27, 28, 29 et 30 avril 1989,‎ , p. 29-36. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Isabelle Rogeret, Carte archéologique de la Gaule, 76. La Seine-Maritime, Paris, Éd. de la Maison des sciences de l'homme, (ISBN 2-87754-055-3), p. 498-500. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • (en) Frank Sear, Roman théâtres : An architectural study, Oxford, Oxford University Press, , 609 p. (ISBN 978-0-19-814469-4, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Collectif, Le Patrimoine des Communes de la Seine-Maritime, t. I, Éditions Flohic, coll. « le patrimoine des communes de France », (ISBN 2842340175), p. 214. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Ouvrages sur la Haute-Normandie dans l'antiquité ou le théâtre modifier

  • Laurence Éloy-Épailly, « Les agglomérations du nord-est de la Normandie (Eure et Seine-Maritime) durant l'Antiquité tardive », Annales de Normandie, vol. 2022/72,‎ , p. 331-367. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Jacques Le Maho et Jean Nicolle, « Le théâtre gallo-romain de Canouville (Seine-Maritime) », Gallia - Fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine, vol. 37 (2),‎ , p. 237-246 (lire en ligne, consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Michel Mangard, « Circonscription de Haute Normandie », Gallia - Fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine, vol. 36 (2),‎ , p. 295-313 (lire en ligne, consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Michel Matter, « Théâtres-amphithéâtres et théâtres ruraux », Dossiers Histoire et Archéologie - Archeologia, vol. 134,‎ , p. 46-49. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Jérôme Spiesser, « Les villes antiques de la basse vallée de la Seine : premier bilan », Aremorica. Études sur l’ouest de la Gaule romaine, vol. 10,‎ , p. 7-24 (lire en ligne, consulté le ). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Articles connexes modifier

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