The Walt Disney Company France

filiale de la Walt Disney Company en France

The Walt Disney Company France
logo de The Walt Disney Company France
Logo de Walt Disney Company

Création 1951
Dates clés 21/01/2002 : immatriculation sté
Fondateurs Armand Bigle
Forme juridique Société par actions simplifiée
Siège social 25, quai Panhard-et-Levassor, Paris
Drapeau de la France France
Direction Hélène Etzi (26/06/2019)
Actionnaires The Walt Disney CompanyVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion APE 7022Z
Société mère The Walt Disney Company
Filiales Voir texte
Effectif 267 au 30/09/2018
SIREN 401253463[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
TVA européenne FR04401253463[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.corporate.disney.fr

Fonds propres 81 450 500 € au 31/08/2018
Chiffre d'affaires 416 880 100 € au 31/08/2018
Résultat net 2 115 100 € au 31/08/2018

The Walt Disney Company France est la filiale de la Walt Disney Company en France qui détient et gère les productions Disney pour le marché français. La société Disney a été créée aux États-Unis en 1923 par Walt Disney et dès 1929, elle met un pied en France. C'est Mickey Mouse, né en 1928, qui s'établit comme l'ambassadeur de la société en étant publié dans les quotidiens.

Historique modifier

Les premiers pas modifier

Les premières traces des œuvres de Walt Disney en France remontent au [3], date de la première apparition de Mickey sur les écrans français dans le cinéma Marivaux-Pathé dans le 2e arrondissement à Paris dans le court métrage Mickey virtuose évoquant le court métrage The Opry House (L'Opéra). L'hebdomadaire du cinéma Pour vous évoquent dans plusieurs articles le court métrage The Opry House (L'Opéra) réalisé par Ub Iwerks[4],[5]. Plusieurs courts métrages d'animation de Mickey Mouse sont annoncés dans l'édition du au cinéma Marivaux-Pathé et L'Impérial-Pathé[6] comme When the Cat's Away, Champ de bataille (The Barnyard Battle) et Mickey laboureur (The Plow Boy). Le , le court métrage La Danse macabre de la série Silly Symphonies sort sur les écrans français[7]. La semaine suivante, il sera à l'affiche du cinéma le Moulin-rouge dans le 18e arrondissement à Paris[8].

En 1930, Paul Winkler, responsable de l'agence de presse Opera Mundi, propose la publication des aventures de Mickey Mouse aux journaux français. Le quotidien Le Petit Parisien accepte et annonce aux lecteurs la diffusion du jeune héros le lundi [9]. C'est le lendemain qu'on verra les premières case des aventures de Mickey. En 1931, Hachette s'associe à Opera Mundi pour publier les recueils des parutions intitulés Les Aventures de Mickey.

En 1933, Paul Winker poursuit son utilisation du personnage de Mickey dans la presse et obtient de Walt Disney la création d'un magazine entièrement dévolu à la souris Le Journal de Mickey dont le premier numéro paraît l'année suivante le [10]. En , la filiale Mickey Mouse SA est fondée à Paris pour le marché français[11].

Le , le long métrage Blanche-Neige et les Sept Nains sort sur les écrans français. Malheureusement la Seconde Guerre mondiale stoppe les débuts de Disney en France mais aussi en Europe. Les revenus des droits afférents aux productions sont bloqués en Europe et Disney ne peut pas y proposer de nouveaux films ou produits dérivés.

L'après-guerre modifier

À la fin de la guerre, Disney est obligé de redémarrer de quasiment rien en Europe. Armand Bigle, qui avait rejoint Paul Winkler à Bruxelles, pour gérer Opera Mundi et International News Service, rencontre, Walt et Roy Disney qui lui propose de s'occuper des activités commerciales du Studio en Europe. Avec Winkler, il relance le Journal de Mickey en France et les activités "Merchandising", depuis son appartement de la rue Galilée à Paris. Armand Bigle, signe avec Didier Fouret (1927-1989), directeur d'Hachette, la licence "publishing" Disney dès 1950. Didier Fouret dirigera et supervisera les activités Disney chez Hachette. Il deviendra Disney Legends à titre posthume en 1997[12]. Sous l'impulsion d'Armand Bigle, les premières licences en dehors de l'Édition précitée sont rapidement signées, dans le domaine de la musique, avec Lucien Adès en 1952 ("Le Petit Ménestrel") , la première licence d'exploitation de disques en créant ensemble les "Livres-Disques". Jimmy Johnson alors président de la Division Music, précise que ce type d'offre n'a été proposé aux États-Unis que plusieurs années plus tard et fut un succès phénoménal[13].Pour le cinéma à domicile Disney, avec Henri Filipacchi (le père de Daniel Filipacchi) et Jean Peche c'est la signature du "Cinéma à Domicile Disney avec Film Office. Dès le début de la télévision en France, des partenariats seront signés avec la RTF et l'ORTF et les grands pionniers de la télévision française comme Jean Nohain, Pierre Sabbagh, Pierre Tchernia, Raymond Marcillac, Guy Lux, Jacques Martin, Michel Drucker et bien d'autres....

Disney lance avec le Journal de Mickey et Radio Luxembourg, le Journal de Mickey - Radio Illustrée, chaque Jeudi présenté par le Rédacteur en chef du Journal Raymond Calamme.

Des émissions de télévision comme L'Ami Public Numéro1 présenté par Pierre Tchernia et ensuite Disney Dimanche resteront à l'antenne pendant des années, puis viendront Salut Les Mickey sur TF1 et le célèbre Disney Channel sur FR3 qui obtiendra le 7 d'Or. Dans le domaine des variétés, Walt Disney Productions France collaborera avec Eddie Barclay, Lucien Maurice, Edith Piaf, Maurice Chevalier, Henri Salvador, Annie Cordy, Chantal Goya et Jean-Jacques Debout, Dorothée, Douchka et bien d'autres artistes français qui participeront à Salut Les Mickey comme Michel Berger, Jane Birkin, Sacha Distel, Lio, Charlotte de Turckheim, etc. Dans le domaine de la Grande Distribution, Walt Disney Productions France sera le premier partenaire du Groupe Euromarché dans les années 1970. Dans les années 1980, Walt Disney Productions France lancera la mode "Mickey" pour adulte avec de grands créateurs et de nombreuses licences textiles seront signées et auront beaucoup de succès auprès des consommateurs.

Au niveau cinématographique, la « reconquête » se fait en utilisant les intérêts bloqués au Royaume-Uni pour produire en Angleterre des films dont L'Île au trésor (1950) puis Vingt Mille Lieues sous les mers (1954). La filiale francophone est réorganisée en 1951 depuis Bruxelles sous la direction d'Armand Bigle (en Belgique) où Disney possédait l'un de ses deux sièges européens (avec Londres)[14]. En 1949, Armand Bigle installe les nouvelles activités de Disney au 23 rue Galilée à Paris 16, quelques années plus tard, il rejoint les bureaux de Disney films au 52 Avenue des Champs-Élysées. Disney Films étaient distribués à cette époque par la RKO dans le monde entier, et progressivement organisait sa propre distribution avec des partenaires, comme les frères Joe et Sammy Siritsky avec Athos Films.

Le Journal de Mickey profite de ce renouveau pour lancer le par Armand Bigle, une nouvelle formule, inspirée du Mickey Magazine Belge, au format magazine et contenant des pages en couleur[14]. Les plages de France voient aussi l'ouverture des Clubs Mickey sponsorisé par le magazine et animée par Marie-Jeanne. Le succès est énorme, et Le Journal de Mickey tire à des centaines de milliers d'exemplaires aux côtés de ses concurrents, Le Journal de Tintin et Spirou.

Les années 1970 et 1980 modifier

Durant les années 1970 et 1980, l'entreprise multiplie les publications (Super Picsou Géant, Picsou Magazine) tout en présentant régulièrement ses films au cinéma.

À partir des années 1980, sous la direction de Dominique Bigle le fils d'Armand Bigle, Disney prend une place plus marquante dans les médias. Disney apparaît sur la télévision devenu courante dans les foyers français :

Les années 1980 marqueront également le lancement de Walt Disney Home Video qui depuis le bureau de Paris couvrira la commercialisation des vidéocassettes Disneys sur plus de 23 territoires Européens.

C'est en France que les films Disney seront vendus en exclusivité et pour la première fois à Canal+, chaine payante naissante.

À partir de , Disney reprend son projet entamé, dans les années 1970, de construire un parc Disney en Europe. Le projet prend plus d'ampleur après la nomination de Michael Eisner à la tête de Disney. Et en 1985, la presse française en fait écho.

Le projet prend une réelle d'envergure avec la signature en 1987 de la Convention pour la création et l'exploitation d'Euro Disneyland en France, un contrat entre Euro Disney SCA et l'État français prévoyant la construction du domaine d'Euro Disney Resort.

Les années 1990 modifier

Le début des années 1990, marque un âge d'or pour Disney que ce soit en France ou dans le monde. Les projets lancés à la fin de la décennie précédente portent leurs fruits et Disney profite de ces bénéfices pour se lancer dans de nombreux investissements et projets qui renforcent au niveau du public un sentiment de « Disneylisation » à outrance subie. Les films de Disney sont tous des succès en France comme mondiaux : La Petite Sirène (sorti fin 1989), Bernard et Bianca au pays des kangourous (1990), La Belle et la Bête (1991), Aladdin (1992) et Le Roi lion (1994), considéré comme le dessin animé le plus rentable de Disney.

En 1991, Disney créée une antenne française de Buena Vista Home Entertainment, une filiale commune avec Hachette (Disney Hachette Presse) pour la diffusion de plus de 12 titres de presse.

En 1992, le parc Euro Disneyland ouvre ses portes à proximité de Paris.

La Disney Store des Champs-Élysées en 2014.

En 1993, Disney crée une filiale commune avec Gaumont pour la distribution de ses films : Gaumont Buena Vista International. Elle ouvre une Disney Store sur l'Avenue des Champs-Élysées. Le siège de Disney France déménage aussi à cette période au 54 Avenue Montaigne.

La deuxième moitié des années 1990 est marquée par une récession de Disney due entre autres aux problèmes financiers d'Euro Disney SCA avec comme point culminant le renommage fin 1994 du parc en Parc Disneyland. Le lourd investissement dans ABC suivi des investissements dans l'internet ne permettent pas à Disney de se lancer dans des projets novateurs. Les projets sont très souvent lancés depuis le siège de Disney en Californie, les entités nationales n'ayant que peu de pouvoir décisionnel.

Toutefois Disney Channel est lancée en 1997.

Le 23 juillet 1996, The Walt Disney Company signe un contrat de distribution avec le Studio Ghibli. En France, les films seront distribués au cinéma via Gaumont Buena Vista International, puis, quand le GIE sera dissous dans le courant de l'année 2004, via Buena Vista International. Le premier film de ce contrat à être sorti sur les écrans français sera Princesse Mononoké, le 12 juin 2000.

Les années 2000 modifier

La bulle Internet (paroxysme en 2000-2001) rend l'entreprise Disney très fragile et ce n'est qu'à partir de 2002 qu'elle reprend ses investissements.

Ouverture du Parc Walt Disney Studios le .

La chaîne Disney Channel France est devenu le un bouquet optionnel de 4 chaînes : Disney Channel, Disney Channel +1 (diffusé avec une heure de décalage), Playhouse Disney pour les plus jeunes et Toon Disney

En février 2004, Disney ajoute la chaîne Jetix à son offre.

En 2005, Gaumont cède ses parts dans le GIE Gaumont Buena Vista International à Buena Vista International France, mettant ainsi un terme à ce dernier[15].

En février 2007, la diffusion de la chaîne Disney Cinemagic est annoncée pour le mois d'avril sur le réseau satellite français[16]. Le , Disney Télévision France annonce le lancement de Disney Cinemagic, Disney Cinemagic +1 et un service de vidéo à la demande sur Canalsat[17],[18]. Le , le Conseil supérieur de l'audiovisuel a épinglé les différentes chaînes de Disney en France pour leur programmation en 2006[19]. Le CSA alerte Playhouse Disney sur l'absence d'investissement dans la production audiovisuelle globale, d'expression française et indépendante. Pour Disney Channel, le CSA met en garde la chaîne pour son absence d'investissements dans la production individuelle indépendante et la met en demeure concernant ses quotas de diffusion aux heures de grande écoute.

Le , Disney-ABC-ESPN Television et NRJ 12 annonce un accord de diffusion des exclusivités de Disney Channel France sur la chaine NRJ12 à partir du [20]. NRJ 12 diffusera en exclusivité hertzienne les séries produites par Walt Disney Television et pourra rediffuser les séries existantes après diffusion sur les chaînes Disney[21] telles La Vie de palace de Zack et Cody, Les Sorciers de Waverly Place et Sonny.

Les années 2010 modifier

Le , Glénat annonce la publication en bande dessinée des œuvres complètes de Mickey Mouse et Donald Duck en 2011 et 2012 ainsi que de nouvelles histoires[22].

Le , Disney France et Vidéo Futur signent un accord de distribution en vidéo à la demande[23].

Le 1er avril 2011, Disney Channel et sa déclinaison Disney Channel +1 sont désormais disponibles gratuitement sur tous les bouquets ADSL français[24],[25],[26],[27], suivant l'exemple de Disney Channel Espagne en 2008[28]. Le , Disney et Free lancent en France Disneytek et ABCtek deux services de vidéos à la demande[29],[30].

Le , Disney lance une chaîne Disneynature TV sur le bouquet d'Orange[31]. Le , le groupe Fnac annonce l'ouverture de 50 espaces Disney dans ses magasins[32].

Le , Le Figaro annonce le début de l'adaptation française de la comédie musicale La Belle et la Bête le au Théâtre Mogador produite par Disney France et Stage Entertainment[33].

Le , Nicolas Roux, responsable français de Disneymedia+, annonce que les régies publicitaires des chaînes françaises gérées par TF1 Publicité seront gérées à compter du 1er juillet directement par cette entité européenne[34]. Le , Disney et Deezer lancent en France un espace de téléchargement des musiques de films du studio[35]. Le , The Walt Disney Company annonce une recapitalisation et un renforcement de sa participation dans Euro Disney pour un montant d'environ 1 milliard d'euros, dont 420 millions en liquidité, et 600 millions par échange de dette[36].

Le , Canalsat annonce une nouvelle chaîne Disney nommée Disney Cinema, qui commença sa diffusion le [37]. Le , Disney Channel Pop Pick Play est lancé en exclusivité sur la TV d'Orange dans le bouquet Famille Max, il remplace également Disney Channel Avant-Première qui lui était disponible chez tous les FAI et Numericable. Le 2015, Orange signe un contrat avec Disney pour un service de VOD nommé Disney Pop Pick Play [38]. Le , Disney et Canal+ signent un contrat rendant les chaînes Disney Junior, Disney XD et Disney Cinema ainsi que Disney English des services exclusifs de Canalsat[39],[40]. Le , SFR lance le service de vidéo et jeux vidéo à la demande Disney Channel Pop Pick Play[41],[42].

Le , France Télévisions signe un contrat pluriannuel avec Disney France pour la diffusion de séries Disney pour la jeunesse sur France 3 et France 5, contrat précédemment détenu depuis 2010 par M6 pour l'émission Disney Kid Club[43]. Le , le distributeur français Malavida Films a restauré et regroupé plusieurs des Alice Comedies non protégés par un copyright dans un moyen métrage présenté au Festival Lumière 2016 à Lyon avant de distribuer en salles[44].

Le , des décisions de justice du mois de novembre indiquent que les bureaux de la Walt Disney Company France à Paris ont été perquisitionnés le dans le cadre d'une enquête sur une possible dissimulation de revenus et donc de taxes impayées au travers d'une licence payée par Disneyland Paris à la société européenne Disney Limited basée au Royaume-Uni[45],[46].

Le , Jean-François Camilleri annonce son départ du poste de président de Disney France[47] puis le lendemain , Hélène Etzi est nommée présidente[48].

Les années 2020 modifier

Le , Canal+ confirme l'arrêt des chaînes Disney Cinema et Disney XD au [49], remplacées par le service de vidéo à la demande Disney+. Cependant, à la suite du report du lancement de Disney+, la chaine continuera d'émettre en France jusqu’au . En France d'outre-mer et en Afrique, la chaîne est restée diffusée en attendant le lancement de Disney+ sur le territoire.

2020 voit aussi la fin du contrat de distribution entre Disney et le Studio Ghibli. Le 2 septembre 2020, Wild Bunch est annoncé comme nouveau distributeur du catalogue du studio[50].

Disney Cinema et Disney XD cessent définitivement leur diffusion le . La chaîne et le service Disney+ ont été lancés aux Caraïbes, Polynésie française et Nouvelle-Calédonie le .

Thématique modifier

La société Disney possède plusieurs sociétés en France :

Cinéma modifier

Parcs à thèmes et domaine de loisirs modifier

Euro Disney est la société possédant et exploitant au travers plusieurs filiales le complexe de loisirs Disneyland Paris.

De 1992 à 2014, la société américaine The Walt Disney Company possédait 39,9 % d'Euro Disney. En 2015, à la faveur d'une recapitalisation, Disney passe à 72 % puis à la suite d'une OPA finalisée en , Disney possède 97 % d'Euro Disney et retire l'action de la bourse.

Télévision modifier

Les émissions et blocs de programmes modifier

Les chaînes modifier

Chaînes actuelles
Anciennes chaînes

Les services modifier

  • Disney+ depuis le pour 6,99 € par mois ou 69,99 € par an ou dans l'offre Ciné Séries de Canal+
  • Disneytek longtemps en exclusivité sur Free et aujourd'hui également sur La TV d'Orange et SFR TV
  • ABCtek en exclusivité sur Free

Anciens

  • Disney Channel Avant-Première chez tous les FAI et Numericable (jusqu'en )
  • Disneynature TV lancé en 2012 sur SFR et Orange (arrêté sur SFR en 2015 et sur Orange en 2018)[51],[52]
  • Disney Channel Pop Pick Play chez Orange et SFR (du à 2020)
  • Disney Channel Pop Pick chez Canal+ (Disney Channel Pop Pick Play sans la section "Play")
  • Disney English en exclusivité sur Canal (service ludo-éducatif pour apprendre l'anglais avec des dessins-animés) de 2015 à 2020
  • Holà Disney en exclusivité sur Canal (service ludo-éducatif pour apprendre l'espagnol avec des épisodes de Soy Luna)

Musique modifier

Presse modifier

Bandes dessinées modifier

Intégrales chez Glénat
  • La Dynastie Donald Duck de Carl Barks chez Glénat (24 tomes)
  • L'âge d'or de Mickey Mouse de Floyd Gottfredson chez Glénat (12 tomes)
  • L'intégrale de Don Rosa de Don Rosa chez Glénat (7 tomes)
Collection Disney by Glénat

Publications régulières modifier

Voir aussi Unique Heritage Entertainment (ex-Disney Hachette Presse).

Nom du magazine Éditeur État de parution Année début Année fin Rythme parution
Mickey Hachette
interrompue de 1948 à 1950
Hachette arrêté 1931 1954
Albums Walt Disney arrêté 1934 1950
Le Journal de Mickey en cours 1934 hebdomadaire
Hardi présente Donald arrêté 1947 1953
Les Belles Histoires de Walt Disney arrêté 1948 1954
Mickey Hachette
Série reprise sous son ancien format
Hachette arrêté 1948 1950
Albums roses Hachette arrêté 1950 1951
Belles histoires Walt Disney Colbert arrêté 1956 1956 2 numéros
Almanach du Journal de Mickey arrêté 1957 1986
Mickey Parade
(première série)
Edi-Monde arrêté 1966 1979 mensuel
Mickey à travers les siècles arrêté 1970 1972
Bandes dessinées Walt Disney Édi-Monde arrêté 1972 1978 trimestre (20 N°)
Picsou Magazine Disney Hachette Presse en cours 1972 mensuel
Grands albums blancs arrêté 1973 1987
Super Picsou Géant (ancienne série) arrêté 1977 1982
Castors Juniors Magazine Edi-Monde arrêté 1978 1981 mensuel (37 N°)
Spécial Mickey Géant arrêté 1979 1986
Mickey explore le temps hors-série 1980
Mickey Parade
(seconde série)
Disney Hachette Presse en cours 1980
Pinocchio Magazine arrêté 1980 1981
L'intégrale de Mickey Dargaud arrêté 1981 1984
Donald Magazine arrêté 1982 1990
Mickey Jeux en cours 1982
Albums Dargaud Dargaud arrêté 1980 1983 trimestriel (16 N°)
Super Picsou Géant Disney Hachette Presse en cours 1983
Happy Birthday Mickey ! hors-série 1985
Basil détective privé hors-série 1986
Disney Channel hors-série 1986
Collection l'âge d'or de Mickey arrêté 1987 1988
Hiawatha hors-série 1987
Mystère à Mickeyville hors-série 1991
Collection "Hors Collection" arrêté 1992 1998
Mickey Mystère Disney Hachette Presse arrêté 1993 1996
Picsou Magazine hors-série arrêté 1995 1997
Les trésors de Mickey hors-série 1997
Disney-Planète arrêté 2000
Albums Mickey Parade arrêté ? ?
Albums Picsou Magazine arrêté ? ?
Bambi en cours ?
Walt Disney Collection Mystère arrêté ? 2000

Ambassadrices modifier

Il existe un programme d'ambassadeurs/ambassadrices qui représentent la société. Ce système existe aussi pour d'autres entités de Disney comme les parcs américains.

Sources modifier

Références modifier

  1. Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. « Mentions légales - Disney Corporate » (consulté le )
  3. « Pour vous - 7 novembre 1929 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  4. « Pour vous 21 novembre 1929 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  5. « Pour vous 14 novembre 1929 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  6. « Pour vous 28 novembre 1929 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  7. « Pour vous 30 janvier 1930 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  8. « Pour vous 6 février 1930 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  9. « Le Petit Parisien : journal quotidien du soir », sur Gallica, (consulté le )
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  13. (en) Jimmy Johnson, Inside the Whimsy Works, p. 148
  14. a et b L’histoire de Disney France
  15. « Rapport d'analyse financière Gaumont 2004-2006 » Accès libre [PDF], sur Sauvons le Grand Écran (consulté le )
  16. Nouvelle venue dans la famille Disney
  17. (fr) CANALSAT ET DISNEY RENFORCENT LEUR PARTENARIAT, Communiqué de presse
  18. « Disney Cinemagic, nouvelle chaîne sur CanalSat »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  19. Bilan 2006 de 17 chaînes payantes
  20. (fr) Des exclusivités Disney sur NRJ 12
  21. NRJ 12 acquiert l'exclusivité des séries Disney pour les "Tweens"
  22. Mickey et Donald de nouveau en librairie
  23. VideoFutur : accord de VàD avec Walt Disney France
  24. Arrivée de 2 chaînes Disney dans le bouquet basic de Free le 1er avril
  25. Disney Channel investi l’offre de base et le bouquet Extra de la TV d’Orange
  26. Disney Channel arrive sur les box ADSL et devient gratuit définitivement
  27. (en) Disney Channel joins IPTV platforms
  28. Disney Channel bientôt gratuite ?
  29. Disney France bows first Euro online content stores
  30. Disney Inks Deal for Branded Video 'Stores' in France
  31. Disneynature TV sera lancée le 26 avril sur la TV d'Orange
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  33. La Belle et la Bête: la comédie musicale à l'affiche du Théâtre Mogador
  34. Disney intègre la régie de ses chaînes TV par Nicolas Roux en vidéo
  35. Disney and Deezer announce France partnership
  36. Walt Disney rescues Euro Disney with $1.3 billion funding deal, Kate Holton et Leila Abboud, Reuters, 6 octobre 2014
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