Thiverval-Grignon

commune française du département des Yvelines

Thiverval-Grignon
Thiverval-Grignon
La mairie (Thiverval).
Blason de Thiverval-Grignon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Nadine Gohard
2020-2026
Code postal 78850
Code commune 78615
Démographie
Gentilé Thivervalo-grignonais
Population
municipale
1 192 hab. (2021 en augmentation de 8,36 % par rapport à 2015)
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 07″ nord, 1° 55′ 05″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 132 m
Superficie 11,17 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plaisir
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Thiverval-Grignon
Liens
Site web thiverval-grignon.com

Thiverval-Grignon est une commune française du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France.

Ses habitants sont appelés les Thivervalo-grignonais.

Géographie modifier

Localisation modifier

Position de Thiverval-Grignon dans les Yvelines.

La commune de Thiverval-Grignon se trouve dans la plaine de Versailles sur une petite éminence entre la vallée du Maldroit (Plaisir, Saint-Germain-de-la-Grange puis Beynes) et celle du ru de Gally (Chavenay puis en contrebas de Davron et Crespières).

La commune présente deux lieux habités distants de trois kilomètres ; le village de Thiverval, dans la vallée du ru de Gally, et le hameau de Grignon où se trouve le complexe d'AgroParisTech (anciennement Institut national agronomique Paris-Grignon, ex-École nationale supérieure d'agronomie de Grignon).


Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Thiverval-Grignon
Beynes Crespières Davron
Thiverval-Grignon Chavenay
Saint-Germain-de-la-Grange Plaisir

Transports et communications modifier

Réseau routier modifier

La commune est desservie par la route départementale 30 reliant Plaisir à Poissy et la route départementale 119 reliant Chavenay et la D 30 à Beynes.

Desserte ferroviaire modifier

La gare la plus proche est celle de Plaisir - Grignon.

Bus modifier

La commune est desservie par les lignes 12 et 19 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines, les lignes B et TG du réseau de bus Saint-Quentin-en-Yvelines et par la ligne 4 du réseau de bus Île-de-France Ouest.

Sentier de randonnée modifier

Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Saint-Germain-de-la-Grange au sud-ouest jusqu'à Davron au nord.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 692 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Thiverval-Grignon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols simplifiée modifier

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 84,27 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 6,11 % d'espaces ouverts artificialisés et 9,62 % d'espaces construits artificialisés[12].

Occupation des sols détaillée modifier

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 3,4 % 38
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 2,1 % 24
Terres arables hors périmètres d'irrigation 60,1 % 680
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 17,4 % 197
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 2,2 % 25
Forêts de feuillus 14,3 % 162
Forêt et végétation arbustive en mutation 0,4 % 5
Source : Corine Land Cover[13]

Toponymie modifier

Le nom de Thiverval est attesté sous les formes Tivervalle, Tivevalle, Tuvervalle, Tivervale en 1061[14],[15], Paganus de Tevarval en 1152[16], dominus de Tiverval en 1207[17], de Theverval en 1209[17], Tyverval vers 1220[18],[19], Galterus de Tiverval en 1235[20], Gellanus de Tyvervalle en 1254[21], Tyverval, Tiverval vers 1272[22], Tiverval en 1351[22], Tivervallis en 1480[22], Tyverval au Val de Gallye en 1483 [23],[15], Cure de Tiberual en 1648[24], Thiverval vers 1757[25], en 1793[26] et vers 1850[27], Thiverval-Grignon en 1952[26].

Il s'agit d'une formation médiévale en -val « vallée », appellatif toponymique fréquent, précédé du nom de personne germanique Thiotwar[28] ou Theodberht[17] qui donne *Ti-bert > *Ti-ver, d'où la signification possible de Thiverval : « (Le domaine) du val de Thiotwar ou Thibert », peut être en rapport avec le carolingien Thibert (ou Theodebert), (°775, + ap. 822), missi dominici de Charlemagne en 802, comte de Madrie, dont la capitale de ce comté pourrait être Méré.

Remarque : il n'existe aucune forme ancienne du type *Tiberval qui permette de postuler l'emploi du nom de personne Theodberht > Thibert, auquel cas [b] aurait donné de manière irrégulière [v]. Les occurrences de Thibert + appellatif dans la toponymie française ont régulièrement abouti à Thiber- / Tiber- comme en témoignent Thiberville (Eure, Tibervilla 1249 ; Tyeberville 1339); Thibermesnil (Seine-Maritime, Tibermaisnil 1157 ; Tibermesnil vers 1240 / 1319). En revanche, Thiotwar a régulièrement donné Tiver-.

Les mentions anciennes de Grignon sont : apud Grinum en 1087[29], 1171[30], Grinun en 1176[31], Greignon vers 1220[15], Gregnon en 1233[32], Greignon en 1266[33], Greignon emprès Tiverval en 1352[15], Fontaine de Grignon en 1485[15], sentier qui va des Bordes à Grignon 1551[15], Grignon vers 1757[25] et vers 1850[27], Thiverval-Grignon en 1952[26].

Michel Roblin a émis l'hypothèse de voir en Grignon, le radical grinia d'origine germanique. Il désignerait une inégalité rocheuse dans les labours[34],[35]. C'est sans doute le même mot germanique auquel M. Mulon fait référence, mais elle suggère d’y voir un « (Domaine) du terrain grelu », « lieu où le terrain est inégal, fait de rides », c’est-à-dire « terrain difficile à labourer », comme pour le village de Vaugrigneuse[36]. L'ancien français grignos avait le sens de « triste », on le retrouve également dans Grigneuseville (Seine-Maritime, Greinosavilla 1164) et Grenieuseville (Eure, Gregnosavilla 1130)[37]. Il s'agit d'un dérivé du verbe grigner (greignier XIe siècle) « grincer des dents, grommeler, grimacer », mot d'origine germanique, encore employé en français régional. Une autre hypothèse a été formulée par Marie-Thérèse Morlet, les toponymes du type Grignon seraient des dérivés du nom de personne Granius, employé adjectivement en -one du latin granus « grain, graine » employé comme sobriquet « grenu »[17].

Histoire modifier

Le territoire a été habité dès l'époque préhistorique. Des traces de l'époque gallo-romaine ont également été retrouvées. Les deux villages de Thiverval et Grignon existent depuis le Moyen Âge.

Selon la légende, après s'être fait baptiser, Clovis lança trois plumes en l'air et décida de construire une église là où atterrirait les plumes. La légende veut que l'une d'elles atterrit à Thiverval. C'est pour ça qu'une plume figure sur le haut du blason de la commune.

Tyverval et Greignon dépendaient de la châtellenie de Poissy au XIIIe siècle[19]

Le château de Grignon est construit au XVIIe siècle par Pomponne de Bellièvre. Le domaine est racheté par le roi Charles X, qui crée l'Institution royale agronomique de Grignon en 1826.

Le futur maréchal Ney se maria à la mairie de Thiverval le 17 Thermidor an X (), avec Aglaé Auguié, fille de Pierre César Auguié de Lascans, administrateur général des postes propriétaire du château de Grignon[38], époux d'Adélaïde Henriette Genet, femme de chambre de la reine Marie-Antoinette, comme sa sœur, la célèbre Madame Campan[39].

La commune de Thiverval, regroupant les deux villages, est autorisée à prendre le nom de Thiverval-Grignon par décret du .

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 2001 Bernard Jolivet    
2001 2020 Rémi Lucet    
2020 En cours Nadine Gohard    

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 1 192 habitants[Note 3], en augmentation de 8,36 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
436393377347369404558500502
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
522497492512553534516525560
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
554587582777660632572660684
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
6126397526627677731 0141 0091 095
2018 2021 - - - - - - -
1 0301 192-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 53,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,2 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 493 hommes pour 537 femmes, soit un taux de 52,14 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,1 
8,1 
75-89 ans
4,3 
11,0 
60-74 ans
9,9 
18,5 
45-59 ans
15,3 
13,0 
30-44 ans
12,5 
38,7 
15-29 ans
46,2 
10,5 
0-14 ans
10,8 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement modifier

  • Enseignement supérieur : site d'AgroParisTech (établissement né du rapprochement de l'INA-PG, l'ENGREF et l'ENSIA).
  • Recherche : centre de recherche de l'INRA : INRA-Grignon qui regroupe différentes unités de recherches traitant principalement des problèmes environnementaux.

Économie modifier

L'usine d'incinération.
L'usine d'incinération.

Culture locale et patrimoine modifier

L'église Saint-Martin.
AgroParisTech Grignon.

Lieux et monuments modifier

Église de style gothique datant des XIIe et XIIIe siècles, restaurée en 1804, Logo monument historique Classée MH (1846, classement par liste de 1846)[46].
Elle comporte une nef à cinq travées et trois niveaux en élévation, un clocher octogonal élevé sur la croisée du transept.
Château du XVIIe siècle en briques à chaînages d'angles en pierre calcaire blanche dans un domaine de 500 hectares, Logo monument historique Inscrit MH (1941, L'école Nationale d'Agriculture)[47].
Zones agricoles et boisées d'environ 290 hectares comprenant un Arboretum[48].
Il est actuellement affecté à une grande école d'ingénieurs, l'AgroParisTech.
L'école devrait quitter le site en 2021 et ce patrimoine historique aurait pu devenir le futur centre d'entraînement du PSG[49], ce qui a suscité l'opposition de l'association Yvelines Environnement, du conseil scientifique régional du patrimoine naturel d’Île-de-France[50] et des anciens élèves de l'AgroParisTech.
En 2018, le ministère de l'Agriculture met en vente le site[51]. Les candidats au rachat du site déposent leur offre auprès de l'État pour le mois de [52]. Un des projets, Grignon 2026, est porté par l'Association Grignon 2000 créée en 1999 par des anciens élèves et des enseignants chercheurs. En août 2021, l'État retient toutefois l'offre du promoteur immobilier Altarea Cogedim[53], choix qui suscite des oppositions de Grignon 2000, d'élus locaux et d'anciens élèves[54]. Ce choix est abandonné en novembre 2021. Une nouvelle procédure de cession est annoncée pour le second semestre 2022[55].

Personnalités liées à la commune modifier

Télévision modifier

  • La grande maison située en face de l'église, au croisement des route de Crespières, Grande Rue, et rue de Rougemont, a été pendant plusieurs années la maison des Cordier, juge et flic.

Héraldique modifier

Blason de Thiverval-Grignon Blason
Parti d'azur à trois trèfles d'or et d'or à trois merlettes de sable becquées et membrées de gueules ; au chef cousu de sinople à la croix alésée accompagnée en pointe d'une plume, le tout d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Galerie modifier

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Thiverval-Grignon et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. PROU (Maur.) Recueil des actes de Philippe Ier, roi de France (1908), t. 1, p. 36, l. 21 & n.j.
  15. a b c d e et f HOUTH-BALTUS (Mad.) Dict. Topogr. Des noms de lieux et lieux-dits du Pays de Cruye et de Galie. Bull de la Comm. des Antiq et des Arts (1941), t. 49, pp. 22-215; p. 144, 145, Grignon : p. 147
  16. METAIS (abbé) Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat. (1912), t. 1, p. 254.
  17. a b c et d MORLET M Th Les Noms de personne sur le territoire de (1968), t.3, Grignon p. 101a, Thiverval p.283b
  18. B.N., 9778, f° 239. ANONYME Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin (1922), t.37, p.66.
  19. a et b Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 241.
  20. MOUTIE (Aug.) Cartulaire abb. de ND de la Roche (1862), p. 68, §LXVII.
  21. MERLET (L) MOUTIE (A) Cartu. abb. N-D Vaux de Cernay 1251-1300. (1857), t.1-(2), p. 502 §DXLIII
  22. a b et c LONGNON (A.)Pouillés province de Sens (1904), p. 122B, 160A, 213G.
  23. Archives de Seine-et-Oise tabellionnage Villepreux. 2° registre, p. 340
  24. POUILLE GENERAL contenant les bénéfices de l'archevêché de Paris -dio. (1648), dioc. Chartres, p.51.
  25. a et b IGN, plan de Cassini, en ligne
  26. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. a et b IGN, carte d'État Major 1820-1866, en ligne
  28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 676a.
  29. DION (cte de) Notice sur Beynes. Société historique et Archéologique de Rambouillet (1896), t.11, p. 18.
  30. Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976, page 28.
  31. Auguste Longnon, Polyptyque de l'Abbaye de st-Germain-des-Prés. (1895), t.1, p. 223
  32. GUERARD Cartulaire de l’église ND de Paris T5, (1850), t.2, p. 10
  33. MERLET (L) MOUTIE (A) Cartu. abb. N-D Vaux de Cernay (1857), t.1, XL, p. 622
  34. Michel Roblin, Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque: peuplement et défrichement dans la Civitas des Parisii (Seine, Seine-et-Oise), (1951), p. 76.
  35. Lucien Febvre, Le terroir des Parisii : un livre neuf. In: Annales. Economies, sociétés, civilisations. 6ᵉ année, N. 4, (1951), pp. 504-507; p. 505 n.1.
  36. Marianne Mulon, Noms de lieux-d'Ile-de-France (1997), p. 167.
  37. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 88
  38. A.D.Y., monographie communale de l'instituteur, Thiverval (1899), p. 21/44
  39. A.D.Y., monographie communale de Paul Aubert Thiverval (1863-1949), p. 33/40
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thiverval-Grignon (78615) », (consulté le ).
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
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  49. « Futur centre d'entraînement du PSG : Thiverval-Grignon, majestueux mais éloigné », sur leparisien.fr (consulté le ).
  50. « Quand la France vend ses terres agricoles au Qatar », sur Basta ! (consulté le ).
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  55. Magazine Marianne, « AgroParisTech : l'État interrompt la privatisation du domaine de Grignon », sur www.marianne.net, 2021-11-15utc16:44:48+0100 (consulté le )
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