Le tourisme en Angola (República de Angola) se base sur la beauté naturelle des paysages du pays, dont rivières, cascades, parcs naturels et littoral (1650 km) pittoresque. L'industrie du tourisme de l'Angola est relativement nouvelle : une grande partie du pays a été détruite pendant la guerre civile post-coloniale (1975-2002), et il existe peu d'infrastructures et de constructions anciennes remarquables, coloniales (Angola portugais, 1575-1975) ou non (Royaume Lunda, Royaume du Kongo, Guerre d'indépendance de l'Angola (1961-1975), République populaire d'Angola (1975-1992)).

Véhicules tout-terrain faisant une pause.
Deux Angolaises observant des campeurs sud-africains.

L’Angola a des exigences de visa compliquées et onéreuses comme du type soviétique. Elle n'accorde pas de visa à l’arrivée aux voyageurs qui viennent de l’Union Européenne ou des États-Unis. Elle n’a pas non plus de régime sans visa. Pour obtenir le visa, il faut fournir la lettre d’invitation officielle, les documents concernant le but du voyage, une copie de l’itinéraire de voyage, la preuve de financement, etc[1].

[réf. souhaitée]
  • Angola
  • Pays exempté de visa
  • Visa à l'arrivée
  • Visa requis

Toutefois les ressortissants de onze pays — Afrique du Sud, Botswana, Cap-Vert, Maurice, Mozambique, Namibie, Rwanda, Seychelles, Singapour, Zambie et Zimbabwe — peuvent rester jusqu'à un mois en Angola sur présentation d'un passeport valide sans nécessité de visa[source insuffisante][2].

Notes et références

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(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu des articles intitulés en anglais « Tourism in Angola » (voir la liste des auteurs) et « Visa policy of Angola » (voir la liste des auteurs).
  1. (en) « Visas – Angola Embassy » (consulté le )
  2. (en) « Who Needs A Visa For Angola », sur touristvisaonline.com (consulté le )
  3. Hippotrague noir géant : spécimen empaillé au musée américain d'histoire naturelle. Le parc national de Cangandala abriterait une petite population[réf. souhaitée] de cette espèce emblématique de l’Angola et dont vient le surnom de « Palancas Negras » de l'équipe d'Angola de football.