Trekearth
TrekEarth était un site web de partage de photographies multilangue, principalement consacré à la photographie de voyage et de paysages.
Logo de Trekearth. | |
Adresse | TrekEarth.com |
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Slogan | Le monde par la photographie |
Type de site | Partage de photographies |
Inscription | Oui |
Propriétaire | Internet Brands |
Lancement | octobre 2002 |
Fermeture | novembre 2022 |
État actuel | Fermé |
modifier | |
Les photos étaient réparties par lieux et par thème. Chaque personne inscrite pouvait construire ses propres thèmes.
- Au , le site compte 426 569 photos et 41 524 membres de 182 pays.
- Au , le site compte 678 607 photos et 63 302 membres de 187 pays.
- Au , le site compte 1 001 085 photos.
- Le site est fermé depuis novembre 2022.
Les photos placées dans ce site sont par défaut sous copyright.
À noter aussi l'existence de TrekLens et de TrekNature, fondés par le même créateur et fonctionnant sur le même principe de la communauté.
Principe
modifierLes membres du site pouvaient y déposer leurs propres photographies à condition qu'elles permettent d'en apprendre plus sur le monde. Pour faire primer la qualité sur la quantité, il n'était possible de téléverser qu'une seule photo par jour et par membre[1]. Chaque photo pouvait être titrée et annotée. Les annotations sur TrekEarth éraient souvent des accroches textuelles, visant à retenir l'attention de l'internaute visiteur tout en décrivant précisément le contexte de la prise de vue[2].
Les membres inscrits à cette communauté gratuite avaient la possibilité d'émettre des critiques constructives sur les photos posées par les autres membres. Il en résultait une émulation à exercer son sens critique émettrice de ses propres photos et de celles des autres.
ATTENTION : L'espace personnel créé sur ce site n'est absolument pas clôturable. Vos informations personnelles restent définitivement ancrées sur les moteurs de recherches.
Notes et références
modifier- (en) « TrekEarth Guidelines », sur TrekEarth.com (consulté le ).
- (en) Carolyne Lee, « Wordlings in a Web 2.0 world », First Monday, volume 14, numéro 2, (consulté le ).