Tucker Carlson
Tucker Carlson, né le à San Francisco (Californie), est un éditorialiste et animateur de télévision américain.
Naissance | |
---|---|
Nom de naissance |
Tucker Swanson McNear Carlson |
Nationalité | |
Formation |
St. George's School (en) (jusqu'en ) Trinity College (baccalauréat universitaire) La Jolla Country Day School (en) Buckley School (en) |
Activités |
Polémiste, écrivain, journaliste de télévision, journaliste, chroniqueur de presse, animateur de télévision, podcasteur |
Rédacteur à | |
Père |
Dick Carlson (en) |
Mère |
Lisa McNear (d) |
Beau-parent |
Patricia Caroline Swanson (d) |
Fratrie |
Buckley Carlson (d) |
A travaillé pour |
Fox News Channel (- MSNBC (- PBS (- CNN (- |
---|---|
Religion | |
Parti politique |
Parti républicain (depuis ) |
Idéologie |
Conservatisme aux États-unis, américanocentrisme, libertarianisme aux États-Unis (en) |
Mouvement | |
Cheveux | |
Yeux | |
Site web |
(en) tuckercarlson.com |
Distinctions |
Il commence sa carrière comme journaliste pour le quotidien conservateur The Weekly Standard avant d’être recruté comme présentateur par la chaîne CNN en 2000 puis MSNBC en 2005.
De 2016 à 2023, il est recruté par la famille Murdoch pour présenter l'émission Tucker Carlson Tonight sur Fox News. Son émission est suivie par près de 3 millions de téléspectateurs chaque soir, ce qui en fait l'émission la plus populaire de la chaine Fox News.
Tucker Carlson est un opposant virulent du progressisme, un critique de l'immigration, et a été décrit comme un nationaliste[1]. Tout d'abord de tendance libertarienne sur un plan économique, il est devenu partisan du protectionnisme[2],[3]. En 2004, il renonce à son soutien initial à la guerre d'Irak[4],[5] et il affiche depuis lors son scepticisme concernant les interventions américaines à l'étranger[2],[6]. Il est, et a été, un promoteur de théories du complot sur des sujets tels que le « Grand remplacement » aux États-Unis[7],[8],[9], la Covid-19[10],[11], l'élection présidentielle américaine de 2020 et l'assaut du Capitole du 6 janvier 2021[12],[13] ; ses discours sur ces sujets et un nombre substantiel d'autres sont notables[14],[15],[13],[16],[9].
Le , Fox News annonce abruptement la fin de sa collaboration avec Tucker Carlson[17]. Le 6 juin 2023, Tucker Carlson lance sa nouvelle émission sur le réseau social Twitter, où il reprend un format raccourci de son ancienne émission sur Fox News[18].
Biographie
modifierDébuts de carrière
modifierIl est le fils de Dick Carlson, ancien ambassadeur des États-Unis aux Seychelles et dirigeant de médias[19], ainsi que d'une artiste qui quitte sa famille alors qu'il n'a que 6 ans. Elle finit par s'installer en France et ne revoit plus jamais ses enfants. Tucker Carlson est élevé par son père seul[20]. Alors que Tucker Carlson est âgé de 10 ans, son père se remarie avec l'héritière du fondateur de la marque agro-alimentaire Swanson[19].
Durant toute sa scolarité, il fréquente des écoles privées[19]. En sortant du Trinity College d'Hartford (Connecticut) sans diplôme[21], il tente infructueusement de rejoindre la CIA puis décide de devenir journaliste[20].
Tucker Carlson fait ses débuts dans la presse écrite, notamment à The Weekly Standard. Il anime par la suite les émissions d'actualité Crossfire sur CNN avec Robert Novak (2000-2005) et Tucker sur MSNBC (2005-2008).
En 2006, il participe à la troisième saison de l'émission américaine Dancing with the Stars sur ABC avec Elena Grinenko comme partenaire[19].
Personnalité médiatique vedette
modifierEn 2009, il rejoint Fox News Channel, d'abord en tant que commentateur[22],[23],[24], puis en 2016 en tant qu'animateur de l'émission quotidienne d'une heure Tucker Carlson Tonight, orientée sur des sujets politiques[20]. En 2016, elle est suivie par environ trois millions de téléspectateurs quotidiennement, assurant la première place de la chaîne en début de soirée devant CNN et MSNBC[25].
Pour Le Point, son influence est si large qu'il participe à modeler la pensée des républicains[26]. Slate estime qu'il pousse le parti vers une direction ethnonationaliste[27]. Il est également apprécié par des figures de l'extrême droite américaine telles que David Duke, ancien grand sorcier du Ku Klux Klan ; et Andrew Anglin, fondateur du site nationaliste blanc The Daily Stormer[28]. Selon le professeur de communication et journalisme Michael Socolow, son influence est à relativiser puisque « 99,3 % des Américains ne regard[ent] pas Fox News lors d’une soirée télévisuelle typique ». En 2022, il observe également que son nombre de téléspectateurs est en baisse[19]. France Info le voit comme potentiel candidat à l'élection présidentielle de 2024[29].
En mars 2023, le président des États-Unis Joe Biden déclare que Tucker Carlson « n'est pas crédible » à la suite d'un reportage jugé biaisé, voire partial, sur la journée du 6 janvier 2021 au Capitole[30].
Séparation avec Fox News
modifierLe — soit trois jours après sa dernière émission — Fox News annonce qu'elle se sépare de Tucker Carlson, son animateur le plus populaire[31],[32]. « Nous le remercions pour les services qu'il a rendus à la chaîne en tant qu'animateur et, avant cela, en tant que collaborateur », déclare un porte-parole de Fox News Media dans un communiqué[17],[33].
La chaîne fait cette annonce moins d'une semaine après avoir accepté de payer 787,5 millions de dollars pour éviter le jugement dans un procès en diffamation intenté par l'entreprise Dominion Voting Systems, le fournisseur d'une partie des machines de vote utilisées lors de l'élection présidentielle américaine de 2020. Ces machines ont été l'objet de théories du complot et autres fausses déclarations émanant des partisans de Donald Trump, largement relayées sur l'antenne de Fox News et plus particulièrement par Tucker Carlson dans son émission[34],[35],[36].
Après son départ de la chaîne, Fox News voit ses audiences plonger. En juin 2023, pour la première fois en deux ans, les audiences de Fox News Channel passent derrière celles de ses concurrentes MSNBC et CNN[37].
Tucker on Twitter / Tucker on X
modifierEn juin 2023, il relance son émission sur le réseau social Twitter (devenu depuis X) sous le nom de Tucker on Twitter (puis Tucker on X)[38]. Lors de sa première émission, il qualifie le président ukrainien Volodymyr Zelensky de « suant et ressemblant à un rat ». Il regrette également que les médias ne parlent pas d' « une espèce extra-terrestre survolant nos villes à bord d'un avion hypersonique »[39]. Il lance ensuite son site de streaming Tucker Carlson Network en décembre[40].
Le , à l’approche des deux ans de l’invasion russe de l’Ukraine, il diffuse sur le réseau X et sur son site web une interview, réalisée deux jours auparavant, avec le président russe Vladimir Poutine[41],[42]. Il est alors le premier journaliste occidental à qui Poutine accorde une interview depuis le début de cette guerre[43]. Au cours de cette interview, il laisse le président russe développer sa version personnelle et falsifiée de l'histoire de l'Ukraine (concluant que « L’Ukraine est un Etat artificiel » et, que selon lui, « les Ukrainiens se sentent encore russes ») et des causes ayant mené à son invasion[43],[44].
Opinions politiques
modifierIl soutient le candidat libertarien Ron Paul lors des élections présidentielles de 1988 et 2008 et présente alors des positions libertariennes conservatrices[45],[46]. Il devient par la suite très critique du libertarianisme. En 2019, il se plaint que la Maison-Blanche serait « envahie de fanatiques libertariens » qui seraient « contrôlés par les banques » et prétend que l'économie serait contrôlée par les libertariens[14],[45].
Il se montre critique à l'égard de la politique menée par le Canada, affirmant en 2006 : « c'est comme votre cousin attardé que vous voyez à Thanksgiving [...]. Vous savez, il est gentil, mais vous ne le prenez pas au sérieux. Ça, c'est le Canada[47] ».
Selon un article du Monde de 2020, son émission Tucker Carlson Tonight défend avec vivacité des opinions nationalistes et non-interventionnistes[48]. D'après un article de Slate de 2022, Tucker Carlson fait partie de l'aile nationale-conservatrice du Parti républicain. Il apparaît à la première « conférence du national-conservatisme »[27].
Tucker Carlson est un promoteur de la théorie complotiste d'extrême droite du grand remplacement[49],[50]. D'après une analyse du New York Times portant sur un panel de 1150 émissions de Tucker Carlson, 400 d'entre elles sont consacrées à ce sujet[51]. Il estime que le Parti démocrate abandonne son électorat populaire traditionnel en défendant l'immigration illégale, cherchant à naturaliser les sans-papiers pour bénéficier de leurs votes. Il estime que cette immigration aboutirait à la destruction de la civilisation occidentale[48],[28].
Il s'est positionné dans l'opposition à la politique anti-Covid-19 du début des années 2020 [52].
Il produit en novembre 2021 une émission présentant l’invasion du Capitole par des partisans de Donald Trump en janvier 2021 comme un complot de « l’État profond » dont seraient victimes les « patriotes » qui ont participé à l'assaut. L'émission suscite des remous au sein de la chaine[53].
Il nie le réchauffement climatique[26],[54]. Il estime également que la masculinité est en crise aux États-Unis et se prononce pour sa « restauration »[27].
Politique étrangère
modifierL'Associated Press (AP) estime qu'en , Carlson pourrait avoir été l'une des personnalités ayant influencé Donald Trump dans sa décision de ne pas répliquer à l'abattage d'un drone américain par l'Iran en 2019 au-dessus du détroit d'Ormuz[55].
Carlson est un partisan du régime de Viktor Orbán, dont il vante la politique migratoire. Durant l'été 2021, dans le cadre de son documentaire La Hongrie contre Soros : le combat pour la civilisation, il interviewe le premier ministre hongrois et dîne chez lui. Carlson accuse également le financier et philanthrope hongro-américain George Soros d'aider les migrants à traverser les frontières hongroises[26],[19].
Il prend également la défense, lors de la guerre en Ukraine, du régime russe et de Vladimir Poutine[56], période pendant laquelle il partage également de la désinformation, en lien avec des réseaux pro-Kremlin[57]. Il est le seul journaliste occidental que le Kremlin recommande aux médias russes de relayer[26], et réalise un entretien avec le président russe en février 2024[58].
Il défend en revanche des positions très hostiles à la Chine[59].
Controverses
modifierAprès l'attentat de Buffalo, Tucker Carlson est mis en cause pour sa promotion de la théorie raciste et complotiste du grand remplacement, citée dans le manifeste du terroriste de Buffalo. Le chef des démocrates au Sénat, Chuck Schumer, dénonce « un poison répandu par l'un des plus grands médias du pays »[20],[28].
En septembre 2023, il est accusé de répandre une rumeur selon laquelle Barack Obama aurait une relation sexuelle avec un homme, racontar « largement discrédité » en 2008. L'homme qui soutient ses affirmations a, par ailleurs, été condamné pour « de multiples arnaques »[60].
Publications
modifier- Carlson, Tucker (2003). Politicians, Partisans, and Parasites: My Adventures in Cable News. New York: Warner Books. (ISBN 978-0759508002).
- Carlson, Tucker (2018). Ship of Fools: How a Selfish Ruling Class Is Bringing America to the Brink of Revolution. New York: Simon & Schuster. (ISBN 978-1501183669).
- Carlson, Tucker (2021). The Long Slide: Thirty Years in American Journalism. New York: Simon & Schuster. (ISBN 978-1501183690).
Notes et références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Tucker Carlson » (voir la liste des auteurs).
- Emma Green, « The Nationalists Take Washington », The Atlantic, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Elaina Plott, « What Does Tucker Carlson Believe? », The Atlantic, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Jack Hunter, « Tucker Carlson thinks libertarians run the economy. That's news to Ron Paul », Washington Examiner, (lire en ligne)
- Tucker Carlson, « Republican Convention: Tucker Carlson », The Washington Post, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- (en) McKay Coppins, « Tucker Carlson: The Bow-Tied Bard of Populism », The Atlantic, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Curt Mills, « Tucker Carlson Goes to War Against the Neocons », The National Interest, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- (en) Nathan Place, « Tucker Carlson faces calls to resign after promoting white supremacist 'replacement' theory », sur The Independent, (consulté le ).
- (en) Charlotte Alter, « Talking With Tucker Carlson, the Most Powerful Conservative in America », Time, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Tucker Carlson », sur Encyclopædia Britannica (consulté le ).
- Timothy Bella, « Tucker Carlson falsely claims Anthony S. Fauci 'created' covid », The Washington Post, (lire en ligne)
- (en) Renée DiResta, « The Anti-Vaccine Influencers Who Are Merely Asking Questions », The Atlantic, (lire en ligne, consulté le )
- Aaron Blake, « Tucker Carlson's wild, baseless theory blaming the FBI for organizing the Jan 6 Capitol riot », The Washington Post, (lire en ligne)
- Bill McCarthy, « Tucker Carlson's 'Patriot Purge' film on Jan. 6 is full of falsehoods, conspiracy theories », sur PolitiFact, .
- Philip Bump, « The accountability-free world of Tucker Carlson », The Washington Post, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Nicholas Confessore, « How Tucker Carlson Stoked White Fear to Conquer Cable » [archive du ], sur The New York Times, (consulté le ).
- Jon Cohen, « Almost everything Tucker Carlson said about Anthony Fauci this week was misleading or false », sur Science, (consulté le ).
- (en-US) Brian Flood, « FOX News Media, Tucker Carlson part ways », sur Fox News, (consulté le ).
- (en-US) Katie Robertson et Jeremy W. Peters, « Tucker Carlson Posts First Installment of New Show on Twitter », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
- Richard Hétu, « Décryptage: Qui a peur de Tucker Carlson ? », La Presse, (lire en ligne , consulté le )
- « Tucker Carlson, porte-voix radical d'une Amérique blanche et inquiète », sur France 24, (consulté le ).
- (en) Jeva Lange last updated, « Tucker Carlson tried to join the CIA », sur theweek, (consulté le ).
- Eric Hananoki, « Special Report's "all-star" panel is overwhelmingly conservative: 67% over past 3 months », Media Matters for America, .
- Associated Press, « Tucker Carlson addresses Vick role », ESPN, (lire en ligne)
- « Fox News Reporting: Fighting for Our Children's Minds », Fox News, (lire en ligne, consulté le )
- R. Thomas Umstead, « Fox News’ 'Tucker Carlson Tonight’ Has Strong Debut », sur Multichannel News, (consulté le ).
- Claire Meynial, « Tucker Carlson, le professionnel de la guerre culturelle » , sur Le Point, (consulté le ).
- Claire Levenson, « Qui est Tucker Carlson, version américaine d'Éric Zemmour? » , sur Slate.fr, (consulté le ).
- « Le « Tucker Carlson Tonight », caisse de résonance de la théorie raciste du « grand remplacement » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « États-Unis : qui est Tucker Carlson, le possible successeur de Donald Trump ? », sur Franceinfo, (consulté le ).
- « Tucker Carlson, de Fox News, n'est pas crédible, déclare la Maison Blanche après le reportage du 6 janvier », sur zonebourse.com (consulté le ).
- (en) Stephen Battaglio, « Tucker Carlson is out at Fox News », sur latimes.com, (consulté le ).
- (en) Isabella Simonetti et Joe Flint, « Tucker Carlson Is Leaving Fox News », sur wsj.com, (consulté le ).
- (en) David Folkenflik, « Tucker Carlson departs Fox News following network's $787 million settlement », sur npr.org, (consulté le ).
- (en) Jeremy W. Peters et Katie Robertson, « Fox News Parts Ways With Tucker Carlson », sur nytimes.com, (consulté le ).
- « Tucker Carlson quitte Fox News, la chaîne américaine se sépare de son animateur vedette », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- « Fox News : l'animateur vedette Tucker Carlson quitte la chaîne », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- Vincent Jolly, Les déboires de Fox News, devenue trop à gauche pour les ultratrumpistes, lefigaro.fr, 23 juin 2023
- « Vladimir Poutine au micro de Tucker Carlson: une aubaine politique pour Donald Trump », sur Slate.fr, (consulté le ).
- (en) Mark Joyella, « Tucker Carlson Debuts Twitter Show Saying The News Media Lies, Cites As An Example ‘UFOs Are Actually Real’ », sur Forbes (consulté le ).
- (en-US) Isabella Simonetti and Keach Hagey, « WSJ News Exclusive | Tucker Carlson Is Launching His Own Streaming Service », WSJ, (lire en ligne, consulté le )
- https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/09/interviewe-par-tucker-carlson-vladimir-poutine-deroule-sa-vision-d-une-russie-provoquee-par-kiev_6215617_3210.html
- https://www.leparisien.fr/international/le-presentateur-tucker-carlson-proche-de-donald-trump-va-interviewer-vladimir-poutine-06-02-2024-HMTQFB64IRAHDPWFLSCREM4TAI.php
- « Interviewé par Tucker Carlson, Vladimir Poutine déroule sa vision d’une Russie provoquée par Kiev et les Occidentaux », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Ukraine, mercenaires et Nord Stream… l’interview de Poutine par Tucker Carlson passée au crible des Vérificateurs », sur TF1 INFO, (consulté le ).
- (en) « Tucker Carlson thinks libertarians run the economy. That's news to Ron Paul », sur Washington Examiner, (consulté le ).
- (en-US) Elizabeth Nolan Brown, « Becoming the Libs to Own the Libertarians: Tucker Carlson Praises Elizabeth Warren », sur Reason.com, (consulté le ).
- (en) Kurt Donaldson, « Carlson back on "retarded cousin" Canada », sur Media Matters for America (consulté le ).
- « Tucker Carlson, l’éminence cathodique de Donald Trump », sur lemonde.fr, .
- « Récits alternatifs et brouillards confusionnistes autour du massacre de Buffalo », sur Conspiracy Watch | L'Observatoire du conspirationnisme, (consulté le ).
- (en-US) Nicholas Confessore, « What to Know About Tucker Carlson’s Rise », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
- David-Julien Rahmil, « Qui est Tucker Carlson, le Zemmour américain regardé par plus de 4 millions de téléspectateurs » , sur L'ADN, (consulté le ).
- https://www.vanityfair.com/news/2022/04/tucker-carlson-covid-vaccine
- « États-Unis. Deux journalistes quittent Fox News, dénonçant un documentaire “irresponsable” », sur Courrier international, .
- « États-Unis : Tucker Carlson, un animateur sur la même ligne que Donald Trump », sur Franceinfo, (consulté le ).
- (en)« Did Fox’s Tucker Carlson play role in calming Iran pressure? », sur apnews.com, .
- Alexis Buisson, « « Camarade Carlson » : aux États-Unis, une star de Fox News fait la... », sur Mediapart (consulté le ).
- (en-GB) « How Russia’s Disinformation Apparatus Ran Aground in Ukraine », sur Byline Times, (consulté le ).
- Pascal Bustamante et Renaud Verstraete, « L’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson : la personnalité du journaliste est au moins aussi intéressante que celle de l’interviewé », sur rtbf.be, (consulté le ).
- « Chine - États-Unis : le choc du XXIe siècle en chiffres et citations », sur Le Monde diplomatique, .
- Philippe Berry, Pourquoi l’homme affirmant avoir eu des relations sexuelles avec Barack Obama n’est pas crédible, 20minutes.fr, 7 septembre 2023
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- (en) Site officiel
- Ressources relatives à la vie publique :
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à la musique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :