Tucker Max
Tucker Max est un blogueur, écrivain et producteur américain né le .
Naissance |
Atlanta, Géorgie, États-Unis |
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Activité principale |
Écrivain, blogueur, producteur |
Langue d’écriture | Anglais |
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Genres |
Œuvres principales
Biographie
modifierTucker Max naît le à Atlanta, en Géorgie mais grandit à Lexington, dans le Kentucky. En 2000, alors étudiant à la Duke Law School (en) (dont il est diplômé en 2001[2]), il lance son site web, www.TuckerMax.com, à la suite d'un pari. Il y décrit son quotidien fait de beuveries et d'aventures sexuelles sous la forme de nouvelles et son site a reçu plusieurs millions de visiteurs[3],[4],[5].
En 2001, il publie le livre The Definitive Book of Pick-Up Lines, puis Belligerence and Debauchery: The Tucker Max Stories en 2003. En 2006, il publie I Hope They Serve Beer in Hell qui devient un best-seller, apparaissant notamment dans la New York Times Best Seller list chaque année entre 2006 et 2011[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12]. Plus d'un million d'exemplaires ont été vendues dans le monde, dont 400 000 pour la seule année 2009[13],[14]. Le livre est par la suite adapté en film sous le titre Tucker Max : Histoires d'un serial fucker (I Hope They Serve Beer in Hell) ; Tucker Max en est un des scénaristes et producteurs. Le film reçoit des critiques plutôt négatives[15] et plusieurs critiques le considèrent même comme un des pires films de l'année[16],[17],[18].
En 2009, il fait partie des finalistes sélectionnés par les internautes du Time 100 mais n'apparaît pas dans la liste du magazine[19],[20].
Il publie ensuite Assholes Finish First (2010), Hilarity Ensues et Sloppy Seconds: The Tucker Max Leftovers (2012).
Fratire
modifierMax est considéré, avec Maddox, comme le fondateur du genre littéraire fratire[21]. Le terme a été créé par le journaliste du The New York Times Warren St. John en 2006 en référence aux fraternités nord-américaines[22]. Ce genre se caractérise par les thèmes masculins qu'il aborde et peut être considéré comme l'équivalent masculin de la chick lit[22],[23]. Néanmoins, Max n'apprécie pas le terme, n'ayant, à l'instar de Maddox, jamais fait partie d'une fraternité[24].
Œuvre
modifierLivres
modifier- The Definitive Book of Pick-Up Lines (2001)
- Belligerence and Debauchery: The Tucker Max Stories (2003)
- I Hope They Serve Beer in Hell (2006)
- Assholes Finish First (2010)
- Hilarity Ensues (2012)
- Sloppy Seconds: The Tucker Max Leftovers (2012)
Film
modifier- Tucker Max : Histoires d'un serial fucker (2009) - co-scénariste et producteur
Références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Tucker Max » (voir la liste des auteurs).
- « Tucker Max date of birth »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- « Biography and Press Kit », TuckerMax.com (consulté le )
- Darko to Serve Max's Beer Variety. "Richard, Ted and I all appreciated Tucker's gonzo style of writing in his book", Tatiana Siegel, June 10, 2008.
- "Three in the Can for Beer in Hell", Hollywood Reporter, July 8, 2008.
- Profile in Variety
- New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction, February 5, 2006
- New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction 5/7/07
- NYT Bestseller List Paperback Nonfiction, April 13, 2008.
- New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction, January 2, 2009.
- New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction 1/1/10
- New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction 11/08/09
- New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction, April 10, 2011.
- Chris Lee, « Tucker Max in a 'Hell' of his own making », sur Los Angeles Times, (consulté le )
- « Facts & Figures 2009 Revised », Publishers Weekly, (lire en ligne)
- « I Hope They Serve Beer in Hell », Rotten Tomatoes (consulté le )
- The ten worst movie moments in 2009. « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
- The worst movies of 2009? A little help, please
- « 12 Awful Movies of the Last Decade », Chicago Tribune, (lire en ligne)
- Time Magazine profile of Tucker Max
- "The Los Angeles Times Tucker Max in a 'Hell' of his own making", Los Angeles Times, September 20, 2009.
- « I Hope They Serve Beer in Hell's Tucker Max Talks With Philly2Philly.com », Philly2Philly (consulté en )
- Warren St. John, « Dude, Here's My Book », New York Times, (lire en ligne, consulté le )
- James Harkin, « The return of the real man »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Financial Times, (consulté le )
- Tucker Max, « Pass the beer: in defense of "fratire" », sur www.tuckermax.com, (consulté le )
Liens externes
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- Ressource relative à l'audiovisuel :