Union des écrivaines et des écrivains québécois

syndicat professionnel d'écrivaines et d'écrivains

L’Union des écrivaines et des écrivains québécois ou UNEQ est un syndicat professionnel et une association professionnelle reconnue qui regroupe 1 600 écrivains au Québec.

Union des écrivaines et des écrivains québécois
Histoire
Fondation
Cadre
Sigle
UNEQVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Pays
Organisation
Effectif
8 employés ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs
Directrice
Geneviève Lauzon (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web

Bref historique

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Fondation de l'UNEQ

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L'écrivain Jacques Godbout, appuyé par Hubert Aquin, Jacques Brault, André Major et Pierre Morency, est à l'origine de l'UNEQ[1]. Ils formaient le comité provisoire en charge de préparer la création de l'union[2]. Les bases ont été jetées lors de la Cinquième Rencontre internationale québécoise des écrivains, un colloque organisé par la revue Liberté en 1976[3],[2].

L'Union des écrivains québécois, association non partisane, est fondée le lundi par une cinquantaine d'écrivains lors de la première assemblée des membres qui se déroule à la Maison Duvernay (82 rue Sherbrooke ouest, Montréal)[4],[5],[2]. Au moment de sa fondation, l'Union des écrivains québécois est formée de 77 membres en règle[6]. Le premier exécutif élu est formé de Jacques Godbout, Nicole Brossard, Marcel Godin, André Major et Pierre Morency[1].

Dès la première année d'existence de l'UNEQ, trois comités de travail sont mis en place: un premier sur le droit d'auteur, un second visant à promouvoir littérature dans l'espace médiatique nationale et un troisième qui explore la promotion de la lecture et des oeuvres littéraires au sein des institutions d'enseignement[1]. L'UNEQ se donne donc pour mandat la promotion et la diffusion de la littérature québécoise ainsi que la défense des droits sociaux et économiques des professionnels de la littérature. L'un des objectifs premiers de l'association est de faire reconnaître les droits des écrivains québécois, notamment en proposant un contrat-type à ses membres[7],[1]. À cela s'ajoute: l'établissement d'un secrétariat permanent; la représentation du membrariat auprès des éditeurs; une offre de services juridiques; une relation suivi avec les acteurs de l'écosystème économique et symbolique du livre (librairies, médias, associations d'auteurs, écoles et universités); la création et la valorisation d'opportunités d'échanges professionnels aux plans local et international; la création et la gestion de dons et de fonds d'urgence[2].

Reconnaissance gouvernementale

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L'UNEQ a été fondée sous la Loi des syndicats professionnels du Québec[8]. Avec l'adoption, à la fin de l'année 1988, de la Loi sur le statut professionnel des artistes des arts visuels, des métiers d'art et de la littérature et sur leurs contrats avec les diffuseurs (Loi 78), les auteurs et autrices obtiennent une reconnaissance au plan juridique[9],[10]. En 1989, le ministère du Revenu reconnaît officiellement le statut d'organisme à vocation artistique de l'UNEQ[11]. L'Union est, depuis, reconnue comme association représentative des artistes de la littérature en vertu de la Loi québécoise sur le statut de l'artiste lui permettant de négocier des accords-cadres précisant les conditions d'embauche des travailleurs autonomes dans le domaine de la littérature[12],[13].

Liens associatifs et affiliation syndicale

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L'UNEQ est membre de la Coalition pour la diversité des expressions culturelles[14]. En date du 4 mai 2024, les membres de l'UNEQ ont voté en faveur d'une affiliation à la FNCC-CSN (Front national des communications et de la culture de la Confédération des syndicats nationaux)[15].

Défense des droits socio-économiques des auteurs et autrices

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Fonds de secours Yves-Thériault

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En 1982, à la suite de l'absence d'attribution du Prix Jean-Béraud-Molson, dans le cadre de la cinquième édition du Salon du livre de Montréal, Louis-Philippe Hébert (écrivain), l'un des jurés, suggère la création d'un fonds de secours pour les écrivains[16],[17].

Soutien juridique

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En 1983, l'UNEQ offre à ses membres un nouveau service, à savoir la couverture des frais d'une première consultation juridique dans le cas d'un litige avec un éditeur[18].

Vers une refonte de la Loi sur le droit d'auteur

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D'abord favorables à une telle idée, l'UNEQ et le Centre d'essai des auteurs dramatiques (CEAD) s'unissent pour dénoncer la mise sur pied d'une société de gestion des droits d'auteur par le Gouvernement du Québec, une annonce faite sans la concertation avec des acteurs du milieu littéraire[19]. D'autres organismes, dont l'Association des traducteurs littéraires et Intermède musique, se joignent à l'UNEQ et au CEAD pour former le Regroupement pour la perception des droits d'auteur. Celui-ci s'oppose à l'attribution d'une subvention gouvernementale à la Société de gestion des droits d'auteurs (SGDA) qui ne représenterait pas, selon l'UNEQ, l'ensemble des secteurs de la création culturelle et souhaite que le milieu de la création soit justement représentée[20]. Sur fond de désaccords et malgré un protocole de collaboration les liant depuis 1981, l'UNEQ coupe les liens avec la SGDA[21].

De façon parallèle, au mois de mars 1982, la Conférence des associations de créateurs et créatrices du Québec à laquelle l'UNEQ se lie prenait forme. En décembre 1982, la Conférence dépose un mémoire dont l'objectif premier est la reconnaissance du droit des créateurs à bénéficier de leurs activités artistiques et de leurs oeuvres, le tout en vue d'une refonte de la Loi sur le droit d'auteur remontant à 1924. Une trentaine de recommandations sont faites dans ce contexte, dont la fin des licences non volontaires, la pleine liberté d'exploitation d'une oeuvre par son auteur et la mise en place d'un tribunal relatif au droit d'auteur[22]. Les membres de la Conférence demandent que les termes utilisés dans la formulation d'une nouvelle loi soient suffisamment flexibles pour inclure des développements technologiques futurs pouvant avoir un impact sur le secteur culturel[23].

Reprographie, prêts en bibliothèque et création de Copibec

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En 1984, l'UNEQ conclut une entente avec le Ministère de l'Éducation du Québec quant à l'attribution de droits de reprographie au secteur de l'enseignement[24]. Ces licences s'appliquent alors aux institutions gouvernementales et au secteur privé[25],[26]. Les versements relatifs aux droits de reprographie sont versés pour la première fois en 1985[11]. En 1989, une nouvelle entente intervient entre l'UNEQ et la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ). Les enseignants des vingt établissements signataires, qui s'engagent à remplir des formulaires de contrôle, n'ont plus à obtenir d'autorisation préalable des titulaires des droits des oeuvres photocopiées et ces copies ne peuvent représenter plus de 25 pages ou 10% de l'oeuvre. Cette entente est valide jusqu'au 30 juin 1993[27].

En 1987, les premiers paiements sont émis aux auteurs et autrices dans le cadre du programme de prêts entre bibliothèques[11].

En 1997, l'UNEQ et l'Association nationale des éditeurs de livres s'entendent afin de créer Copibec, une société de gestion collective des droits de reproduction[28].

Valorisation de la littérature québécoise

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Fondation Lire pour réussir

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En 1979, les administrateurs de l'Union des écrivains québécois créent La Fondation Gabrielle Roy qui reste cependant inactive[29].

Publications

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Dans le cadre de son mandat de valorisation, une première publication de l'UNEQ, visant à faire la promotion des écrivaines et écrivains membres et la familiarisation du public lecteur avec ceux-ci, est lancée en 1979. Le Petit dictionnaire des écrivains comporte des photographies ainsi que des notices biographiques et bibliographiques à propos des 214 membres de l'époque[30],[31]. En 1983, l'UNEQ fait paraître, aux éditions Québec Amérique, le Dictionnaire des écrivains québécois contemporains (1970-1982). L'ouvrage, principalement assuré par Yves Légaré, propose environ 700 fiches d'auteurs et d'autrices comportant des notices biobibliographiques, des mentions d'études et des illustrations[32].

Avec pour objectif de faire connaître le secteur littéraire aux auteurs et autrices voulant s'engager dans une carrière littéraire, l'UNEQ publie en 1981 une première édition du livre Le métier d'écrivain: guide pratique pour ceux et celles qui veulent vivre de leur plume au Québec. Cet ouvrage détaille l'importance du contrat avec l'éditeur et les éléments qui devraient y figurer, liste les associations existantes qui permettent de soutenir les auteurs et autrices, des maisons d'éditions et des périodiques, des prix littéraires auquel ces derniers peuvent soumettre leur candidature, des médias écrit et parlés susceptibles de promouvoir leur travail ainsi que les dispositions fiscales à prévoir[33],[34],[35]. L'ouvrage est mis à jour et réédité en 1988 et en 1995[36].

En 1988, aux Éditions de l'Hexagone, l'UNEQ fait paraître le collectif Montréal des écrivains qui rassemble les textes de 43 auteurs et autrices (poètes, romanciers, linguistes et historiens) qui témoignent à leur manière de la métropole et de son caractère littéraire[37].

Des rencontres avec les écrivaines et les écrivains

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En 1981, avec la collaboration de l'organisme Communication-Jeunesse, l'UNEQ met en place un programme de rencontres avec des autrices et auteurs à destination des jeunes du primaire et du secondaire[11].

Prix littéraires

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En 1980, en collaboration avec le Journal de Montréal, l'UNEQ crée les Prix littéraires du Journal de Montréal[38]. La première cérémonie de remise des prix se déroule dans le cadre du Salon du livre de Montréal[39]. Le Grand Prix littéraire du Journal de Montréal est décerné à l'écrivain, traducteur, journaliste et éditeur Michel Beaulieu pour le premier tome de Dessins, une rétrospective de son oeuvre publiée aux Éditions de l'Hexagone. Le prix des jeunes auteurs est quant à lui attribué à Yolande Villemaire pour son livre La vie en rose, publié aux éditions Les Herbes rouges.

En 1983, la brasserie Molson, l'Académie des lettres du Québec et l'UNEQ s'associent pour créer le Prix Molson du roman de l'Académie des lettres du Québec[38],[40],[41]. Le premier lauréat du prix est Jacques Folch-Ribas pour son roman Le valet de plume, publié aux éditions Acropole[42].

Programme de parrainage

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En 1991, l'UNEQ met sur pied un programme de parrainage permettant à des jeunes auteurs d'être soutenus dans leur processus d'écriture par un auteur professionnel[43].

Le Festival international de la littérature

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En 1994, l'UNEQ présente une première édition du Festival de la littérature qui deviendra plus tard le Festival international de la littérature (FIL). L'UNEQ coordonne l'événement durant dix ans,. offrant ainsi un espace à la littérature qui ne se déroule pas en contexte scolaire ou en bibliothèque. À partir de 2005, le FIL devient pleinement autonome[11],[44].

La Maison des écrivains

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À l'automne 1992, l'UNEQ ouvre officiellement la Maison des écrivains, sise au 3492, avenue Laval (Carré Saint-Louis) à Montréal. L'acquisition de la propriété, en 1990, est rendu possible par un soutien financier de la Ville de Montréal[45],[46]. Elle sert notamment de lieu rencontre et de transit pour les écrivaines et écrivains de passage provenant, notamment, de régions éloignées. On y trouve les bureaux des employés, des aires dédiées aux rencontres de toutes sortes (animations, festivités, réunions) ainsi qu'un centre de documentation au sous-sol[24]. Le Secrétariat de l'UNEQ était auparavant situé au 964 rue Cherrier à Montréal[7].

Bourse Jean-Pierre Guay – Caisse Desjardins de la Culture

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En 2013, l'UNEQ crée la bourse Jean-Pierre Guay nommée en hommage à l'ancien président de l'UNEQ (décédé en 2011). Elle vise à soutenir des projets d'écriture sur le point d'être complétés[47]. La bourse d'un montant de 3000$ est attribuée pour la première fois à l'auteur Jonathan Harnois[48].

Notes et références

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  1. a b c et d Jean Royer, « Jacques Godbout: "Que l'écrivain occupe un espace normal" », Le Soleil,‎ , p. D5 (lire en ligne [PDF])
  2. a b c et d Angèle Dagenais, « Les écrivains s'organisent », Le Devoir,‎ , p. 13 (lire en ligne Accès libre)
  3. Clément Trudel, « L'Union des écrivains québécois. Le "voilier" va prendre la mer... », Le Devoir,‎ , p. 7 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  4. Serge-André Guay, Québec - Le monde du livre et ses coulisses: Guide pratique et critique, Fond. litté. Fleur de Lys, , 361 p. (ISBN 9782896124879, lire en ligne), p. 132
  5. « Assemblée des membres », Le Jour, Ville Saint-Laurent, SODEP,‎ , p. 33 (lire en ligne [PDF])
  6. Conrad Bernier, « Un syndicat professionnel pour les écrivains québécois », La Presse,‎ , A12 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  7. a et b « L'Union des écrivains a un an », Le Devoir,‎ , p. 19 (lire en ligne [PDF])
  8. (en-CA) David Homel, « Representing writers: coping by committee or playing power politics? », Quill & Quire,‎ , p. 1
  9. Gilles Arteau, « Assemblée nationale », Inter : art actuel, no 43,‎ , p. 11–19 (ISSN 0825-8708 et 1923-2764, lire en ligne, consulté le )
  10. Jean-V. Dufresne, « Il aura fallu 30 ans », Le Devoir,‎
  11. a b c d et e Isabelle Beaulieu, « UNEQ. À la défense de l’écrivain québécois », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 165,‎ , p. 16 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  12. Agence QMI, « Projet de loi 35: les écrivains et écrivaines du Québec applaudissent », sur Le Journal de Montréal, (consulté le )
  13. « Liste des associations d'artistes et des associations de producteurs reconnues », sur Tribunal administratif du travail (consulté le )
  14. « Membres », sur CDEC, (consulté le )
  15. « Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) », sur CSN – Confédération des syndicats nationaux, (consulté le )
  16. Réginald Martel, « Au Salon du livre de Montréal. Un départ cahoteux », La Presse,‎ , p. C1 (lire en ligne [PDF])
  17. Réginald Martel, « Pour écrivains nécessiteux », La Presse,‎ , A10 (lire en ligne [PDF])
  18. Madeleine Ouellette-Michalska, « La vie littéraire », Le Devoir,‎ , p. 20 (lire en ligne [PDF])
  19. Régis Tremblay, « Le fait divers mène aussi à l'Histoire », Le Soleil,‎ , B-8 (lire en ligne [PDF])
  20. Jean-Guy Martin, « Le Regroupement pour la perception des droits d'auteur dénonce la Société de gestion des droits d'auteurs », Journal de Montréal,‎ , p. 45
  21. Clément Trudel, « L'Union des écrivains du Québec rompt les ponts avec la SGDA », Le Devoir,‎ , p. 6 (lire en ligne [PDF])
  22. « Les auteurs défendent leurs droits », Le Devoir,‎ , p. 13 (lire en ligne)
  23. Pierre Roberge, « Une nouvelle loi devra tenir compte du bénéfice au travail », La Presse,‎ , A13 (lire en ligne [PDF])
  24. a et b Jacques Therrien, « La Maison des écrivains, une expérience fructueuse », Le Devoir,‎ 6 et 7 novembre 1993, p. D24 (lire en ligne [PDF])
  25. Mireille Simard, « Les droits d'auteur: $500,000 à vau-l'eau? », Le Devoir,‎ , p. 18 (lire en ligne [PDF])
  26. Paul Cauchon, « La Société de gestion des droits d'auteur ferme ses portes », Le Devoir,‎ , p. 9 (lire en ligne [PDF])
  27. Françoise Lafleur, « Bon à tirer pour les photocopieuses », Le Devoir,‎ , p. D-2 (lire en ligne [PDF])
  28. « COPIBEC: une société pour la gestion des droits de reproduction », La Presse,‎ , E1 (lire en ligne [PDF])
  29. Gazette officielle du Québec. Québec Official Gazette, 111e année, , 16e éd. (ISSN 0703-5756, lire en ligne), p. 4398
  30. Louis-Guy Lemieux, « La clef pour l'Union des écrivains », Le Soleil,‎ , p. D5 (lire en ligne [PDF])
  31. Michèle Hudon, « Union des écrivains québécois. Petit dictionnaire des écrivains. Montréal, Union des écrivains québécois, 1979 », Documentation et bibliothèques, vol. 26, no 1,‎ , p. 55–56 (ISSN 0315-2340 et 2291-8949, DOI 10.7202/1054270ar, lire en ligne, consulté le )
  32. « Nouveautés », Québec français, no 51,‎ , p. 12–23 (ISSN 0316-2052 et 1923-5119, lire en ligne, consulté le )
  33. « Le métier d'écrivain. Pas toujours facile de nos jours », La Nouvelle de Sherbrooke,‎ , p. 31
  34. Jacques Gauthier, « Un guide pour les écrivains en devenir », L'informateur catholique,‎
  35. Régis Tremblay, « Vivre de sa plume... même au Québec! », Le Soleil,‎ , E-12 (lire en ligne [PDF])
  36. Claude Paradis, « Serions-nous une nation d'écrivains? », Le Devoir,‎ , p. D-6 (lire en ligne)
  37. Michel Lord, « L’urbanité Montréalaise / Montréal des écrivains, collectif préparé par l’UNEQ sous la direction de Louise Dupré, Bruno Roy et France Théoret, Montréal, l’Hexagone et l’Union des écrivains québécois, 1988, 222 p. (Coll. Typo fiction). », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 53,‎ , p. 68–69 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  38. a et b « Prix littéraires pour oeuvres de langue française », sur www.thecanadianencyclopedia.ca (consulté le )
  39. Clément Trudel, « Un Salon pour tous les goûts », Le Devoir,‎ , p. 1 et 12 (lire en ligne [PDF])
  40. Prix littéraires du Québec : Répertoire 1995, Gouvernement du Québec, , 174 p. (ISBN 2-550-24540-7), p. 135
  41. Jean Royer, « La vie littéraire », Le Devoir,‎ , p. 12 (lire en ligne [PDF])
  42. Madeleine Ouellette-Michalska, « Le rythme de la corrida », Le Devoir,‎ , p. 18 (lire en ligne [PDF])
  43. Marie-Sissi Labrèche, « Le programme de parrainage de l'UNEQ. Prête-moi ta plume », Montréal Campus,‎ , p. 16
  44. Benoit Valois-Nadeau, « Un festival et son âme », sur Revue Les libraires, (consulté le )
  45. André Duchesne, « Lieux littéraires: La Maison des écrivains », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  46. « Dits et faits », Lettres québécoises, no 67,‎ , p. 56 (lire en ligne [PDF])
  47. Les libraires, « Bourse Jean-Pierre-Guay », sur Revue Les libraires, (consulté le )
  48. Les libraires, « La Bourse Jean-Pierre-Guay à Jonathan Harnois », sur Revue Les libraires, (consulté le )

Voir aussi

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Liens externes

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