Utilisateur:Adam Bross/BrouillonEAU
Historique des responsabilités
modifierSi la loi du 19 mars 1946 a fait de la Guadeloupe un département français, la gestion locale est assurée par les préfets, sans que les élus locaux soient associés aux décisions. À partir de 1958, une section locale du FIDOM[N 1] est en charge de l'eau[1].
Notes et références
modifierNotes
modifier- Le FIDOM (Fonds d'investissement des départements d'outre-mer) est une branche du Fonds d'investissement pour le développement économique et social.
Références
modifier- Léo Elisabeth, « Départementalisation adaptée 1958-1960 : « une espèce d'autonomie » », Outre-mers, t. 97, nos 368-369, 2e semestre 2010, p. 75-96 (DOI 10.3406/outre.2010.4490
).
Sources
modifier- Léo Elisabeth, « Départementalisation adaptée 1958-1960 : « une espèce d'autonomie » », Outre-mers, t. 97, nos 368-369, 2e semestre 2010, p. 75-96 (DOI 10.3406/outre.2010.4490
).
- Patrick Roger, « L’Assemblée nationale saisie de la gestion de l’eau en Guadeloupe », Le Monde, (lire en ligne).
- Béatrice Gurrey, « L'accord signé en Guadeloupe met fin à 44 jours de grève », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ). —→ eau et les questions LKP
- « Rapport fait au nom de la commission d'enquête relative à la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés et ses conséquences » [PDF], sur assemblee-nationale.fr
- Marion Lecas, « En Guadeloupe, le scandale de l’eau est un désastre écologique », Reporterre, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre-Henri Lab, « Guadeloupe. À Gourbeyre, les habitants se mobilisent pour l’accès à l’eau », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ).
- Marion Lecas, « En Guadeloupe, l’eau potable à la source des colères », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- BRGM
- france info
- sciences et avenir
- audit
- audit 2018
- lien