Utilisateur:Alphos/En cours/Tarn-et-Garonne

  • Angeville
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  • Auvillar
    • Alors qu'il était enfant, Marcabrun fut abandonné à la porte d'un riche qui prit en charge de le faire élever. Il demeura ensuite avec un troubadour nommé Cercamon, et c'est à son contact qu'il se mit à chanter. Marcabrun débute comme jongleur professionnel et vers 1140, sa renommée commence à croître. Il s'adonne ensuite à l'écriture et se révèle comme étant un poète très doué. On le compte donc aujourd'hui parmi les troubadours. Il est l'auteur de la plus ancienne pastourelle que nous connaissions. (536)
    • Marcabrun est né vers 1100 à Auvillar, ce troubadour enchanta les cours de France et de Castille. Surtout grâce à un «tube», célèbre dans les années quarante (du XIIe siècle) et intitulé «le chant du lavoir», dont l’air et les paroles sont une exhortation à partir en croisade. (297)
    • Jean-Baptiste de Bressolles de Sisce, né le 23 décembre 1753 à Auvillar, mort le 30 novembre 1838 à Auvillar également, était un général de brigade français, qui servit sous la Révolution et l'Empire. (210)
    • * Guillaume de Contenson ou Contensous : (41)
    • Né à Auvillar le 13 janvier 1641 de Jean de Contenson, docteur en droit, lieutenant en la juridiction royale d'Auvillar et de Perrette Vilatte, fille d'un consul d'Auvillar, il était neveu de Philippe de Contenson, prévôt du chapitre de Montauban et vicaire-général de Jean de Berlier, évêque de cette ville. En 1655, il entre comme novice chez les Dominicains du couvent de Montauban et, deux ans plus tard, fait profession à Toulouse. A 24 ans, il est professeur de philosophie à Albi, puis à Toulouse, enfin à Paris. Prédicateur de grand renom, il prêche avec succès à Toulouse, Rennes, Bordeaux, Beauvais. Epuisé par tous ses travaux, il meurt le 26 décembre 1674, à 33 ans, à Creil, dans l'Oise, où il venait de prêcher l'Avent et où ses supérieurs l'avaient envoyé se reposer. Il a son tombeau dans l'église de Creil. (942)
    • Il reste de Contenson un seul ouvrage : Theologia mentis et cordis, en deux gros in-folio, théologie affective contenant des méditations de pensée très élevée, mais de doctrine rigoriste <ref>Sources : Abbé Paul Lasserre en 1947</ref>. (258)
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  • Brassac (Tarn-et-Garonne)
    • Le chanteur de charme André CLAVEAU y est mort en 2003. Il y est inhumé. (74)
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  • Bressols
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  • Caylus (Tarn-et-Garonne)
    • Le village constituait un fief possédé successivement par plusieurs familles. Ont porté un titre faisant référence à ce fief : (132)
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  • Espinas
    • La famille des comtes de Cas se réclame d'une origine carolingienne. (69)
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  • Grisolles (Tarn-et-Garonne)
    • * Jean Dargaties (1872-1965), champion cycliste du début du siècle, participa aux Tours de France de 1903 et 1904, finissant 11e pour le premier et 4e pour le second. Surnommé "Hercule le forgeron de Grisolles" ou encore "Le Gaulois", il se classa deuxième d'un Bordeaux/Paris. (article manquant)
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  • Lafrançaise
    • * Louis Pernon : Né le 22 août 1772 à Saint-Maurice - Décédé le 7 octobre 1843 au Saula. (104)
    • Fils de Joseph Pernon et de Jeanne Lafitan, ce célibataire sans enfant était de confession protestante. Riche propriétaire foncier, philanthrope, homme tolérant et libéral, il donna une grande partie de ses biens aux pauvres. (235)
    • En effet, il partagea ses biens entre les membres de sa famille, sans distinction de religion, l’hôpital de Montauban et les pauvres de la commune de Lafrançaise. Ses biens immobiliers sont acceptés par le conseil municipal le 10 décembre 1843. La municipalité le désigne alors comme bienfaiteur. (309)
    • Mais son testament est très contesté par ses héritiers directs. Une longue série de procès et de nombreuses intrigues ont dilapidé une grande partie de ses biens. Les pauvres n’ont quasiment pas profité des dons de ce généreux donateur. Cela n’enlève en rien le beau geste de ce bienfaiteur. Il repose aujourd’hui au cimetière de Lafrançaise où une plaque commémorative rappelle son geste désintéressé. Enfin, une rue porte toujours son nom. (472)
    • * Mary Lafon : Né le 26 juin 1810 à Lafrançaise – Décédé le 14 juin 1884 en Haute-Garonne. (article manquant)
    • Jean-Bernard Lafon dit Mary Lafon était un fils de médecin. Après des études supérieures, il s’installa à Paris en 1830. (132)
    • Homme politique et surtout homme de lettres, historien et romancier, il laisse une œuvre importante dans la littérature française. Fervent défenseur de la langue d’Oc, il écrit des œuvres sur le Sud-Ouest comme Histoire politique, religieuse et littéraire du Midi de la France (1845), Histoire illustrée des principales villes de Rouergue (1859), Histoire de Bordeaux (1862) et Montauban (n.c). (425)
    • Grand voyageur, il va se passionner pour Rome et va écrire deux ouvrages qui sont des références à l’époque : Rome depuis sa fondation jusqu’à la chute de l’Empire (1853) et Rome depuis l’établissement du christianisme jusqu’à nos jours (1853). (266)
    • Il écrit également des pièces de théâtre notamment La Dame de Bourbon (1860) et Le chevalier de Pomponne (n.c). Cette pièce connaît un certain succès au théâtre de l’Odéon à Paris. Il écrit dans sa vie plus d’une quarantaine d’ouvrages. (260)
    • Il va également marquer la ville de Montauban. Il fut un ardent défenseur de la création d’une grande avenue à Montauban qui relie Villenouvelle à Villebourbon via le pont Vieux. Cette avenue porte encore son nom. Il se bat également pour le projet du pont des Consuls. (278)
    • A 57 ans, il épouse Nancy Bonhomme de 20 ans sa cadette au château de Beauséjour près de Montauban. De cette union réussie, il n’aura pas d’héritier. (159)
    • Les obsèques de Mary Lafon ont lieu à l’église Saint-Jacques de Montauban où un hommage solennel lui est rendu par les autorités militaires et civiles. (158)
    • Le 26 juin 1910, le centenaire de la naissance de Jean-Bernard Lafon est marqué à Lafrançaise par de grandes festivités. A cette occasion, la municipalité a mis une plaque commémorative toujours visible au 65 de la rue qui porte son nom. (243)
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  • Lauzerte
    • * Marcel Dalquié : ancien maire de Lauzerte, Premier Juge d'instruction à la cour de Paris, il a renové la place principale de Lauzerte. Une tour en ruine lui ayant appartenu porte encore aujourd'hui le nom de « tour Dalquié ». (article manquant)
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  • Meauzac
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  • Moissac
    • * Camille Delthil, maire, sénateur de Moissac. (article manquant)
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  • Montech
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  • Montgaillard (Tarn-et-Garonne)
    • Rubens de Montgaillard qui vivait dans la seconde moitié du XIIe siècle et est le premier seigneur dont le nom est parvenu jusqu’à nous fit plusieurs donations à l’abbaye de Grandselve ; Ses successeurs, autres seigneurs de Montgaillard, imitèrent son exemple. (277)
    • La famille Rubens de Montgaillard devait tenir un certain rang dans la noblesse de la contrée car nous voyons Rubens assister en 1164 à une donation faite par Raymond V, comte de Toulouse. (221)
    • Par Lettres patentes du 28 mars 1671 le roi Louis XIV érigea en marquisat la seigneurie de Montgaillard, avec incorporation des terres d'Esparsac, de la Grue, de Maumusson et de la moitié de la seigneurie de Lavit. Cette faveur fut accordée en récompense de la bravoure de Charles de Percin de Montgaillard, colonel du régiment de Champagne,qui, alors qu'il était lieutenant et commandant en second de la deuxième Compagnie des Mousquetaires du roi, avait eu un comportement héroïque notamment en juin 1658 à la célèbre bataille des Dunes et à la prise de la ville de Dunkerque. Ce nouveau marquisat appartenait en fait au frère aîné de Charles, à savoir Claude de Percin de Montgaillard, qui fut reçu par le roi à Saint-Germain-en-Laye le 16 juin 1671 sous le titre de Marquis de Percin. Début septembre 1675 les deux frères se trouvèrent mêlés en Bretagne à la révolte des "Bonnets rouges", connue sous le nom de "Révolte du papier timbré". En effet, Charles de Percin, marquis de Montgaillard, avait épousé dans le Finistère Renée-Mauricette de Ploeuc, marquise du Tymeur, et en août 1675 il se trouvait au château du Tymeur, où son frère, Claude, vint le rejoindre. C'est ce dernier qui dans le nuit du 2 septembre 1675 réussit à tuer d'un coup d'épée à travers la gorge Sébastien Le Balp, le chef des révoltés, lesquels, au nombre de 1200, campaient autour du château du Tymeur, qu'ils avaient commencé à piller. La mort de Sébastien Le Balp provoqua le désarroi chez les insurgés présents au Tymeur et mit fin à la révolte en Bretagne. Charles de Percin, marquis de Montgaillard, n'était pourtant pas hostile aux revendications des révoltés qui contestaient des impôts nouveaux, notamment une nouvelle taxe sur les papiers timbrés, et Sébastien Le Balp, leur chef, avait été le notaire de Renée-Mauricette de Ploeuc. Sébastien Le Balp espérait du reste convaincre le marquis de Montgaillard, homme de guerre, de prendre la tête des insurgés pour s'opposer aux troupes du duc de Chaulnes, qui venaient d'être envoyées en Bretagne pour mater la rebellion. (2220)
    • Charles de Percin était le fils de Pierre Paul de Percin, baron de Montgaillard, et de Françoise de Murviel qui s'étaient mariés en 1623 et lui même se maria en 1663 avec Renée Mauricette de Ploeuc. De cette union naquit un fils : Joseph Jean Marie qui décéda en 1703. Renée Mauricette de Ploeuc qui était la fille de Sébastien de Ploeuc, marquis de Tymeur (+ 1644) et de Marie de Rieux (+ 1628) s'était mariée en premières noces avec Donatien de Maillé, marquis de Caraman (+ 1652) dont elle eut un fils, Henri, décédé en 1715. (article manquant)
    • La famille de Percin avait acquis le château-fort de Montgaillard en 1566, mais elle possédait déjà depuis le XVe siècle les terres de Montgaillard. On a retrouvé des archives sur Bernard de Percin de Montgaillard dit "Le Petit Feuillant" qui était né en Gascogne en 1563 et se rendit célèbre par ses prédications et par le rôle important qu'il joua dans les affaires de la Ligue. (429)
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  • Saint-Antonin-Noble-Val
    • *Saint-Antonin-Noble-Val est le lieu de naissance du chevalier Raymond-Jourdain (XIIe siècle) de la famille des vicomtes de ce village. (155)
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  • Saint-Clair (Tarn-et-Garonne)
    • Jusqu'à il y a quelques années, sur le territoire de la commune habitait le Marquis de Raffin dans la propriété dominant la route. D'ailleurs dans le petit cimetiere situé juste en dessous de" cette propriété, quelques habitants de Dourny y sont enterrés. Après sa mort , la maison a été racheté par une New Yorkaise qui y vit toujours. (365)
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  • Saint-Nauphary
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  • Sainte-Juliette
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  • Vaïssac
    • * Gérard Brion, artiste,créateur du célèbre Petit-Paris. (60)
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  • Varen (Tarn-et-Garonne)
    • Jean-Jacques-Joseph Daudibutieres, maire de Varen (en fonction en 1809) (71)
    • Léon Poux, maire de Varen (1881-1972) (38)
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