Utilisateur:Arthuro38/Sous-page 1
Bibliographie modifier
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ouvrages historiques
- Philippe Rouillard, Les Fêtes chrétiennes en Occident, Le Cerf (ISBN 9782204071062, lire en ligne), p. 103-108.
- Daniel Marguerat, Les Actes des apôtres (1-12), Genève, Labor et Fides, , 448 p. (ISBN 978-2-8309-1229-6)
- Jean Chelini, Le calendrier chrétien : cadre de notre identité culturelle. Paris, Picard, 2007.
- Hélène Bénichon, Fêtes et calendriers. Les rythmes du temps, Paris 1992.
- Ouvrages théologiques
- Thomas J. Talley, Les origines de l’année liturgique. Paris, Cerf, 1990 (Liturgie 1).
- Arnaud Join-Lambert, "Quel sens pour les fêtes chrétiennes ?", in : Études n° 4123 (mars 2010) p. 355-364.
- Robert Le Gall, "Année liturgique et vie spirituelle", in : La Maison Dieu n° 195 (1993) p. 197-210
- Ouvrages encyclopédiques
- Alfons Weiser, Karl-Heinrich Bieritz, Henning Schröer, Petra Sevrugian: Pfingsten/Pfingstfest/Pfingstpredigt. In: Theologische Realenzyklopädie. Berlin 26.1996, S. 379–398. (ISBN 3-11-002218-4) (enzyklopädischer Überblick mit weiterer Literatur)
Sources bibliques modifier
Modèle:Loupe:Nouveau Testament Les principaux textes dans le Nouveau Testament relatifs à la réflexion christologique sont les suivants:
- Le prologue de l'Évangile selon Jean;
- Les épîtres de Paul et surtout la Première lettre aux Corinthiens (chapitre 1, 22-25) portant sur la thématique de la "folie de la croix";
Les rédacteurs du Nouveau Testament se réfèrent néanmoins à de très nombreux textes dans l'Ancien Testament. Les principaux sont :
- Le récit de la Pâque (exode);
- Psaume 110;
- Le Livre de Daniel;
- Le Livre d'Esaïe et plus particulièrement
Titres attribués à Jésus modifier
Jésus est nommé de multiples façons dans le Nouveau Testament.
- Il est désigné comme « Christ » (du grec χριστός / christós, traduction de l'hébreu: מָשִׁיחַ - mashia'h, Messie, signifiant « l’oint [du Seigneur] ») avait une forte connotation politique et religieuse dans l'espérance messianique de cette époque. De son vivant, Jésus interdit à ses disciples de dire à quiconque qu'il fût le Messie[v 1].
- « Rabbi », ou le terme proche en araméen « Rabbouni »Erreur de référence : Balise fermante
</ref>
manquante pour la balise<ref>
,[1].
- On trouve également plusieurs fois l'expression "Fils de l’homme"
Elle se trouve précédemment dans la littérature hébraïque[v 2] pour signifier de manière emphatique « homme ». Dans les Évangiles, cette appellation peut aussi être comprise en référence à la vision du Livre de Daniel[v 3] où elle s’applique à celui à qui est donné le Royaume[v 4].
- On trouve également « Maître » au sens d'« enseignant », « Prophète », « Serviteur », « Juste », « Saint », « Fils de David », déjà employés pour des personnages de l'Ancien Testament, « Grand prêtre », « juge », « pasteur », « Rédempteur » ou encore « Sauveur ».
Objet de la christologie modifier
Les principaux thèmes de la christologie sont :
- La personne de Jésus : sa nature, sa relation à Dieu le Père, son caractère messianique;
- La crucifixion et la résurrection de Jésus.
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « v », mais aucune balise <references group="v"/>
correspondante n’a été trouvée
- Jn 19. 19, cf. Claude Tassin, « Jean-Baptiste et les baptistes », in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. 178.