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En octobre 2016, Eric Zemmour déclare éprouver du « respect » pour les djihadistes « prêts à mourir pour ce en quoi ils croient », et le 6 octobre, les médias réagissent à ses propos. Selon Arrêt sur images, les propos d'Eric Zemmour seraient probablement « passés inaperçus » sans un billet publié par Olivier Berruyer sur son blog "Les Crises". Arrêt sur Images note que quelques jours auparavant, Eric Zemmour avait déjà tenu des propos similaires mais « sans susciter une telle médiatisation ». Olivier Berruyer fait part sur son blog de l'histoire de cette médiatisation, qui aurait débuté avec un « re-tweet » de son billet par Henri Maler, fondateur d'Acrimed, puis par le journaliste Jean-Michel Aphatie[1][2].

Le 7 octobre 2016, Olivier Berruyer publie sur son blog un billet où il accuse Zemmour de « flirte[r] avec l'apologie du terrorisme ». Il rapporte les propos de Zemmour qui déclare éprouver du « respect » pour les djihadistes « prêts à mourir pour ce en quoi ils croient ». Selon Arrêt sur images, au fil de la journée les médias « s'emparent de la question », puis la justice va ouvrir une enquête préliminaire sur Zemmour. Arrêt sur Images note que quelques jours auparavant, Eric Zemmour avait déjà tenu des propos similaires mais « sans susciter une telle médiatisation ». Le lendemain, Olivier Berruyer revendique sur son blog la paternité de la polémique qui a émergé dans les médias la veille, déclarant que son billet a tout d'abord été « retweeté », notamment par Henri Maler, fondateur d'Acrimed, et le journaliste Jean-Michel Aphatie[3],[4].

  1. « Zemmour / apologie du terrorisme  : histoire d'une plainte », Arrêt sur images,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. « Attentats: Zemmour accusé d'apologie du terrorisme par les familles de victimes », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « Zemmour / apologie du terrorisme  : histoire d'une plainte », Arrêt sur images,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Attentats: Zemmour accusé d'apologie du terrorisme par les familles de victimes », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )