Utilisateur:Bombastus/Jaime

Titre correct : « Pour le plaisir des yeux et des oreilles ».

En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre n’a pu être restituée correctement.

Quelques films que j'aime modifier

Casablanca (1942): A Casablanca pendant la seconde guerre mondiale, Rick Blaine (Humphrey Bogart) et Ilsa Lund (Ingrid Bergman) se retrouvent et vont devoir choisir entre l'amour et le devoir
Breakfast at Tiffany's, comédie légère de 1961 réalisée par Blake Edwards et inspirée d'un roman de Truman Capote; Audrey Hepburn, jeune femme fantasque et qui vit de ses charmes n'a qu'une passion: Tiffany's..
Noblesse oblige, comédie anglaise jubilatoire de 1949 où l'héritier au titre de Duc d'Ascoynes se met en tête d'éliminer tous ceux qui le précèdent dans l'ordre de succession au titre
The Apartment, une comédie de 1960 par Billy Wilder; Quand on prête son appartement à ses chefs pour leurs aventures, tomber amoureux de la maitresse est déconseillé..
Ninotchka, une féroce satire anti-communiste d'Ernst Lubitsch (1939) avec Greta Garbo pour sa première comédie
Le Guépard, les tourments de l'aristocratie sicilienne dans l'unification italienne adaptés fidèment par Luchino Visconti en 1963 d'après le roman de Lampedusa

Charade, Audrey Hepburn et Cary Grant réunis en 1963 derrière la caméra de Stanley Donen au milieu d'une ténébreuse affaire d'espions et de bandits
The Fountainhead, un film de 1949 réalisé par King Vidor en adaptation d'un roman d'Ayn Rand sur l'individu et le collectif
Douze hommes en colère (1957), douze jurés doivent trancher sur la culpabilité d'un homme. Onze le croyent coupables mais l'un en doute..
Monty Python and the Holy Grail, les Monty Python s'en donnent à coeur joie en 1975 en reprenant la légende du Graal à la sauce anglaise..
Out of Africa, superbe saga africaine réunissant Meryl Streep et Robert Redford dans le Kenya de la première guerre mondiale.
Le port de l'angoisse, la rencontre d'Humphrey Bogart et de Lauren Bacall à Fort de France avec la réplique inoubliable Anybody got a match?
Barry Lyndon ou l'ascension et la chute d'un arriviste dans un film à l'esthétique remarquable réalisé par Kubrick en 1975

La Marche au supplice, dans la Symphonie fantastique d'Hector Berlioz
Morgenstimmung et In der Halle des Bergkönigs de la suite N°1 de Peer Gynt par Edvard Grieg
Les Suites françaises et surtout anglaises (Prélude et courante) de Bach
Les Sonates au clair de lune (Premier mouvement) et pathétique de Beethoven
La bande son de Barry Lyndon, avec une tendresse particulière pour la danse allemande N°1 de Schubert et la Sarabande d'Haëndel
Les variations de Chopin sur le thème de Là ci darem la mano
Le moderato du Concerto pour piano n° 2 de Rachmaninov
La polonaise d'Eugène Onéguine (Tchaïkovski)
Du même auteur, le Concerto pour piano n° 1, en particulier le premier mouvement
Má Vlast de Bedřich Smetana

Le Requiem de Mozart
Non più andrai, dans Les Noces de Figaro de Mozart
Dies Bildnis ist bezaubernd schön et bien sur O zittre nicht, mein lieber Sohn, dans La Flûte enchantée de Mozart
Salve Regina de Hasse
Le Stabat Mater de Pergolese
Avec la garde montante, dans Carmen de Bizet
Tosca et Turandot de Giacomo Puccini
La barcarolle Belle nuit, Ô nuit d'amour des Contes d'Hoffmann
Juliette ou la Clé des Songes de Bohuslav Martinů

La bande son d'In the Mood for Love et tout particulièrement Aquellos Ojos Verdes et Quizás, quizás, quizás, interprétés par Nat King Cole
L-O-V-E et When I fall in love du même Nat King Cole
I put a spell on you et Nobody's fault but mine de Nina Simone
Send in the Clowns, par Benny Goodman
Cry me a river, par Ella Fitzgerald
Fly me to the moon et Strangers in the night, Frank Sinatra
As time goes by, en instrumental par Henry Mancini
Dance Me to the End of Love chanté par Madeleine Peyroux
Dos Gardenias par le Buena Vista Social Club
Guantanamera par Compay Segundo