Utilisateur:Catherine Tourangeau/Monique Vézina Brouillon

Monique Vézina
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Biographie
Naissance
(89 ans)
Rimouski
Nationalité
Canadienne
Activité
Femme politique, activiste, gestionnaire
Autres informations
Parti politique
Parti progressiste-conservateur du Canada
Membre de
Mouvement des dames Hélène-de-Champlain, Confédération des organismes familiaux du Québec, Union régionale des caisses populaires du Bas-Saint-Laurent, Confédération des caisses populaires et d'économie Desjardins, Régie de l'assurance automobile du Québec, Conseil supérieur de l'éducation, Commission des aînés et aînées, Commission nationale sur l'avenir du Québec, Mouvement national des Québécois

Monique Vézina

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Monique Vézina est une femme politique, activiste et gestionnaire québécoise. Des années 1960 aux années 2000, elle a oeuvré dans les domaines communautaire, coopératif et politique. Tant à titre de personnalité politique que de membre de la société civile, Monique Vézina a pris part aux projets qui ont marqué le développement socioéconomique du Québec contemporain.

Élue députée à la Chambre des communes du Canada sous la bannière progressiste-conservatrice en 1984, Monique Vézina est nommée à la tête de plusieurs ministères dans les années 1980 et au début des années 1990.

En 1993, elle quitte la vie politique fédérale et se tourne vers le mouvement souverainiste québécois. À la suite du référendum de 1995, elle devient présidente du Mouvement national des Québécois (1996-1998). Elle s'implique également dans toutes sortes de causes culturelles et sociales et préside la Conférence des peuples de langue française ainsi que le bureau québécois de l'Année internationale des personnes âgées[1].

Biographie

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Jeunesse et vie familiale

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Centre-ville de Rimouski

Monique Vézina nait le 13 juillet 1935 à Rimouski, dans le Bas-Saint-Laurent. Fille d'André-Albert Vézina et d'Éliane Lévesque, elle est la deuxième d'une famille de 12 enfants[2].

Après l'incendie qui ravage la ville de Rimouski au printemps 1950, Monique Vézina s'empresse de compléter ses études à l'école commerciale pour devenir secrétaire et ainsi contribuer aux finances familiales[3]. La jeune fille trouve notamment du travail à la Banque Royale. Bien que la grande majorité de la clientèle locale soit francophone, Monique Vézina doit travailler presque exclusivement en anglais. « Cette expérience a sûrement renforcé ma fibre nationaliste », confie-t-elle a posteriori[4].

Le 26 octobre 1957, âgée de 22 ans, la jeune femme épouse Jean-Yves Parent, un futur conseiller municipal. Le couple aura quatre enfants: Marie-Andrée, Marc, Michelle et Marie Claire.

Dans les décennies qui suivent son mariage, Monique Vézina se consacre corps et âme à l'éducation de ses enfants ainsi qu'au bien-être des femmes de sa région natale[5]. Au début des années 1960, en plein baby boom, elle participe à la mise sur pied de cours prénataux facilement accessibles, fait la promotion de l'allaitement maternel et organise des services de garde à domicile. Elle participe également à des comités d'école et joint des groupes d'action féminine. Elle joint ainsi la Confédération des organismes familiaux du Québec (COFAQ) ainsi que les Dames Hélène-de-Champlain, une association dédiée à la promotion des lettres québécoises dont Monique Vézina devient d'ailleurs la présidente nationale. En 1964, les Dames de Champlain fondent le Salon du livre de Rimouski, le premier en son genre au Québec[6]. « La plus grosse barrière à lever, c’était de reconnaître la capacité d’une femme à penser avec justesse et avec gros bon sens », dit-elle à propos de cette période de sa vie. « Partout, même lorsque je faisais de l’animation auprès des femmes, j’avais à faire la preuve qu’une femme pouvait avoir une responsabilité en dehors de la maison. »[7]

Cette fructueuse expérience associative, doublée de la ferme conviction que les femmes doivent prendre leur place dans l'espace public, mènera Monique Vézina à joindre le mouvement coopératif Desjardins dans les années 1970. Elle explique d'ailleurs son implication dans Desjardins par son adhésion aux valeurs du fondateur du mouvement:

« Je suis une fille de Desjardins [...] Les valeurs préconisées par Alphonse Desjardins me rejoignent beaucoup. Pour changer les choses qui ne nous conviennent pas, il faut identifier ses besoins et mettre en place les solutions appropriées. Nous devons aussi développer des forces collectives.[8] »

La gestionnaire

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Le mouvement coopératif

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Siège social de la Fédération des caisses Desjardins (Montréal)

Monique Vézina entre chez Desjardins en 1975 comme membre du conseil d'administration de l'Union régionale du Bas-Saint-Laurent. L'année suivante, elle est élue présidente de la Fédération des caisses du Bas-Saint-Laurent; elle devient alors la première femme à accéder à un poste de cette importance au sein du Mouvement Desjardins. Puis, en février 1977, elle joint le conseil d'administration et le comité exécutif de la Confédération des caisses populaires et d'économie Desjardins. Elle occupe ces fonctions jusqu'en 1984[9]. Entre 1981 et 1984, Monique Vézina est également présidente de la Fondation Girardin-Vaillancourt (l'actuelle Fondation Desjardins) et du conseil d'administration de l'Institut coopératif Desjardins (devenu le Centre de formation Desjardins).

Ces années d'expérience au sein du mouvement Desjardins sont marquantes pour Monique Vézina, qui apprend comment faire sa place dans un milieu toujours dominé par les hommes:

« Ce fut une expérience enrichissante, exigeante et difficile. Le milieu de la finance, il ne faut pas se le cacher, est un monde conservateur. J'étais la première femme à siéger au conseil et, en plus, j'arrivais fortement identifiée au créneau social. J'étais cependant déterminée à percer dans ce monde d'hommes. Quand on est la seule femme à une table décisionnelle, on se rend vite compte que notre opinion, surtout si elle va à l'encontre de la majorité, n'a pas le même poids que celle des hommes.[10] »

Les conseils d'administration

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En plus de s'illustrer au sein du Mouvement Desjardins, Monique Vézina se fait rapidement un nom comme administratrice au sein d'organes publics tels que la Régie de l'assurance automobile du Québec (qui devient la Société de l'assurance automobile du Québec en 1990) et le Conseil supérieur de l'éducation (CSE). À titre de membre du CSE, Monique Vézina a la charge de conseiller le ministre de l'Éducation sur toute question relative à l'éducation.

Le passage à la politique fédérale

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Députée de Rimouski-Témiscouata

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À l'invitation du chef du Parti progressiste-conservateur du Canada Brian Mulroney, et en dépit de ses convictions souverainistes, Monique Vézina accepte de se lancer en politique fédérale lors de l'élection générale de 1984. Élue à deux reprises, elle représente la circonscription de Rimouski-Témiscouata à la Chambre des communes entre 1984 et 1993.

La vie ministérielle

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Au cours de sa longue carrière politique, Monique Vézina dirige plusieurs ministères. Dès ses débuts comme députée, elle est nommée ministre des Relations extérieures et du Développement international (1984-1986). Au lendemain du rapatriement constitutionnel de 1982, alors que les tensions linguistiques sont vives à travers le Canada, elle est également chargée du dossier de la Francophonie (1984-1986)[11].

Monique Vézina obtient ensuite le poste de Receveur générale du Canada (1986-1990) ainsi que la charge des ministères des Approvisionnements et Services (1986-1993) et des Transports (1987-1988). Réélue par une majorité de 13 000 voix aux élections fédérales de 1988, elle est ensuite nommée ministre d'État à l'Emploi et de l'Immigration (1988-1993) et, enfin, ministre d'État au Troisième Âge (1993)[11].

À titre de ministre responsable de la Francophonie, Monique Vézina assure le travail de liaison qui mène à la tenue du premier Sommet de l'Organisation internationale de la francophonie à Versailles (1986) et du deuxième Sommet, à Québec (1987)[12].

Après deux mandats fructueux, Monique Vézina annonce son départ de la vie politique fédérale en avril 1993. Le parti progressiste-conservateur s'effondre aux élections suivantes[13].

Le retour à la vie civile

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Le référendum sur la souveraineté de 1995

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Résultats du référendum sur la souveraineté du Québec de 1995

Après son départ de la politique fédérale, Monique Vézina se consacre à la promotion de la souveraineté du Québec[14].

En décembre 1994, le premier ministre du Québec Jacques Parizeau dépose son avant-projet de loi sur la souveraineté du Québec à l'Assemblée nationale. En plus de définir le processus devant mener à la souveraineté, ce projet de loi annonce la création de « commissions régionales » qui auront pour tâche de sillonner le Québec afin de disséminer de l'information sur le projet souverainiste. Quelques semaines plus tard, Monique Vézina est nommée par le camp du Oui pour diriger les commissions régionales. Elle est épaulée dans ses fonction par Marcel Masse, ancien député aux niveaux provincial et fédéral[15].

À l'hiver 1995, Monique Vézina assume la présidence de la Commission nationale sur l'avenir du Québec commandée par le premier ministre Parizeau en prévision du référendum de l'automne. Aux mois de février et mars, la Commission tient une vaste consultation populaire qui rassemble plus de 55 000 citoyens et citoyennes de tous les coins du Québec. Au terme de la consultation, la Commission rassemble plus de 6 000 mémoires. Le 19 avril, la Commission dépose un rapport final de plus de 100 pages. Le rapport conclut que la souveraineté accompagnée d'une offre de partenariat économique serait l'option constitutionnelle la plus opportune[16].

En plus de présider la Commission nationale sur l'avenir du Québec, Monique Vézina obtient la charge d'une des dix-huit commissions itinérantes sur l'avenir du Québec: la Commission des aînées et des aînés sur l'avenir du Québec, qui remet son propre rapport en mars 1995[17].

Monique Vézina continue de s'impliquer pour le camp du oui tout au long de la campagne référendaire de 1995. Aux côtés d'illustres militantes comme l'ancienne présidente de la SSJBM Nicole Boudreau, de la présidente de la Centrale de l'enseignement du Québec (CEQ) Lorraine Pagé et de l'écrivaine Denise Boucher, elle prend notamment part à l'Opération Porte-Voix, une grande tournée de sensibilisation à la cause souverainiste organisée par les Partenaires pour la souveraineté. Le slogan de cette « caravane de la souveraineté » est des plus évocateurs: « Parler à voix haute au lieu de murmurer notre existence »[18].

Monique Vézina, qui décrit les femmes comme « l'espoir du Québec »[19], garde un souvenir indélébile de la mobilisation féminine dont elle est témoin à l'été et à l'automne 1995:

« En 1995, durant sept mois, j'ai sillonné le Québec. J'y ai entendu une nette volonté de changement. Des femmes, de tous âges et de toutes conditions, sont venues dire que le temps était venu de changer le monde, leur monde. Elles ont répété qu'elles étaient prêtes à conduire un changement structurel... Et j'ai reconnu cette nouvelle génération de patronnes, débordantes d'énergie et d'audace qui secoue les préjugés, dépasse les tabous et jette les bases de nouvelles relations interpersonnelles. Elles sont de plus en plus nombreuses dans différents secteurs, à tous les échelons, à mettre leur intelligence, leur compétence et leur jugement au service de leur collectivité familiale ou professionnelle »[20].

Le Mouvement national des Québécoises et des Québécois

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Forte de son expérience comme militante souverainiste, Monique Vézina succède à Louise Laurin à la présidente du Mouvement national des Québécoises et des Québécois (MNQ) au printemps 1996[21]. À ce titre, elle coordonne quatre éditions successives de la fête nationale sur l'ensemble du territoire québécois[18]. Elle préside également la Conférence des peuples de langue française.

L'engagement social

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Tout au long de sa vie, que ce soit à titre de simple citoyenne, de députée ou de ministre, Monique Vézina s'implique dans toutes sortes de causes à caractère sociale. Son engagement touche autant l'émancipation des femmes que le rayonnement régions québécoises et la défense des droits des aînés.

L'émancipation des femmes

L'engagement de Monique Vézina pour l'amélioration de la condition des femmes remonte à ses jeunes années à Rimouski, alors qu'elle participe par exemple à la mise sur pied et au maintien de cours prénataux pour les femmes de sa région[22]. Ses expériences subséquentes comme bénévole dans le milieu communautaire, puis comme gestionnaire chez Desjardins et enfin comme politicienne à Ottawa ne font que renforcer ses convictions féministes. En entrevue avec Madeleine Huberdeau, pour La Revue Desjardins, elle affirme en 1990 que les femmes doivent être plus nombreuses aux niveaux décisionnels:

« Le pouvoir, l'expérience que l'on exerce au sein d'un conseil, d'une table décisionnelle est fonction de la solidarité que l'on développe avec ses collègues. Je le vis à Ottawa avec mes consoeurs ministres. C'est évident que nous pratiquons une politique différente de celle des hommes. Dans l'ensemble, nous sommes plus coopératives, alors que beaucoup de politiciens continuent d'être compétitifs [...] je pense que les femmes resteront toujours, sur le plan affectif, le moyeu de la roue. Quand les femmes ont des bonnes nouvelles ou des peines d'amour, ils téléphonent à leur mère; on n'en sort pas. Mais ça, c'est une richesse extraordinaire qui permet aux femmes d'être très branchées sur les problèmes réels.[23] »

Les rayonnement des régions du Québec

Dès les années 1960, Monique Vézina s'implique activement pour développement socio-économique de sa région natale. Elle s'implique aussi activement dans le rayonnement des arts et des lettres à travers le Bas-Saint-Laurent. C'est dans un effort de faciliter l'accès du plus grand nombre à la culture, par exemple, que les Dames de Champlain mettent sur pied le Salon du livre de Rimouski en 1964.

Pendant et après sa carrière politique, Monique Vézina continue de s'impliquer ponctuellement pour le développement régional. À l'occasion des élections de 2006, par exemple, elle se prononce ouvertement en faveur d'un nouveau Plan de l'Est et d'une entente Canada-Québec sur le développement des régions du Québec[24].

Les personnes du troisième âge

Forte de son expérience comme ministre d'État pour le Troisième Âge et comme présidente de la Commission des aînées et des aînés sur l'avenir du Québec, Monique Vézina devient présidente du Bureau québécois de l'Année internationale des personnes aînées en 1999. Au printemps 2000, cet organisme dévoile un rapport intitulé R.S.V.P. Le Québec vieillissant, un enjeu de société. Ce rapport s'attarde à démolir le mythe voulant que les aînés constituent une population homogène et celui voulant que la retraite du travail signifie la retraite du monde citoyen[25].

Au début des années 2000, Monique Vézina devient membre de l'organisme à but non lucratif Synergies 50+. Cet organisme, qui vise à mettre l'expérience des aînés au service de la société, s'implique notamment dans le milieu universitaire québécois. Ainsi, à l'occasion de l'inauguration du Carrefour des générations de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), en 2014, Monique Vézina déclare: « Il nous appartient, comme institution et société civile, d'accueillir les aînés qui rêvent d'étudier à l'université [...] Nos membre sont à la fois une force sociale, une force économique et une force partenaire intéressée à créer des ponts entre les générations à travers des projets citoyens ouverts sur le monde »[26].

Honneurs et distinctions

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Au cours de sa fructueuse carrière, Monique Vézina reçoit nombre d'honneurs et de distinctions. En 1986, elle est nommée Commandeur de l'Ordre de la Pléiade en raison de son implication pour la promotion du français au Québec et à l'international. En 1996, elle est nommée membre de l'Ordre du Mérite coopératif par le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité[2]. La même année, elle reçoit le prix du Grand Patriote de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal[27].

En 2002, Monique Vézina est décorée de la Médaille du jubilé d'or de la Reine Elizabeth II[28].

En 2007, Monique Vézina reçoit l'insigne d'Officière de l'Ordre national du Québec. Il s'agit de la plus haute distinction honorifique décernée par le gouvernement du Québec[27]. Elle devient plus tard vice-présidente du Conseil de l'Ordre.

Archives

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Les archives de Monique Vézina sont conservées à deux endroits :

À Ottawa, à la Bibliothèque et Archives Canada (les archives de la députée et ministre sont réparties dans plusieurs fonds de ministères : RG 25, RG 29, RG74, RG118, MG 26, etc.)

À Rimouski, à la bibliothèque de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) (secteur des archives régionales) : Fonds Monique Vézina (UQAR-93-01-46) (40 mètres linéaires environ).

Références

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  1. Bureau québécois de l'Année internationale des personnes âgées, R.S.V.P. Le Québec vieillissant, un enjeu de société (Québec: BQAIPA, 2000)
  2. a et b « Monique Vézina », Conseil québécois de la coopération et de la mutualité https://www.cqcm.coop/mouvement/merite-cooperatif/membres-de-lordre/monique-vezina/
  3. Entrevue de Monique Vézina à l'émission « Témoins de l'histoire - Dames de Champlain » (3 octobre 2022) maCommunauté [Vidéo] YouTube https://www.youtube.com/watch?v=YiEQ3quvp0w
  4. Madeleine Huberdeau, « Ces femmes qui font Desjardins », La Revue Desjardins, vol. 56, no. 6 (1990), p. 21.
  5. Jacqueline Cardinal, Denise Cléroux, la Canadienne de Madagascar. Une biographie (Presses de l'Université du Québec, 2016)
  6. « Le Salon du livre honore ses fondatrices » (5 novembre 2015) Radio-Canada https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/748189/50e-salon-du-livre-rimouski-honore-anciens
  7. Monique Laurin est citée dans Johanne Lauzon (1er janvier 1997) « Pour sortir les bâtisseuses de l'ombre », La Gazette des Femmes https://gazettedesfemmes.ca/5174/pour-sortir-les-batisseuses-de-lombre/
  8. Madeleine Huberdeau, « Ces femmes qui font Desjardins », La Revue Desjardins, vol. 56, no. 6 (1990), p. 22.
  9. Benoît Lévesque, dir. Desjardins. Une entreprise et un mouvement? (Sainte-Foy: Presses de l'Université du Québec, 1997)
  10. Madeleine Huberdeau, « Ces femmes qui font Desjardins », La Revue Desjardins, vol. 56, no. 6 (1990), p. 22.
  11. a et b « L'hon. Monique Vézina, C.P., députée », Parlement du Canada https://lop.parl.ca/sites/ParlInfo/default/fr_CA/Personnes/Profil?personId=9952
  12. « De l'avènement de la coopération francophone jusqu'à aujourd'hui », Organisation internationale de la francophonie https://www.francophonie.org/de-lavenement-de-la-cooperation-francophone-jusqua-aujourdhui-914
  13. (en) CBC News, « Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques » [archive], sur CBC, 21 septembre 2010 (Page consultée le 17 octobre 2023)
  14. Carl Thériault, « Monique Vézina votera OUI au référendum », Le Soleil,‎ 31 décembre 1994, p. A4.
  15. Denis Lessard (25 octobre 2020) « Une campagne riche en rebondissements », La Presse https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2020-10-25/les-25-ans-du-referendum-de-1995/une-campagne-riche-en-rebondissements.php
  16. Le Devoir, 19 avril 1995, p. A1-A2.
  17. Gilbert Leduc et Gilles Gagné (6 janvier 1995), « Commissions régionales. Quatre nouvelles nominations », Le Soleil, p. A4.
  18. a et b Micheline Dumont (4 novembre 2015) « Parler à voix haute au lieu de murmurer notre existence », Le Devoir https://www.ledevoir.com/opinion/idees/454218/20-ans-du-referendum-parler-a-haute-voix-au-lieu-de-murmurer-notre-existence
  19. Honorable Monique Vézina, « Les femmes chez Desjardins: aménager l'équilibre, réaliser l'équité » dans Benoît Lévesque, dir. Desjardins: une entreprise et un mouvement? (Sainte-Foy: Presses de l'Université du Québec, 1997), pp. 317-322.
  20. Honorable Monique Vézina, « Les femmes chez Desjardins: aménager l'équilibre, réaliser l'équité » dans Benoît Lévesque, dir. Desjardins: une entreprise et un mouvement? (Sainte-Foy: Presses de l'Université du Québec, 1997), pp. 317-322.
  21. « Monique Vézina élue présidente du MNQ », Le Devoir,‎ 7 mai 1996, p. A2.
  22. « Monique Vézina », Conseil québécois de la coopération et de la mutualité https://www.cqcm.coop/mouvement/merite-cooperatif/membres-de-lordre/monique-vezina/
  23. Madeleine Huberdeau, « Ces femmes qui font Desjardins », La Revue Desjardins, vol. 56, no. 6 (1990), p. 22-23.
  24. Carl Thériault (15 janvier 2006) « Les régions négligées, jugent des ex-députées », Le Soleil, p. A6.
  25. « Non à l'apartheid d'âge: Monique Vézina fait ses recommandations » (30 mars 2000), Le Soleil, p. A10.
  26. Céline Séguin, « Le projet UQAM Générations », L'UQAM, vol. XXXI, no. 4 (18 octobre 2004), p. 1.
  27. a et b « Monique Vézina », Ordre national du Québec, Gouvernement du Québec https://www.ordre-national.gouv.qc.ca/membres/membre.asp?id=1756
  28. « L'honorable Monique Vézina - Médaille du jubilé d'or de la Reine Elizabeth II (2002) », La gouverneure générale du Canadahttps://www.gg.ca/fr/distinctions/recipiendaires/125-43530