Utilisateur:Charitybernhard/Lu grâce à wikipedia

Markham council has approved plans for a controversial mosque over the strenuous objections of some local residents who say the building will bring bad luck, death and disaster.According to feng shui, those who live behind any place of worship will become poor," Mr. Ho, who refused to give his first name, said last night in an interview. 'Unfortunately, our whole community lives behind the mosque.

"Le médecin voit l'homme dans toute sa faiblesse; le juriste le voit dans toute sa méchanceté; le théologien dans toute sa bêtise." "Les religions ont souvent une influence immorale. Ce qui est mis au compte des devoirs envers Dieu est soustrait aux devoirs envers les hommes. Que la religion serve de masques aux desseins les plus vils, c'est un fait qui ne doit plus étonner personne." (Arthur Schopenhauer / 1788-1860 / Parerga / 1851)

C’est là que le concept d’islamophobie se révèle une machine de guerre pernicieuse au service d’intérêts particuliers : elle consiste à stigmatiser ceux des intellectuels, religieux, journalistes, philosophes d’origine maghrébine qui osent critiquer les principes de leur foi, en appellent à une relecture du Coran ou plaident pour une séparation des pouvoirs temporel et spirituel. Cela permet de les désigner à la vindicte de leurs coreligionnaires extrémistes en dressant une véritable liste de proscription (où l’on retrouve pêle-mêle Dalil Boubakeur, Soheib Bencheikh, Malek Boutih, Rachid Kaci, Latifa Ben Mansour, Mahammed Sifaoui, Abdelwahab Meddeb et beaucoup d’autres).

http://www.nouveau-reac.org/docs/BP/PB_libe060306.htm

Faut-il parler alors de racisme anticapitaliste, antilibéral, antisocialiste, antimarxiste ? On a parfaitement le droit, jusqu’à preuve du contraire, de vomir les religions dans leur ensemble, de les juger mensongères, abrutissantes, abêtissantes.

André Boisclair propose l’adoption d’un « code de référence » pour l’administration publique, qui rappellerait les principes non négociables de l’égalité entre les hommes et les femmes. En novembre dernier, dans une lettre ouverte, il affirmait que « l’accommodement raisonnable réduit l’exclusion et augmente nos libertés ». Il ajoutait « ce n’est pas parce qu’il y a eu des erreurs et des dérapages dans le passé [...] que notre société est en train de déraper...

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Carnets/carnet.asp?numero=82909&auteur=2059&type=texte&niveau=3

c’est au nom de la science que l’intelligentsia française est prise en flagrant délit d’ébriété par des savants américains : nos penseurs useraient et abuseraient de métaphores informatiques et physiques employées à tort et à travers.

Le monde « occidental » (au sens large du terme) a, pour sa part, été influencé par la conception esthético-religieuse des Grecs (et des Romains, eux-mêmes influencés par la Grèce). En effet, l’art gréco-romain a toujours représenté les dieux et les déesses sous les traits d’hommes et de femmes normaux. Pour eux, ce sont les « qualités » de ces êtres qui en font des divinités, pas leur apparence. On leur attribue des pouvoirs extraordinaires et une existence hors du commun, sans plus. De Zeus-Jupiter à Odin en passant par Toutatis, les divinités des peuples dits « indo-européens » ont été créées à l’image des hommes et des femmes « du commun ». Il en sera de même pour les chrétiens dont la religion prendra son essor au cœur même de l’empire romain. Jéhovah sera copié sur Jupiter tandis que son « fils » Jésus sera un homme très ordinaire mais capable de « faire des miracles », un peu comme le Balder du panthéon scandinave. Les Juifs – puis leurs « copieurs » musulmans – seront les seuls à demeurer dans la ligne du dieu impalpable, invisible, innommable et impossible à représenter. C’est l’aboutissement d’un concept qui avait commencé à se manifester avec le culte nubien d’Atoum-Râ (Aton en Egyptien). Le symbolisme se trouvait limité à un homme (pharaon) tenant le disque solaire entre ses mains. C’était le symbole de l’énergie primitive (celle du soleil) allié à celui du pouvoir temporel et spirituel (celle du souverain). Le disque symbolisait aussi la perfection.

http://www.coranix.com/107bis/index.htm