Utilisateur:Davidfr~frwiki/Brouillon
Maquis-art | |
Création | |
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Fondateurs | David Maquis-art et Cye2 |
Forme juridique | SARL |
Slogan | (Maquis-art.com, L'art du Maquis, version Graffiti) |
Siège social | Taverny France |
Activité | Art |
Société mère | MKX Technology |
Site web | www.maquis-art.com |
modifier - modifier le code - voir Wikidata |
Maquis-art est une marque spécialisée dans le graffiti et le street-art
Ces diverses activités sont
- Un site internet collaboratif de référencement de photos graffiti, le point de départ.
- La vente et la distribution de produit graffiti pour la France.
- L'apprentissage et la démocratisation de la culture Graffiti.
- Le montage d’événement et team building sur le thème du Street Art.
- Le montage et l'exploitation de lieu dédié comme L'Aérosol.
- L'expertise en art notamment auprès des maisons de vente.
Le site Internet Maquis-art.com
modifierL'archivage d'œuvres de graffiti
modifierMaquis-art.com est la plus large base de données de photographies de graffiti en Europe.
La base de données à été incrémentée de manière collaborative par des bénévoles.
Elle a été créé en 1997 par David Benhamou [1] dit David Maquis-art [2] et Cye2.
L'envie de partager leurs photos prises de graffiti est le moteur de cette initiative.
Le site internet
modifierEn 1997 né le site internet Maquis-art.com, d'abord sous la forme d’un Blog sur MultiMania.
Puis sur les pages persos de free, qui offrait alors 100 mo d'espace gratuit à l'adresse http://maquisart.free.fr
En 2000, le site a ses propres serveurs.
Les images sont classées par date, auteur, type et lieu pour permettre une navigation fluide.
Maquis-art se différencie des autres sites de pages personnelles, tel que Aéro.fr et Fat cap, car il est géré comme un fanzine, avec 2 mises à jour de 200 photos par mois. Le but est de garder le contrôle de l'éditorial.
Le Procès de Versailles
modifierEn 2001, Maquis-art échappe au procès de Versailles [3] [4], SNCF contre le Graffiti.
Les principaux magazines, Graffi-it [5], Graff Bombz et Mixed Grill et autres sites internet comme aero.fr sont accusés d'incitation à la dégradation [6] [7].
Maquis-art ne sera pas inquiété car ses serveurs sont hébergés hors du territoire Européen et ne dépendent donc pas de la législation française
Maquis-art Shop & distribution
modifierEntre 2003 et 2005, Maquis-art décide de vendre en ligne afin de financer les frais d'hébergement.
Maquis-art vend un large panel de produits liés au graffiti: bombe de peinture Loop Colors, Montana Colors, Molotow, des marqueurs, Posca, On the Run, Grog etc...
Maquis-art crée son propre logiciel de gestion des stocks pour rationaliser les flux de produits.
En 2007, Maquis-Art devient distributeur des marques pour la France, Clash Paint et Beat Paint produites par l'usine ColorPack en Italie.
En 2009, Maquis-art ouvre son premier magasin physique, au 119 rue Clignancourt, Paris 18e.
Il sera transféré en 2012 en plein centre de Paris à Châtelet, au 42 rue Quincampoix Paris 4e.
Suite à l'arrêt de la marque Clash en 2013, Maquis-art devient distributeur de la marque Kobra Paint produite par ItalJete en Italie.
Puis, il distribuera la nouvelle marque d'ItalJete, LOOP Colors.
Maquis-art Software
modifierMaquis-art commercialise, sous le nom MKX Technology, son logiciel de gestion des stocks, à des logisticiens, des banques et aux autres sociétés.
Ces revenus permettent de financer le développement de nouvelles activités..
Maquis-art Décoration
modifierBeaucoup d'internautes cherchent des graffiti-artists pour faire des décorations et contactent Maquis-art pour faire le lien.
Fort de cette demande, Maquis-art va créer Maquis-art Décoration.
S’enchaînera alors un grand nombre de diffusions télé dans l'émission M6 D&CO notamment avec l'artiste Orizon.
Maquis-art va décorer beaucoup d'intérieurs, d'extérieurs, de châteaux, de pignons d'immeubles, de véhicules etc [8] [9].
Maquis-art Animation
modifierMaquis-art crée un pôle animation. Il propose des team building, mettant en place des ateliers de plus ou moins grande envergure pour des professionnels souhaitant souder leurs équipes.
Il propose aussi des shows, événementiels en direct lors de dîners, plénières, lancement de produits, concerts, festivals...
Maquis-art School
modifierMaquis-art organise des cours d'apprentissage au Graffiti.
Il reprend son histoire, la structure du dessin et la pratique à la bombe.
En bénéficient des administrations (Maisons de Jeunes et les Mairies) ou directement des particuliers, enfants comme adultes [10].
Maquis-art, Expertise en art
modifierEn 2008, Maurice Grinbaum [11] (expert en art Contemporain) et Alexandre Millon (Commissaire-priseur) [1], s'intéressent à cet art émergent.
Ils prennent contact avec Maquis-art et décident de faire la première vente aux enchères publique entièrement dédiée au Street Art et au Graffiti à la Cigale [12].
S'en suivra une série de vente dédiées à cet art, comme (liste non exhaustive)
- la première vente Street art à Lyon dans la gare des Brotteaux chez Claude Aguttes [13]
- la première à Bruxelles chez Cornette de Saint Cyr,
- la première à Cannes au Majestic
- la première à Moscou etc.
Maquis-art est à l'origine de beaucoup d'expositions.
Il créer le premier Musée du Graffiti à Paris, le Maquis-art Hall of Fame à l'Aérosol [14] [15].
Les lieux de vie
modifierEn 2017, Maquis-art crée l’Aérosol sur un site appartenant à la SNCF [17] [18] .
Ce lieu permet à Maquis-art de partager pendant 15 mois avec le grand public la culture Hip-hop et Street Art[1]
Notes et références
modifier- « Street art pour hangar SNCF, avec David Benhamou », sur France Culture (consulté le )
- « Entretien avec David Maquis-art et Maurice Grinbaum, spécialistes en Street art - 20 septembre 2011 - Le Journal des Arts - n° 353 », sur Le Journal Des Arts (consulté le )
- Le 9 juin 2009 à 07h00, « Les 60 graffeurs taguaient à tout-va », sur leparisien.fr, (consulté le )
- « La RATP et la SNCF à la chasse aux graffeurs », sur Les Inrockuptibles, (consulté le )
- « La SNCF fait la bombe », sur L'Humanité, (consulté le )
- « Tags, la SNCF en remet une couche », sur www.20minutes.fr (consulté le )
- Stéphanie Binet, « La SNCF veut faire dérailler la presse graffiti », sur Libération.fr, (consulté le )
- « David Maquis-art sur RTL les Grosses Têtes, Graffiti Décoration, invité plantu » (consulté le )
- « France 24 Tag attaque Maquis-art » (consulté le )
- « Maquis-art cours de Graffiti, street art, Emission GULLI - Vidéo dailymotion », sur Dailymotion (consulté le )
- « Un marché en quête de maturité - 30 septembre 2014 - Le Journal des Arts - n° 420 », sur Le Journal Des Arts (consulté le )
- Claire Bommelaer et Claire Bommelaer, « Le street art triomphe sous le marteau », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
- « JT France3 Graffiti Street Art Vente septembre 2011 Lyon » (consulté le )
- « Paris Week-end : L'Aérosol, un musée dédié au street art à Paris » (consulté le )
- « L'Aérosol, un musée éphémère dédié au street art et au graff à Paris », sur France 3 Paris Ile-de-France (consulté le )
- BFM BUSINESS, « Chercheurs d'Art: Exposition sur le street art, dans Paris est à vous - 26/09 2/2 », BFM BUSINESS (consulté le )
- Par Valentin BellevilleLe 7 août 2017 à 20h54 et Modifié Le 9 Août 2017 À 19h17, « Paris : ne cherchez plus, voilà l’endroit le plus cool de Paris », sur leparisien.fr, (consulté le )
- « Cachée dans le 18e arrondissement, la nouvelle caverne d'Ali Baba du street art », sur Télérama (consulté le )