Utilisateur:Diane2S/Brouillon

Portrait de Laurent Iskenderian par le studio Harcourt.

Iskenderian, (en arménien: Իսկէնտէրիան) dits Iskender est une famille arménienne composée d’artistes photographes, d’orfèvres et de joailliers spécialisés dans le négoce de joyaux anciens.

En 1910, Agop Iskenderian dit Iskender installé à Constantinople reprend Sébah et Joaillier[1]

Au milieu du 20ème siècle, son fils Bedros (Pierre) Iskenderian dit Iskender poursuivra son travail à Paris en France avec le studio Iskender. Il fait partie du Grand Orient de France. Grand voyageur, il fournit des créations à des clients aisés internationaux.

En 1970, la troisième génération est représentée par Jacques. Il s'établit à Paris et ouvre une joaillerie qui a pour enseigne Minerve, située au cours des décennies à différentes adresses notamment avenue George V dans le 8ème arrondissement et rue de la Paix dans le 2ème arrondissement.

Le livre présentant la famille Iskenderian.

Laurent Iskenderian est né le 02 septembre 1982 à Paris à la clinique de la Muette. Après des études à E.D.C. (Ecole des Dirigeants et Créateurs d’entreprises) grande école de commerce, il travaille auprès de l’étude de commissaires-priseurs Tajan à l’hôtel des ventes Drouot. En 2006 il s’établit à Genève en Suisse. Il ouvre la galerie Iskender au 86 rue du Rhône. La maison est la seule galerie à Genève spécialisée dans les pièces anciennes de haute joaillerie datant de la fin du 19ème siècle jusqu’aux années 1970. En 2019, il reprend officiellement Iskenderian, le patronyme d'origine de la famille et adapte ainsi l'enseigne de la maison.

Laurent Iskenderian est membre du Syndicat Suisse des antiquaires et commerçants d’Art, de la Confédération Internationale des Négociants en Objets d’Art, du Conseil Supérieur du Diamant d’Anvers en Belgique et de la Fondation Suisse pour la Recherche sur les pierres précieuses.

Il obtient la nationalité arménienne par un décret du président de la République d'Arménie Serge Sargsian. Il soutient l’Eglise Apostolique Arménienne et l’Union Générale Arménienne de Bienfaisance.

Voir aussi

modifier

Liens externes

modifier

Notes et Références

modifier

Bibliographie

modifier
  • Die Kunstdenkmäler Konstantinopels, par Friedrich Schrader, Der Neue Orient 5 (1919) S. 302-304 und 352-354
  • Das Bild Istanbuls im 19. Jahrhundert, par Roswitha Buchner, Pera-Blätter Nr. 13, Orient-Institut der DMG, Abteilung Istanbul, 1997
  • From Sebah & Joaillier to Foto Sabah : Orientalism in Photography, par Engin Zendes, Editions Yky, 1999