Earth Store, la Terre-Trésor
la lune rouge vue depuis Haïfa, Israël

Bonjour, J'ai choisi comme pseudonyme sur internet "Djampa" qui est un prénom tibétain signifiant "gentil, amical, bienveillant". C'est également le nom d'un Bodhisattva mieux connu sous sa forme sanskrite qui est "Maitreya".

  • Djampa, en arménien, signifie le chemin, la voie. On retrouve ce mot dans le nom de l'art martial arménien, le "Hay Djampa" (La voie arménienne). Les Arméniens, en effet, se nomment eux-mêmes, Hay (Հայ, pluriel : Հայեր, Hayer). Ce nom est en lien avec le nom du fondateur mythique du peuple arménien, Haïk.


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Centres d'intérêt

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Je m'intéresse plus particulièrement aux sujets suivants :

Joseph vendu comme esclave en Egypte

Je suis né un 22 Kislev, 3 jours avant la fête de Hanoucca et ma Parasha (ou sidra) est Vayeshev (Genèse 37:1-40:23). Le mot וַיֵּשֶׁב signifie : il demeura (יֵּשֶׁב il demeurera, et le וַ renversif transforme le futur en passé). Ce terme s'applique à Jacob qui demeura à Hébron, aussi appelé Mamré et Kyriat Arba, "la ville des quatre" (voir genèse 35,27 : "Jacob arriva auprès d'Isaac, son père, à Mamré, à Kirjath-Arba, qui est Hébron, où avaient séjourné Abraham et Isaac.").

La Parasha Vayeshev relate pour l'essentiel le début de l'histoire de Joseph, le traitement de faveur que lui réserve son père, ses rêves prémonitoires, puis les épreuves injustes qu'il a dû traverser (jalousie de ses frères, exil, esclavage, fausses accusations, emprisonnement, ingratitude de ceux qu'il a aidé). On apprend également dans cette parasha que Joseph avait 17 ans (Genèse 37,2) et qu'il était beau de visage et bien bâti physiquement (Genèse 39,6), ce que l'on retrouve dans une interprétation du verset Genèse 49,22 : "Joseph va toujours croissant et s'augmentant en vertu et en gloire. Son visage est beau et agréable, les filles ont couru sur la muraille pour le voir."[1])

Au milieu de cette Parasha se trouve intercalé un passage sans aucun lien avec l'histoire de Joseph, traitant de la relation entre Juda et Tamar, et des enfants qui naissent de leur union et qui seront à l'origine de la lignée du roi David : David était un descendant de la neuvième génération de Perez, le fils batard de Judah et Tamar (Gen. 38:24-30 ; Ruth 4:18-22 ; 1 Chron. 2:5-15).

Dans cette parasha sont mentionnées plusieurs localités de l'actuelle Judée-Samarie : Adoulam, Sichem (aujourd'hui Sh'khém alias Naplouse où se trouve la tombe de Joseph), Dothan, Czib (ou Keziyb), Enaïm (deux sources) et Timna (situé près de Bethléem, à ne pas confondre avec le Timna des mines de Salomon situé au sud du Néguev).

On mentionne également les monts de Galaad, aujourd'hui en Trans-Jordanie.

la chemise rayée

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L'expression כְתֹנֶת פַּסִים "ketonet passim" peut être traduite de plusieurs manières :

  • souvent par tunique rayée
  • mais aussi par vêtement long ou à manches longues

Mais à coup sûr il s'agit d'un vêtement aristocratique de qualité supérieure, car la même expression est utilisée en II Samuel 13:18 pour désigner "le vêtement que portaient les filles du roi" (traduction de Louis Segond).

Joseph se sait promis à une grande destinée, et son père en est également convaincu (Genèse 37,2). Il lui réserve un traitement de faveur, comme s'il était le fils aîné.

Pourtant, avant de se retrouver aux plus hautes fonctions, il devra d'abord descendre au plus bas. La vie de Joseph peut se lire comme une parabole dont le but serait de fortifier notre foi dans les épreuves, un peu comme celle de Job. C'est une histoire qui a un dénouement heureux et inespéré, mais, que de souffrances pour en arriver là!

Remarquons que Joseph est revêtu d'un beau vêtement par son père (Genèse 37,3) dont il est ensuite dépouillé par ses frères (Genèse 37,23), puis il est encore dépouillé de son vêtement par la femme de Potiphar (Genèse 39,12)

Joseph est le 11ème fils d'Israël. La pierre précieuse associée à Joseph sur le pectoral du grand prêtre est l'onyx (שֹׁהַם Exode 28:20), qui est une pierre à rayures noires et blanches ou brunes et blanches. Le mot arabe pour l'onyx (musahham) signifie "vêtement rayé".


Karmapa dream flag, drapeau vu en rêve par le 16e Karmapa
Statue de Jizo au San Francisco Zen Center
Sai-no-kawara

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J'ai pris refuge à Dashang Kagyu Ling (Temple des mille bouddhas).

Temple bouddhique Linh Son à Joinville-le-pont : A l'étage, dans la véranda, se trouve une belle statue de Ksitigarbha (viet. Địa tạng) chevauchant un chien des enfers de couleur bleu-nuit, d'environ 2 mètres de haut.

Institut Vajra Yogini

Projet Maitréya

films : La Coupe (film) en:Little Buddha

musique : "The Chant of Metta" interprété par Imee Ooi

Bodhisattva, Huit Grands Bodhisattvas

Cinq dhyani bouddhas : Akshobhya Ratnasambhava Amitābha Amoghasiddhi Vairocana

Catégorie:Bouddhas et bodhisattvas

Sūtra du Cœur (ROUPAM SHOUNYATA SHUNYATA IVA ROUPAM ...)
koans, Ryōkan, Tōdai-ji (la plus grande construction en bois au monde)

Parenté avec d'autres religions :

Hindouisme : Le nom Jizo signifie "matrice de la terre".

  • Prithivi est la déesse de la terre dans l'hindouisme

Christianisme : Jizo est le saint patron des enfants et le protecteur des voyageurs pour les bouddhistes

La légende de Sai-no-kawara (les bords de la rivière Sai) raconte que les enfants morts construisent de petits stupas en empilant des cailloux.

  • Sai no kawara (la rive de Sai) : Dans la conception de l'enfer pour les bouddhistes, cette rive est l'endroit ou les âmes des enfants morts avant leurs parents se retrouvent. Ils empilent des roches pour en faire des tours en l'honneur de leurs parents, mais des démons viennent les détruire sans cesse. Cependant, le bodhisattva Jizo vient les aider.
  • vous trouverez invariablement des petits tas de pierres et de graviers autour des statues de Jizo, car on croit que l'offrande d'une pierre raccourcira le temps de souffrance de leur enfant en enfer.

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nichinichi kore koujitsu







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Arnaud Desjardins, Osho (Bhagwan Shree Rajneesh), Thich Nhat Hanh

* "Au fond de la mer, il y a un trésor. Comment le ramener à la surface sans se mouiller?"

Ce kôan pointe vers le trésor qui se trouve à l’intérieur de nous-mêmes : notre véritable nature qu'il s'agit de réaliser.

* "Chaque jour est un bon jour!" (en japonais : "nichinichi kore koujitsu")

Cette stance d'un maître zen invite à faire l'expérience de la vie quotidienne dans son immédiateté : Il s'agit de laisser tomber hier et demain et de ne s'occuper que de « l’ici et maintenant ».

Bibliographie

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  • (en) Jan Chozen Bays Roshi, Jizo Bodhisattva, Modern Healing & Traditional Buddhist Practice, Tuttle Publishing, , 278 p. (ISBN 0804831890)
  • (en) Jan Chozen Bays Roshi, Jizo Bodhisattva: Guardian of Children, Travelers, and Other Voyagers, Shambhala Publications, , 280 p. (ISBN 1590300807)
  • (fr) Daisetz Teitaro Suzuki, Essais sur le Bouddhisme Zen, Albin Michel, coll. « Spiritualités vivantes », , 510 p.

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